Vice Consentement Nullité Communauté Universelle

matrimoniaux Ancien Régime : -Pays de coutumes : régimes de communauté -Pays de droit écrit : régime dotal ; la femme apportait à son mari des biens dotaux, et ces biens étaient inaliénables et insaisissables. La femme conservait la jouissance de quelques biens. Ces biens étaient les biens paraphernaux. Lors de la création du Code Civil, on a eu un souci d’unification du droit. On a retenu le régime de la communauté des meubles et acquêts : étaient communs tous les biens meubles

facteurs de la formation du droit international : les sources 13 Titre premier : la formation conventionnelle du droit international 16 Chapitre premier : La conclusion des traités 19 Section I- La négociation 20 Section II- L’expression du consentement à être lié 23 Chapitre II- les conditions de validité et d’application des traités 28 Section I- Les conditions de validité des traités 28 Section II- L’application et les effets des traités 31 Chapitre III- la cessation des effets des traités

d'individus que relient entre eux des faits d'ordre biologique donc union des sexes, procréation et descendance d'un procréateur commun. Le doyen Carbonnier a joué un rôle important dans la notion de la famille. Il dit que c'est une unité de base, un fait universel au sein duquel le mariage est la plus ancienne coutume de l'humanité. Le probleme est de passer de cette définition sociologique à une définition juridique or le code civil ne donne pas de définition. Ce sont donc les auteurs qui l'on définit. On

actes unilatéraux st dépourvus de valeur juridique obligatoire : ils ne peuvent pas constituer le fondement d’un arrêt conformément au droit international, ils ne le constituent pas eux-mêmes. Quelle place tient de consentement dans la formation du droit des gens. Ce consentement s’exprime-t-il de la même façon en toute matière ?? Quelle est la place du facteur temporaire dans la formation du droit international ?? Dans un vide juridique ou dans un droit international existant déjà ?? B

à autrui plus de droits qu'il n'en a lui-même, la vente de la chose d'autrui est nulle car on en dispose pas. Ce qui est nul n'a aucun effet rétroactif, on ne dispose que pour l'avenir (art.2). Les époux se doivent fidélité, secours, assistance, communauté de vie (art. 212 et 215). Ces données fondamentales fourniront souvent la solution concrète du droit dans multiples cas particuliers et différents. Pour les « juristes savants », ceux qui l'élaborent (parlementaires), ceux qui le précisent (juges)

6 al. 3 constitution). La personnalité est inhérente à la nature humaine. Raison pour laquelle il est impossible de la conférer à d'autres êtres vivants comme les animaux. Il peut paraître étonnant de voir le législateur sénégalais ou la communauté internationale toute entière affirmer un droit qui relève de la nature des choses, des évidences et de s'obliger à en assurer le respect et la protection. L'histoire nous a montré qu'on ne peut plus avoir une vision absolument optimiste de l'homme

réunissent ces trois éléments ( province, commune, département )ne peuvent pas prétendre à la qualification d'État. Il faut un élément supplémentaire : la souveraineté La reconnaissance par la communauté internationale Les quatre éléments n'ont de sens que s'ils sont reconnus par la communauté internationale comme constituant un État. Ce sont les États qui reconnaissent les autres États. Ils font parfois une distinction entre : reconnaissance de facto ( partielle) => constatation

d’assurance…) ❑ Atteinte à la faculté de choix du contractant : est restreinte la liberté de choisir son cocontractant (droit de préemption du propriétaire d’un immeuble) ❑ Atteinte à la libre détermination des conditions et effets du contrat (nullité des contrats contraires à l’ordre public ou aux bonnes mœurs, violation de l’ordre constitutionnel, économique, social ou moral : trafic d’influence, contrat d’assassinat, contrat de vente de sang humain …etc.). Le DOC marocain notamment son article

d’assurance…) ❑ Atteinte à la faculté de choix du contractant : est restreinte la liberté de choisir son cocontractant (droit de préemption du propriétaire d’un immeuble) ❑ Atteinte à la libre détermination des conditions et effets du contrat (nullité des contrats contraires à l’ordre public ou aux bonnes mœurs, violation de l’ordre constitutionnel, économique, social ou moral : trafic d’influence, contrat d’assassinat, contrat de vente de sang humain …etc.). Le DOC marocain notamment son article

classique : le mariage, une institution ou un contrat ? Institution : le mariage repose sur un statut d’ordre public. Les époux ne peuvent pas organiser le mariage, ils ne font qu’adhérer un statut déjà organisé par la loi. Contrat : repose sur le consentement des époux. Contrat qui touche la vie commune mais liberté aux époux pour aménager le mariage. Le mariage est donc à la fois une institution car son statut est fixé par la loi, mais c’est aussi un contrat car la liberté des époux est indispensable