Véga

dramatiques. Amour, Honneur et Pouvoir, sa première comedia, est représentée en 1623 au Palais royal, comme le seront par la suite la plupart de ses uvres: Calderón ne tarde pas à devenir le dramaturge favori de la cour, surtout après la mort de Lope de Vega (1635). Entre 1630 et 1640, il écrit ses uvres majeures, dont une première partie est publiée dès 1636. L'année suivante, il devient chevalier de l'ordre de Saint-Jacques, après quelques difficultés: l'emploi de son père le rendant indigne de recevoir

vivant, mais elles ont pourtant donné lieu à de nombreuses imitations. En particulier, la tragédie en vers Le Siège de Numance, écrite de 1581 à 1583, a connu entre 1600 et 1813 cinq imitations sous des titres divers et a notamment inspiré à Lope de Vega La Sainte Ligue. Œuvres principales : • Galatée (1584) • L'ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche (1605) • Nouvelles exemplaires (1613) • L'ingénieux chevalier Don Quichotte de la Manche (1615) • Persilès et Sigismonde, histoire septentrionale

secrète». Il meurt en 1655 d’une poutre. Ses écrits : Lettres satiriques. Il développe des figures de style. Nous sommes à l’époque de la belle lettre. Il utilise un ton railleur et ironique. Le pédant joué, théâtre Il s’est inspiré de Lope de Vega et cette pièce fut reprise par Molière. Le plagiat est une pratique courante à cette époque où les droits d’auteur n’existent pas. La mort d’Agrippine, tragédie. Le Fragment de Physique Œuvre scientifique inachevée mais très poussée. C’est un aperçu

pour l’art dramatique en fondant, avec une troupe de jeunes acteurs, la compagnie théâtrale la Barraca, qui se proposait de parcourir l’Espagne afin de faire découvrir au public populaire les grands classiques du théâtre espagnol (Cervantès, Lope de Vega, Calderón). Cette expérience fut, pour l’écrivain, l’occasion de se consacrer tout entier à l’activité théâtrale ; il fit d’abord jouer ainsi une série de ses comédies où s’exprimaient toute la verve et toute la fantaisie du peuple andalou, Amour

(L’Abuseur de Séville et le Convive de pierre). On attribue généralement sa paternité à Tirso de Molina, mais rien ne le prouve. En fait, cette comedia nous est apparue pour la première fois dans un recueil factice de pièce de théâtres attribués à Lope de Vega et à d’autres dramaturges et rien n’en révèle le véritable auteur. Tirso, d’ailleurs, a dirigé lui-même l’édition des cinq volumes de ses œuvres théâtrales dans lesquelles El Burlador ne figure pas. El Burlador est une comedia qui obéit aux règles

du Siècle d’Or se développent à partir de 1590 environ. En ce qui concerne le théâtre, l’Espagne s’engage dans la recherche et l’exploration d’une dramaturgie authentiquement nationale et spécifique. Cette époque doit surtout sa prospérité à Lope de Vega (1562-1635) et sa prodigieuse fécondité. Il est effectivement le véritable fondateur du théâtre espagnol du XVIIème siècle et l’inventeur des formules que la scène espagnole exploitera pendant un siècle, jusqu’à la mort de Calderón (1681). Si Lope

Aunque es difícil establecer épocas en la poética de Lorca, algunos críticos diferencian dos etapas: una de juventud y otra de plenitud.. Tenia una gran vida intelectual, y se le considera un contemporáneo cuya principal inspiración fueron Lope de Vega, Juan Ramón Jiménez, Antonio Machado, Manuel Machado, Ramón del Valle-Inclán, Azorín y el Cancionero popular.. Las obra de García Lorca se caracterizan por constantes referencias al simbolismo y a temas como el amor, la muerte, los deseos, la esterilidad

peu appréciées de son vivant, ont pourtant donné lieu à de nombreuses imitations. En particulier, la tragédie en vers Le Siège de Numance, écrite de 1581 à 1583, a connu entre 1600 et 1813 cinq imitations sous des titres divers et a inspiré à Lope de Vega La Sainte Ligue.

El desconfiado Dedicatoria Acto primero Acto segundo Acto tercero D E S e o N F 1A DO , e 0 - media famora , de Lope de Vega Carpio. DI7Z..IGIDA Al M aeílro Alonfo Sanch ez, C aredrarico de Prima de Hebreo. en la iníi gn e vniucrfidad de Alca la. ~~f[ A MaJor cojdqudoshombm ha~en 'Unos * ~;** E L . . ' 10& ~) (~ ~) q I ~L ~ por otros.es-l«definf:r.y" lam.1) oroblig4 Pi ~ ¡¡ cion queticnen , es•.Hjl'Jen los dpende. En ~ ~~ primerolugayji deae .11autor de 1,. naturaJt

italienne qu’à l’Antiquité), caractérisé par des expériences théâtrales nombreuses et variées. Marqué par Lope de Vega (Font-aux-Cabres, 1618), ce répertoire de la comedia est fermement enraciné dans la tradition espagnole (fondée sur des idéaux liés à l’honneur, à la foi et à la souveraineté du droit divin) et touche autant le public cultivé que le peuple. Dans la lignée de Lope de Vega, de nombreux auteurs du Siècle d’or s’imposent tels Tirso de Molina, , Juan Ruiz de Alarcón y Mendoza ou Pedro Calderón