Véga

pour l'Europe, cela va environ de 1550 à 1750. Si l'on parle uniquement de baroque dans la littérature française, c'est très restreint, de 1660 à l'aube de 1700. Shakespeare, l'inspiration baroque va naître de ses pièces (thème du songe), Lope de Vega (mises en abimes vertigineuses, folie, pouvoir, songe) . En quoi cette pièce relève t-elle de tellement de genres différents quelle en est baroque? La comédie héroïque plusieurs figures de l'honneur dans cette pièce, Rosaura, qui doit reconquérir

roman polyphonique, où se superposent les points de vue qui vont jusqu'à se confondre de manière complexe avec la réalité elle-même, en jouant avec la fiction. À l'époque la poésie épique pouvait aussi s'écrire en prose, et avec le précédent de Lope de Vega au théâtre, peu respectueux des modèles classiques, il en résulta le réalisme issu d'une longue tradition littéraire espagnole, qui le popularisa en Europe, où Cervantes eut plus de disciples qu'en Espagne. Le roman réaliste tout entier est marqué

et n’affronte son destin classique, trois pièces sont jouées en Espagne qui mettent en place certains de ses traits : — Histoire du Comte Léoncio, jouée en 1615 — L’Infâme, de Juan de la Cueva (Leucinio) — La Promesse accomplie, de Lope de Vega (Leonidio). Mais ce n’est que vers 1630 que Fray Luis Gabriel Tellez, plus connu sous le nom de TIRSO de MOLINA (1583-1648), un religieux auteur de trois ou quatre cents pièces, lui donne son nom et fixe la trame de la légende dans El Burlador

le zéle au service du roi Tullus Hostilius, ne s'était interposé avec chaleur, réclamant qu'on lui laissât ce dernier enfant, qui d'ailleurs avait droit à la reconnaissance de tous. Sur ce même sujet, l'Arétin avait composé ‘’Horace’’, Lope de Vega ‘’L'honrado hermano’’ et Pierre de Laudun d'Aigaliers un ‘’Horace Trigémine’’. Mais, s'il est possible que Corneille ait eu connaissance des œuvres de ses prédécesseurs, sa tragédie ne leur doit rien. Il semble qu'il y ait là deux actions et

ce qui concerne sa carrière littéraire : celui-ci décide de lui verser, jusqu’à sa mort, une pension annuelle de six cents livres. Lesage traduit alors deux pièces espagnoles, le Traitre puni de Fransisco de Rojas et Don Felix de Mendoce de Lope de Vega ; ensuite il adapte à la scène le Point d’honneur de Rojas, qui n’est pourtant pas appréciée à la Comédie Française. En 1704, Lesage publie son premier roman, intitulé les Nouvelles aventures de l’admirable Don Quichotte de la Manche, sous le pseudonyme

nu et  n’affronte son destin classique, trois pièces sont jouées en Espagne qui mettent en  place certains de ses traits :  — Histoire du Comte Léoncio, jouée en 1615  — L’Infâme, de Juan de la Cueva (Leucinio)  — La Promesse accomplie, de Lope de Vega (Leonidio).    Mais ce n’est que vers 1630 que Fray Luis Gabriel Tellez, plus connu sous le nom  de  TIRSO  de  MOLINA  (1583‐1648),  un  religieux  auteur  de  trois  ou  quatre  cents  pièces, lui donne son nom et fixe la trame de la légende dans El Burlador de Sevilla 

comedia, genre com-plexe qui mêle, comme le drame Elisabéthain, sérieux, comique et tragique. Les pièces fort longues, sont com-posées de quatre journées. (Ce modèle inspirera Claudel pour Le Soulier de satin). Les auteurs les plus connus sont Lope de Vega (1562-1635), et Calderon (1600-1681) auteur de La vie est un songe. Galeries élisabéthaines et scène en éperon En Angleterre, au milieu du XVIème siècle, les compa-gnies itinérantes d'acteurs professionnels dressent leurs tréteaux dans les cours

tels que Corneille( Comédies, L'Illusion comique) et Molière (Dom Juan ou le Festin de pierre ) en France ; Shakespeare (Roméo et Juliette) en Angleterre ; Tirso de Molina (Marthe la dévote, comédie ; L'abuseur de Séville, drame historique) et Lope de Vega (l’Étoile de Séville, Aimer sans savoir qui, comédies) ou Calderón(La vie est un songe) en Espagne. Dans les romans baroques, les intrigues sont complexes et multiples. On distingue de nombreux types de romans baroques, parmi eux le roman pastoral

peut illustrer un problème théologique : Don Juan c’est l’homme qui a trop cru qu’il serait pardonné. 1. Présentation de la pièce 2. Une comédie à l’espagnol Comédie : pièce légère s’achevant par un dénouement heureux  pièce française Lope de Vega dans De l’art nouveau de faire des comedias en ce temps (1609) a édicter une série de règles définissant la comédie à l’espagnol : * 3 actes de 600 à 1000 vers, qui varient. * Ne pas respecter les trois unités de lieu (chaque acte = une journée chez

hombre Quechua moderno” recibiendo el premio Inca Garcilaso de la Vega que sus contemporaneos llamaban el “principe de los escritores del mundo nuevo”. Asi se podria describir el telon de fondo de esta cita de José Maria Arguedas; y no nos parece que el paralelismo entre los dos hombres sea fortuito, al contrario diriamos que es la clave de la comprension de las palabras de Arguedas que se hace alli el heredero de Inca Garcilaso de la Vega. Lo interesante de esta cita es precisamente en que J.