Verbe déponent

sauvée ", " l'ordre est rétabli ", " La famille est restaurée ", " La religion est glorifiée " " l'autorité est sacrée ", " La stabilité est assurée ". Le septième "Les sauveurs se sauveront" parodie les livres précédents par un jeu de mot sur le verbe sauver. Il incarne l'espérance de Hugo qui espère déstabiliser Napoléon Le petit par l'influence de ses écrits . Les Châtiments débute par Nox (le passé, la nuit du coup d'Etat, la dictature) et se termine par Lux (le futur, la lumière attendue de

mot « prochain » puisque c’est quelqu’un que l’on considère comme un frère= opposition avec l’acte de torture ⇒ le mot « expérience » renvoie à l’idée que l’homme est un cobaye ⇒ « va conter à dîner à sa femme ce qui s’est passé le matin. » verbe « conter »=banalisation de la torture ⇒ le comportement de sa femme est tout aussi sordide : « La première fois madame a été révoltée, à la seconde elle y a pris goût, parce qu’après tout les femmes sont curieuses ; et ensuite la première chose

révèle le travail de l’écrivain. grenouille en créant une forme de suspens. Tout d’abord, on constate que la situation initiale n’est pas développée : au contraire, le premier vers, qui est un vers court, lance directement l’action au moyen d’un verbe au passé simple (« vit »). La simple vision du bœuf conduit de suite la grenouille à faire une évaluation d’ « experte » (« qui lui sembla de belle taille ») et à déterminer son action. La soudaineté de cet événement fait contraste avec l’action

MANON LESCAULT I-Le coup de foudre a) Le portrait alusif de Manon l.6 :jeune l.8 : charmante l.9 : fille l.13 moins agée l.18 : plus expérimentée = Seuls qq mots esquissent la silouhette de Manon, aucun portrait morale, favorisant l’aspect physique Aussi ténue que soit l’évocation de Manon, sa présence n’est pas moins forte l.8 : si charmante = emplois de l’adverbe intensif si, donnant un caractère hyperbolique à cette apparition charmante = jolie + ensorceleuse, manon

(partie pour un tout) Je bois un verre (contenant pour le contenu) J’écoute du Mozart (créateur pour l’œuvre) 10- Personnification Donner des caractéristiques humaines à des objets ou à des concepts (ATTENTION : Il faut que le verbe ne puisse s’appliquer qu’aux humains) Ex : Ma douleur, donne-moi la main; viens par ici. 11- Euphémisme Employer des termes adoucis pour désigner une réalité cruelle. Ex : Elle a rendu son dernier soupir (au lieu de dire qu’elle est morte)

profits( Masculin pluriel) et celui-ci est placé devant le verbe ( 2eme cas aux.avoir) 2) Tu ajoutes un e à remis (remise).Le COD c `est l` .Accord avec le cod placé avant le verbe.(2eme cas) 3) Pas d`erreurs dans la phrase. Le p.passé s`accorde pas car presence de l`aux.avoir .(1er cas-aux avoir). 4) a remis-1er cas aux.avoir. Le cod c`est que qui remplace les lettres donc a lues prend es car lettres est fem.pluriel. et le cod placé avant le verbe 5) Aucun changement à effectuer dans la phrase.Je crois

femmes qui vont passer leurs après-midi dans un salon de thé. 1) La représentation vivante d'une scène quotidienne. A) La vie quotidienne des femmes. La page est essentiellement descriptive. Le temps dominant est l'imparfait, il est composé aussi de verbe d'état, d'adjectif qualificatif qui sont des caractéristiques du discours descriptif. Cela permet au lecteur de visualiser la scène. Les femmes dans ce texte ne font pas de ce thé un événement particulier, il s'agit d'une habitude, nul fait important

appauvri, desséché et gêné notre langue; elle n'ose jamais procéder que suivant la méthode la plus scrupuleuse et la plus uniforme de la grammaire. On voit toujours venir d'abord un nominatif substantif, qui mène son adjectif comme par la main; son verbe ne manque pas de marcher derrière, suivi d'un adverbe qui ne souffre rien entre deux, et le régime appelle aussitôt un accusatif qui ne peut jamais se déplacer. C'est ce qui exclut toute suspension de l'esprit, toute attention, toute surprise, toute

pleurer les mères La présence de Dieu peut surprendre mais Rimbaud a été pratiquant. Ici, Rimbaud attaque directement Dieu,en lui donnant la place du diable pour sa terriblement indifférent face à ce massacre. 2) Dans ce poème le verbe "rire" de Dieu se rapproche du verbe "railler" du Roi. Dans ce texte, il y a une forte antithèse : La couleur du rouge du sang, Rimbaud oppose l'or des églises v.10 « luxe de l'église »,« Nappe canassée »,« calice d'or » qui s'oppose à la pauvreté du peuple « vieux

de cette comédie. Quant à Giton, son rapport aux autres est résumé par la contradiction entre tenir le milieu et « ses égaux », par les sans gêne du groupe « ronfle en compagnie », par le mépris signalé dans les verbes interrompre et redresser. Le verbe « vous voyez » qui entame l’avant-dernière phrase aboutit à l’expression « pour ne voir personne ». La relation est à sens unique et pour Giton et pour Phédon. La scène publique, lieu par excellence de la mondanité, est ici très anonyme, presqu’impersonnelle