Vilfredo Pareto

DE LA PENSEE ECONOMIQUE 3. Les néo-classiques:  Début des années 1870. L’économie: la science de la rareté et de l’allocation des ressources rares.  Stanley Jevons en Angleterre, Carl Menger en Autriche, Léon Walras en France et Vilfredo Pareto en Italie. Passage de la « valeur travail » à la « valeur utilité »: l’utilité que le bien procure à celui qui le consomme. Introduction du raisonnement à la marge: l’utilité procurée par la prochaine unité de bien consommé (utilité marginale)

comportements des producteurs et des consommateurs est équilibrée. Vilfredo PARETO : (1848 – 1923) Dans son « Manuel d’économie politique » il y énonce 2 théories : * « La loi des 20/80 » : Pareto remarque que dans les différents pays 80 % des richesses sont accaparées par 20 % de la population. Celle loi s’applique également en entreprise 80 % du chiffre d’affaires est réalisé par 20 % des clients. * « L’optimum de Pareto » : Un individu ne peut pas améliorer sa situation sans détériorer

----------------------- Logique globale ou holisme (on « part » de la société) et objective (on explique les faits sociaux « de l’extérieur ») Vilfredo Pareto (1848-1923). La société peut être analysée comme une somme d’éléments interdépendants formant un système global Logique de la domination et du conflit : la société est pensée comme une structure hiérarchisée Logique de l’acteur ou individualisme méthodologique (on « part » du sujet) et subjective (on comprend les phénomènes sociaux

pourrait fonctionner sans cette notion de pouvoir, ce rapport gouvernant/gouverné, dominant/dominé. Auteurs: - Max Weber à 1864 - 1920; sociologue et juriste allemand - Pierre Bourdieu à 1930 - 2002; sociologue français contemporain - Vilfredo Pareto à 1848 - 1923; sociologue et économiste allemand - Robert Dahl à 1915 - …; professeur de science politique à l’Université de Yale Notion importantes: Le pouvoir; l’influence; l’autorité; la domination; la légitimité; la coercition.

Max Weber (21 avril 1864-14 juin 1920), sociologue et économiste allemand, est, avec Vilfredo Pareto, Émile Durkheim, Georg Simmel et Karl Marx, l'un des fondateurs de la sociologie moderne. Introduction[modifier] Max Weber est considéré comme le fondateur de la sociologie compréhensive, c'est-à-dire d'une approche sociologique qui fait du sens subjectif des conduites des acteurs le fondement de l'action sociale. Son œuvre est dominée par une recherche sur la rationalité, et, plus spécifiquement

entre les deux groupes d'intérêts, c'est une lutte incessante du salarié, qui veut élever son salaire et du capitaliste qui veut le réduire ; du salarié qui veut affirmer sa liberté et du capitaliste qui veut le tenir dans la dépendance. »4 Pour Vilfredo Pareto, les classes sociales naissent de l'opposition de masse d'individus et des élites gouvernementales au pouvoir. Ainsi, tout pouvoir implique cette séparation antagoniste5. Cependant il estime que les groupes sont hétérogènes, notamment parce que

seconde moitié du XLX siècle dans la lignée des classiques dont ils ne s'écartent qu'à propos d'un point, celui de la valeur du travail à laquelle ils substituent la valeur « utilité ». L'utilité se mesure à la marge (W.S JEVONS, Léon, WALRAS, Vilfrédo PARETO). Elle naît donc de la « révolution marginaliste » dans les années 1870. Elle forme avec le keynésianisme l'essentiel de l'économie « orthodoxe » qui domine l'enseignement et la pratique universitaire de la discipline économique depuis le début

sociologue italien, d'origine Allemande né le 9 janvier 1876 à Cologne et mort le 3 mai 1936 à Rome. Michels a étudié le comportement politique des élites intellectuelles, dans le cadre de l’École de sociologie élitiste, aux côtés de Gaetano Mosca et Vilfredo Pareto. Il est surtout connu pour son livre sur les partis politique qui décrit la loi d'airain de l'oligarchie. Robert Michels fut un élève de Max Webber. Il s'installa en Italie, à Turin, où il continua de militer au sein du parti socialiste. Il

entre les deux groupes d'intérêts, c'est une lutte incessante du salarié, qui veut élever son salaire et du capitaliste qui veut le réduire ; du salarié qui veut affirmer sa liberté et du capitaliste qui veut le tenir dans la dépendance. » Pour Vilfredo Pareto, les classes sociales naissent de l'opposition de masse d'individus et des élites gouvernementales au pouvoir. Ainsi, tout pouvoir implique cette séparation antagoniste[5]. Cependant il estime que les groupes sont hétérogènes, notamment parce

dire que les changements sociaux ne résultent pas uniquement de la volonté rationnelle des individus puisque la religion est à l’origine de nombreux changements sociaux. Mais plus généralement, on peut parler d’actions non-logiques. Pour Vilfredo Pareto, les actions ne sont pas que logiques, il s’est donc intéressé au concept d’actions logiques et d’actions non-logiques. Nous allons voir ici les actions non-logiques. Les actions non-logiques sont les sentiments, les croyances, les instincts,