Verbe déponent

« soleil », oiseaux », fleur » mais tous ces termes sont associés à des négations : pas un puits, ni pâturage, pas un rire d’enfant en fleur les oiseaux sont associés à la mort « tombant soudain et morts sous les hautes cendres des terrasses » ; le verbe « tomber » est mis en relief au début de la ligne, le terme « morts » est mis en relief car il est précédé de la conjonction de coordination « et », inattendue à cet endroit. B / Il est difficile de savoir à quoi renvoie cette phrase : oiseaux

Amie : étymologie : apparu en 1170, après amics, amiez, amic, du latin « amicus » comme l’italien « amico ». Amicus, amico en latin, ami et amant, maitresse sont issus du verbe amiare. Français Classique : amie est le féminin de « ami » qui s’articule sémantiquement avec amitié et non avec amour. Mais le féminin « amie » a deux valeurs : amitié et amour. On dit aussi belle amie (1130), appellatif d’affection ; bonne amie (au 12) attesté comme appellatif à son inférieur, (au 16, bon ami signifie

rocher de Sisyphe. Chacune réclame les reins, le poumon, la voix, le « pectus » de l’orateur, l’éloquence du corps qui dissimulent la lucidité, la volonté, et tout ce que l’apparente facilité doit au travail. Les gestes opportuns qui accompagnent le verbe, ou l’immobilité totale que je préfère, les procédés qui sont le solfège de l’art oratoire, le trac condition de toute éloquence, l’usage de l’apparente improvisation, la voix qui est le véhicule de l’âme, les mots enfin, ne sont là que pour celui

ressource du dernier verbe : apprendre. Apprendre la géométrie, affaire de théorie. Apprendre à conduire : il faut connaître le codes et faire des créneaux : savoir- faire. C'est une activité dans laquelle la pensée et l'action se complètent alternativement dans un approfondissement qui est un travail. Il y aurait donc un savoir, se faire devenir soi-même. Thèse : devenir et progrès. Ce qui ait difficulté, c'est le verbe devenir qui incite à la substitution par le verbe être et à s'inscrire dans

de répondre uniquement par « oui » ou par « non » - de répondre par une phrase trop vague qui ne reprend pas les termes de la question. Pour qu’une réponse soit claire, elle doit se présenter sous la forme d’une phrase complète, comportant un verbe conjugué et reprenant les termes de la question. Si cela t’aide, souligne au crayon à papier les mots de la question qui précisent ce que tu dois faire, et que tu reprendras dans ta réponse. 3- Savoir justifier ses réponses Quand on te demande

construction, un effet sur la réalité. Pour Reverdy, “la poésie peut rétablir le lien entre nous et le réel absent”. Pour Neruda, “toute poésie est une insurrection”. Selon Heidegger, la poésie nous révèle “la topographie de l’Etre”. II) Est-ce que le verbe poétique n’est qu’un exutoire plus ou moins dérisoire pour conjurer l’absence, oublier la mort, voiler le néant? Ou est-ce que les mots du poète sont aptes à nous arracher durablement à la laideur, aux limites, à la finitude de notre condition

déclaration d’amour] En outre, le poète n’hésite pas à faire une déclaration d’amourlyrique (la présence de la première personne du singulier – « je » - articulée à un verbe de sentiment – « aimer » - montre la transmission d’un sentiment personnel), et ce dès le premier vers (« J'aime l'araignée et j'aime l'ortie »), la répétition du verbe « aimer » marquant ici une insistance qui ne manque pas de surprendre le lecteur. Mais ce dernier n’a pas fini d’être surpris, car un paradoxes’impose d’emblée dans

répétition du verbe « j’ai dit » qui est repeté deux fois aux lignes 7, 12. Ensuite nous avons le verbe « il a tourné » qui est aussi repeté deux fois aux lignes15, 17. Encore nous avons l’adverbe « là » qui est repeté quatre fois tout seul aux lignes 1,15,24 et deux fois avec le mot « haut » aux lignes 19, 23 . Ces répétitions créent un effet d’insistance et d’obsession. Une deuxième figure de construction qe nous trouvons dans ce extrait c’est la polyptote, c’est à dire un verbe qui est conjugué

Dieu a semé son image et sa ressemblance et où il répand la bonne semence, la racine de toute sagesse, de tous les arts, de toutes les vertus, de toute bonté : la semence de la nature divine. La semence de la nature divine, c’est le Fils de Dieu, le Verbe de Dieu. L’homme extérieur est l’homme ennemi, le mauvais, qui y a semé et jeté de l’ivraie. Saint Paul dit de lui : "Je trouve en moi ce qui m’entrave, contraire à ce que Dieu ordonne, à ce que Dieu conseille, à ce que Dieu a dit et dit encore

éros en grec qui signifie amour. C'est ce que réalise Émile Zola dans cet extrait. On le remarque par ces contactes ''la caressait''(L.8),''s'enivrait à la caresser''(L.31), ''gisant près d'elle''(L.46) et ''elle semblait […] siennes''(L.38-43), ce verbe et ces passage témoigne un très grand moment d'amour autant physique que sentimentale. On peut aussi relever le champ lexical de l'amour: ''d'amour''(L.30), ''s'enivrait''(L.31), ''amoureuse''(L.41). Nous pouvons relever cette phrase exclamative ''bougre