Vengeance

lire la lettre de Mme de R.: colère froide, départ précipité fiacre/ chaise de poste parallélisme J. met en mouvement sa vengeance dans une folie des moyens de transport Mathilde qu’il semblait avoir oubliée prop. subordonnée relative/ modalisateur Son rêve de mariage est bien lointain, Math. sort de sa vie, le verbe modalisateur montre qu’il est tout à sa folie de vengeance, il ne dit même pas au revoir à Mathilde les regards des marchands qui… proposition subordonnée relative la relative

reviendrait pas, il était mort. Peu à peu, les larmes montèrent à ses yeux, la vengeance arriva et les idées arrivèrent une à une, toutes affreuses. Les Prussiens revenaient du village, elle les accueillit normalement en ayant pris soin d’essuyer ses yeux et de cacher la lettre. Le soir, ils déjeunèrent tous ensemble mais la mère Sauvage ne pût avaler la moindre morse. Elle les regardait manger, en imaginant sa vengeance sous un visage si impassible qu’aucun des quatre n’eut remarqué quelque chose

dans la souffrance éprouvée par l’homme face à la dimension transcendante du temps. Pour échapper à cette situation défavorable, il rejette par vengeance tout ce qui est temporel, passager, tout ce qui ne fait que passer en élaborant des stratégies de fuite à l’encontre du temps. Tout l’effort de Nietzsche est d’essayer de délivrer l’homme de cette vengeance[3] afin que celui-ci transforme son vouloir vengeur en vouloir créateur[4]. Comme nous le verrons et ici déjà, le temps peut être considéré comme

arrivent. Électre paraît. Oreste souhaite la saluer sans attendre, mais le Précepteur lui conseille d'aller honorer la tombe de son père. Électre apparaît et fait une adresse pathétique au ciel, avant de supplier les divinités infernales d'assouvir sa vengeance. Le Chœur des vierges qui l'accompagne partage sa douleur, plaint sa vie d'opprimée, ainsi que son désespoir devant le retour toujours différé d'Oreste, malgré ses exhortations. Chrysothémis, sa jeune sœur, fille plus docile et préférée de Clytemnestre

 seule  sentence  est  possible.       I. Monologue  délibératif  :  nécessité  d’une  vengeance     a) L’analyse  de  la  situation   § Interrogations  =>  la  vengeance  de  Médée  implique  une  distanciation.   § Les  exclamations  =>  témoignent  d’une  vengeance  inassouvie   § Les  interpellation  à  la  Nature  =>  justification  de  ce  qu’elle  s’apprête

et compenser les injustices -> La vengeance Les tragédies grecques s’en méfient beaucoup. Pourquoi la vengeance est-elle mauvaise? Parce qu’on exagère toujours, la vengeance est aveugle. Il va trop loin, il ne peut pas s’arrêter comme s’il était possédé et ne voyait plus ce qu’il fessait Ex : La vengeance d’Achille, Parce que Patrocle, son cousin et son amant, est mort par Hector, fils de Priam, le roi de Trois, lors d’un duel. Achille va vouloir vengeance. Il le tue et il le déchiquète et

Médée de Corneille Médée est une pièce de théâtre écrite par Corneille en 1635. L'héroïne de la pièce est la magicienne Médée, qui, répudiée par Jason après lui avoir donné deux enfants, accomplit sa vengeance en brûlant la nouvelle épouse de Jason, Créuse, et en égorgeant ses propres enfants. Le dernier acte se termine sur la fuite de Médée sur un char tiré par deux dragons et sur le suicide de Jason. Corneille s'inspire de la pièce de Sénèque et de la pièce d'Euripide tout en y apportant de nombreuses

Par la suite, on peut constater que le héros considère la vengeance comme solution à son dilemme. La présence du champ lexical de l’offense comprenant des mots tels que « querelle» (v.6), « affront » (v.22), « offensé » (v.62), « offenseur » (v.63) met en lumière la légitimité de son choix. De plus, la répétition d’expression en lien avec la vengeance telle que « Misérable vengeur […] d’une injuste querelle » (v.6), « Courons à la vengeance » (v.59) nous permet de déduire que Rodrigue ressent le désir

L'héroïne de la pièce est la magicienne Médée, qui, répudiée par Jason après lui avoir donné deux enfants, accomplit sa vengeance en brûlant la nouvelle épouse de Jason, Créuse, et en égorgeant ses propres enfants. Le dernier acte se termine sur la fuite de Médée sur un char tiré par deux dragons et sur le suicide de Jason.Après avoir redonné ses lettres de noblesse à la comédie, Corneille s'engage dans la tragédie avec la création de Médée. Cette tragédie est représentée pour la première fois en

un côté, la vengeance « m’anime le cœur » mais de l’autre son amour »retient son bras »Son choix est cruel cat il perd forcément une personne qui lui est chère. »M’es-tu donné pour perdre ma Chimène? » L’oxymore de la troisième strophe , « aimable tyrannie » renforce ce sentiment dechoix impossible et injuste pour Rodrigue. Il exprime également l’amour passionnel qu’il éprouve pour Chimène. Il le ressent comme une souffrance. La rime « Chimène » et « peine » accentue cette douleur Dans ce monologue