Verbe déponent

sont …............ 10. Tous les vers du poème sont des …............ 11. Chaque vers se compose de …............ syllabes. 12. ' Le jour pour moi sera comme la nuit' exprime une (concession/comparaison/métaphore). 13. Le premier verbe utilisé dans le poème est un verbe du …............ groupe. 14. Harfleur est un nom de (légume/fleur/ville). Demain ,dès l'aube le poète partira de (la ville/la compagne/la banlieue). Écrire une strophe de quatre vers respectant les règle de l'écriture

son éducation elle se remet "sans témoigner d'autre marque d'attention aux actions de ce prince que celle que la civilité lui devait donner pour un homme tel qu'il paraissait." La civilité s'oppose à l'admiration et à la passion de Mr de Clèves, le verbe "devoir "et le mot "apparences" montrent le poids des conventions sociales, du carcan rigoureux des codes qui vouent l'union de ces deux êtres dès la première rencontre à l'échec. Manque d'harmonie, d'entente affective initiale entre les deux personnages

Cela commence par un tableau idyllique et vivant. La lumière baigne littéralement la scène car la végétation tamise les rayons du soleil, eux-mêmes reflétés par les algues qui affleurent en « haillons d’argent », pour repartir vers la montagne. Le verbe mousser résume bien cette fusion de l’eau et du soleil. Les deux rejets « D’argent » et « Luit », accentuent cette qualité particulière de la lumière Les consonnes liquides du premier vers (r,v), les assonances nasales du second (accrochant, follement

aussi Lou à vivre malgré sa mort. Au front, l'auteur voit la Mort chaque jour, il vit avec elle, ainsi qu'avec la violence des combats. Cette brutalité du quotidien se retrouve dans ce poème. Le poème donne la couleur dès le premier vers, avec le verbe mourir. L'incertitude de sa survie est concrétisée par l'utilisation du conditionnel. C'est une mort sanglante qu'il évoque: "couvrirait de mon sang", "Le fatal giclement de mon sang". Le champ lexical du sang est utilisé. Une métaphore, "mon sang

possibilité au juge de prononcer son jugement par la mise à disposition de celui-ci au greffe. Une confrontation des termes dans lesquels s'exprime le pouvoir règlementaire laisse entrevoir l'enjeu considérable d'une telle réforme. En effet, le verbe prononcer vient du mot latin « pronontiare » qui signifie proclamer, articuler ou dire à voix haute.[4] Un jugement veut dire une décision prise par un tribunal de première instance en formation collégiale qui statue au fond ou qui règle un incident[5]

par le nom est nouvelle. Les adverbes Il s'agit d'une catégorie tout aussi peu homogène. Adverbe signifie à l'origine : qui se jouxte au verbe. Il est donc présenté comme une catégorie sémantico-formelle. Or, s'il arrive effectivement que l'adverbe modifie un verbe, mais ce n'est pas la seule possibilité. En fait, l'adverbe peut porter sur : 1. un verbe | Marie parle calmement | 2. une phrase | Evidemment, il est en retard | 3. un adjectif | C'est vraiment grand, ici ! | 4. un autre adverbe

l'amour II) Le poème est un chant en l'honneur de la Nature Extrait du document: De plus, on observe des impératifs tels «Laissez-nous/Oubliez» qui apportent l'idée que l'amour vécu par le poète doit être un hymne au bonheur terrestre. En effet, le verbe «savourer» rend ce bonheur sensuel et associé au mot «délice» ; cet amour prend une dimension matérielle. Outre cela, c'est l'expression «le plus beau de nos jours» qui donne à cet amour qui ignore le temps un caractère insouciant et luxueux. Et si

Les deux pigeons Idée générale : deux pigeons s'aiment : l'un des 2 veut voyager pendant que l'autre en est malheureux. Le 1er pigeons va vivre des mésaventure au bout desquels il fini par rentrer piteusement aux ber-caille. La Fontaine se livre a des confidence aux lecteur et il pense que l'amour est le bien le plus précieux qui soit aux monde. Structure du texte : -l'histoire des deux pigeons -et du vers 65 jusqu'à 83 c'est le discours du fabuliste qui contient la confidence et la

mon pauvre argent ») La constructions grammaticales parfaitement symétriques : « on m'a coupé la gorge//on m'a dérobé mon argent » (pronom personnel indéfini « on » + pronom personnel réfléchi « m' » en position de complément d'objet indirect + verbe (passé composé du mode indicatif) + syntagme nominal COD « la gorge », « mon argent » (avec redondance des phonèmes géminés - voyelles ouvertes [o] et [a] + consonne gutturale [r] et palatale mdéiane [j]) On voit aussi l’apparition des hyperboles:

sombres de 1942 et constitue un hymne à la vie. B- Les pouvoirs de la poésie Deux mots se font écho pour montrer que cet éloge de la liberté est en même temps célébration des pouvoirs de la poésie : un qui se répète tout au long du poème, le verbe "écrire" présenté sous une forme active et personnelle : "j’écris" et l’autre une seule fois, à la fin du poème : "nommer", qui semble faire surgir le mot "liberté" que l’on attend tout au long du poème et qui en est l’aboutissement. La poésie a donc