Verbe déponent

ciencias remarque 1 : Le verbe concerné (ici GUSTAR) a pour sujet ce qui en français est le complément, d'où le pluriel pour las ciencias. Je n'aime pas les sciences (complément) => Las ciencias (sujet) no me gustan. remarque 2 : La préposition A introduit un premier pronom qui n'est pas obligatoire : il sert surtout à insister sur la personne. "Me gusta el fútbol" insiste moins sur la personne que "A mí me gusta el fútbol". Par contre, le second est, lui, inséparable du verbe. Fonctionne avec tous

qu'il nous livre son programme mais il y a un manque d'enchaînement logique qui est renforcé par l'utilisation du passé composé. Le personnage a une vision floue du monde. 2. Un style simple. - C'est un enfant: lexique + banalité du style avec verbe introducteur du D.D toujours le même "dit" + phrases courtes qui montrent une pensée peu élaborée. 3. Un étranger - On note une volonté de respecter les codes sociaux avec modalisateur: "il a fallu" + soucis du respect des usages: "je pourrai

Un voyage marqué par une progression ← Un voyage au rythme accéléré : d’un voyage paisible sur un fleuve « impassible » (« rythme contraint et lent des haleurs »), on gagne un voyage sur une mer déchaînée. Cette accélération est accentuée par le verbe « courus » mis en rejet. ← Cette accélération marque l’approche d’un aboutissement, l’approche du monde de la poésie. En effet le voyage comporte plusieurs étapes. 2. Un voyage purificateur La première phase de ce voyage est la purification

un emblème. « Portent » : tout comme on pourrait arborer les couleurs d'une dame au moyen âge, leurs visages présentent les stigmates de leurs stupidités. - L'allitération en [s] donne à entendre le ton persifleur du poète. - Le verbe « étranglent » au v3 suggère une existence étriquée - « L'orchestre militaire » participe de cette caricature. Charleville = certes une ville de garnison, mais la présence de l'orchestre précisément militaire suppose peut-être des choix musicaux

envisagée. Il rejette l’idée de marginalité, bref, il rejette sa propre vie, celle d’un « héros », irrémédiablement dépréciée par la présence du sang (9-13). - Enfin le point principal du portrait revendiqué par Zucco se trouve être la discrétion : le verbe remarquer est exploité à de nombreuses reprises : je ne me suis jamais fait remarquer , m’auriez-vous remarqué … ? (2) et je ne me fait pas remarquer font référence à une discrétion présentée comme étant habituelle. La question posée tient d’ailleurs

perfect |Have au présent + pp du |HAVE |Action passée sans date mais dont on peut voir le résultat (le « parfait d’expérience »), qui est susceptible |I have seen this film many times. | | |verbe | |de se reproduire. Passé immédiat (avec just) | | |Present perfect Be-Ving |Have au présent + been +|HAVE

« Stavelot » (1899) - 20e siècle : surréalisme - Discours pour son cœur : amour impossible ? I. Qui parle ? a) Pronom personnel : 1e personne du singulier - Beaucoup d’occurrence dans les 3 premiers paragraphes - Verbe : passé composé et présent = expriment des états affectifs - « Pour moi » : insistance sur la première personne b) Adjectif possessif : première personne - « Or mon cœur » ver 1,3 ,7 : celui qui parle s’adresse à lui-même -

sont .Ce ne serait pas la réalité des choses que nous percevons. La première interrogation est comment se fait ce ? Est ce car nous en sommes incapables ? L’auteur poursuit alors par « nous nous bornons à lire des étiquettes collées sur elles », le verbe « borner » ici traduit le caractère volontaire, nous ne percevons pas la réalité car nous ne voulons pas la percevoir , les étiquettes dont il est question est ce sur quoi notre conscience se fixe. Pourtant une étiquette ne traduit en rien l’identité

à la musicalité de l’ expression, reposerait, selon lui, sur une qualité sonore de la voix qui doit tendre vers son plus haut degré, c’est-à-dire vers son intensité maximale, vers l’ absolu, ce que dans les temps anciens ont reconnaissait comme le verbe magique ou divin. Or, Paul Verlaine, au XIXème siècle fit partie de ceux qui revendiquèrent et réintroduisirent « de la musique avant toute chose » dans ses recueils, paraissant partager ainsi le point de vue de Valéry sur le rôle de la voix du sujet

suggèrent également l'idée de fréquence : -la conjonction "et" apparaît 12 fois, 6 fois pour le premier quatrain. Elle apparaît souvent en doublet vers 4 "et m'aime et me comprend", vers 13 "et calme et grave". -On peut relever la répétition du verbe "aimer", du substantif "regard" (v.12), le parallélisme aux vers 3 et 4 "ni tout à fait... ni tout à fait", l'anaphore des vers 6 et 7. -Le poète semble se répéter Mélancoliquement à lui-même "elle seule". c-Le rythme du poème contribue au lyrisme