Vengeance

l’espace , on va presenter son evolution sous 2 notions . la Vengeance privé et la vengeance public. La vengeance privé permet a une personne ou a un groupe des personnes de se venger d’un crime sans avoir recours au syteme judiciare on va etudier la vengeance privé par la notion de la responsabilité individuelle et la punition : cependant la recherche d’un coupable n’était pas encandré par la loi c pour cette raison q La vengeance sans contrôle a engendré bcp d’injustices telle q l’execution

supporter une telle humiliation, entreprend de se venger. Au début de l’acte V, la vengeance est déjà en cours : le messager, Theudas, nous apprend que Créuse et Créon agonisent. Mais ce début ne suffit pas à calmer la fureur de Médée. Celle-ci projette maintenant de blesser Jason, qui l’a trahie, en assassinant leurs enfants. Néanmoins, les sentiments maternels de Médée entrent en concurrence avec son désir de vengeance. Le monologue de la scène 2 de l’acte V va alors mettre en scène l’hésitation du

ne peut devenir une pratique ordinaire. -----→VENGEANCE,JUSTICE,PARDON 1) Vengeance et justice : peut-on se faire justice soi-même ? Si le but de la justice est de réparer les tords et les dommages subis par application de la loi, le fait de punir soi-même le coupable ne peut a priori jamais être juste : la vendetta pratiquée par les mafieux relève du règlement de compte et de la violence et non de la justice. Mais certaines formes de vengeances ne peuvent- elles pas constituer une forme de justice

Bouddha, philosophe dionysien. On ose même : Bouddha, un héros tragique ? Nombre d’aphorismes vont en ce sens. Un seul : « Je pourrais devenir le Bouddha de l’Europe N. » Imaginer un corps spirituel, sans ranc ur ni animosité, sans haine ni soif de vengeance « aucune souillure mentale B ». Méditer, marcher, pour se libérer de l’« esprit de pesanteur Z », de la vieille conscience née du ressentiment. Encore une fois, imaginer un tel corps revient à poser un problème de psychologie celle du Bouddha

sincère affliction. Après une absence et une réflexion de quinze jours, de retour chez lui, le marquis envoie sa belle- mère dans un couvent (où elle meurt) et décide de conserver sa femme, qu’il aime et qui le rend heureux. Contre toute attente, la vengeance de Mme de La Pommeraye a finalement échoué, elle n’a pas éternisé le tourment du marquis comme elle le souhaitait ; et semble même l’avoir guéri de son

l’ironie désabusée d’un personnage blessé : la situation ne peut pas être pire : tous l’on déjà trahi. En soulignant la douleur du personnage, l’auteur souligne que le personnage aurait facilement pu se laisser aller à la vengeance. Il va ainsi devoir dominer le sentiment de vengeance qui l’envahi légitimement -> Tournure superlative « du plus juste courroux ». Auguste se présente comme une victime du sort. Personnification du sort sujet des verbes « nuire », « séduire ». La condamnation du sort permet

sociales, c'est-à-dire il ne faut pas qu'un homme noble aime une jeune fille du peuple ou d'une classe inférieure de la sienne et ainsi de suite… III- la vengeance dans la société : La noblesse du temps attache tant d'importance aux affaires d'honneur, certains seigneurs croient avoir le droit de se faire justice eux-mêmes. La vengeance repose avant tout sur un principe d’honneur. On ne peut laisser une action impunie si elle salit l’honneur d’une famille.   Le duel devient un véritable fléau :

répétition, se posent plusieurs questions. Par exemple, « Était-ce la conscience d’avoir faire mal? Était-ce simplement qu’il ne savait plus très bien si cette vengeance était encore nécessaire ? » 1 Ceci amène à poser, comme question pour quelle raison fait-il cela ? Quelles sont les pertes que son plan lui attire ? Il cherche vengeance pour réparer son orgueil, mais il n’est pas gagnant pour autant. En réalisant ses convictions personnelles, il doit le pays qu’il aime. Son plan a pris huit mois

v1785 : antithèse, du registre épique) -v1786, Rodrigue est prêt à être supérieur à tout les héros + verbe d'action, forcer, entreprendre. -Mais = Rodrigue est prêt à sacrifier sa vie pour que Chimène accomplisse sa vengeance -ch. demande la vengeance (champ lexical de la vengeance) -allitération en « v » Donc, Rodrigue est un héros qui se montre comme tel. Il donne une condition : qu'elle le garde dans son cœur.  b) Le dilemme de Chimène -Chimène fait une argumentation à deux temps -Elle

dans le deuxième paragraphe l'instinct maternel revient mais le troisième paragraphe montre le retour de la vengeance. Elle ne contrôle plus vraiment ses actes « Où te portes tu donc ma rage ? » ne maîtrise pas ses emportements ses émotions ont l'air de lui échapper « fureur insensé ». Elle semble être dominé par une divinité /une force qu'elle ne peut dépasser « Erynis » déesse de la vengeance et « malgré moi », « là ou tu me conduis » se laisse faire. Elle laisse apparaître ses émotions , elle