Valet de cœur

détaillée, de très bonne qualité, vous permettant ainsi de progresser rapidement et efficacement tout au long de l’année. Plan de cette étude : Introduction Développement : I Un couple animé de sentiments violents et opposés 1 Ruy Blas du valet coupable à la grandeur du héros 2 La reine de la froideur à la passion II Les caractéristiques du héros romantique 1 Ces écarts de Victor Hugo par rapport à la tradition littéraire classique 2 Un amour symbolique Conclusion Introduction:

un acte écrite par Marivaux. Marivaux, grand écrivain et dramaturge de son siècle, écrivit cette œuvre au seuil des lumières, en 1725 Elle a pour but la satyre sociale de la relation maître/valet. Deux des personnages de la pièce sont présents sur le théâtre au lever de rideau. Ils sont identifiés : le valet par son nom « Arlequin » ; le maître par son statut social « patron ».Le nom Arlequin renvoie à la comédie italienne (Commedia dell’arte), c’est donc dans un registre comique que se joue la pièce

campagne après nous, et son cœur, que mon maître a su toucher trop fortement, n’a pu vivre, dis-tu, sans le venir chercher ici. Veux-tu qu’entre nous je te dise ma pensée ? J’ai peur qu’elle ne soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise peu de fruit, et que vous eussiez autant gagné à ne bouger de là. Gusman. Et la raison encore ? Dis-moi, je te prie, Sganarelle, qui peut t’inspirer une peur d’un si mauvais augure ? Ton maître t’a-t-il ouvert son cœur là-dessus, et t’a-t-il

Parle, je te l'ordonne ! Ce n'est pas du poison, cette affreuse liqueur ? Dis ? RUY BLAS                        Si ! c'est du poison. Mais j'ai la joie au coeur. Tenant la reine embrassée et levant les yeux au ciel. Permettez, ô mon dieu, justice souveraine Que ce pauvre laquais bénisse cette reine, Car elle a consolé mon coeur crucifié, Vivant, par son amour, mourrant, par sa pitié ! LA REINE Du poison! Dieu! c'est moi qui l'ai tué! - Je t'aime! Si j'avais pardonné?... RUY BLAS

pièce décrivant l'amour impossible entre un simple valet est une reine est écrit en alexandrin, la scène que nous allons étudier est la dernière scène de la pièce ce qui nous permet de conclure que c'est le dénouement de l'histoire. Dans cette dernière scène, Ruy Blas s'excuse auprès de son grand amour, la reine, de l'avoir trahi. Cependant, les premiers propos de la reine ne sont que négatifs pour Ruy Blas, elle n'accepte pas ses excuses et ce valet va donc se conduire à la mort en buvant une fiole

mais aussi de romans (La vie de Marianne et Le paysan parvenu) et, en tant que journaliste, d’articles de presse écrite. Inscrit dans la lignée des moralistes du XVIIème siècle. Le théâtre de Marivaux soulève l'éternelle question de la transparence du cœur. Les ruses du langage, de l'amour-propre, de l'imagination, de l'orgueil caractérisent les dialogues de ses pièces, et les subtiles dissertations sentimentales de ses personnages ne sont jamais éloignées d'une réflexion amère sur l'ambiguïté et la

l’indique, une histoire tissée de masques et de faux-semblants, de tromperies et de manipulations. La pièce aborde bon nombre de thèmes chers à Marivaux, si bien que l’on y a parfois vu une somme de ses inspirations : observation des mouvements infimes du cœur humain, réflexion sur les rapports de pouvoir, mise en scène d’une épreuve, sans oublier bien sûr l’inépuisable thème de la surprise de l’amour. Mais il faut surtout reconnaître dans Les Fausses Confidences l’une des préoccupations nodales du théâtre

son soldat, lui annonce que des hommes armés le cherchent. Don Juan sort pour aviser. Acte III : “Le grand seigneur libertin” Scène 1 : Don Juan discute avec Sganarelle, déguisé en médecin. Sganarelle croit à tout, son maître ne croit à rien. Le valet essaie de catéchiser Don Juan, mais «casse le nez à ses raisonnements» et le grand seigneur libertin se moque de sa piété. Scène 2 : Ils rencontrent un pauvre, que Don Juan tente en vain de faire blasphémer pour un louis. Scène 3 : Don Juan vole

et le vrai. Tout au long de la pièce, le valet joue sans cesse sur l’illusion, le déguisement et les ambiguïtés entre vérité et apparence. Par ses actes, Dubois brouille encore une fois les pistes, mais cette fois celles qui différencies la réalité du mensonge, le vrai du faux. En ce sens, pour accomplir cet exploit, Dubois joue sans cesse entre deux niveaux de réalité : celle de l’être et du paraître. Le premier correspond à la vérité profonde du coeur ; tandis que le deuxième conduit au déguisement

le rend comique parce qu’il a à cœur de raconter en détail ses mésaventures à Arnolphe, personnage trompé par celle qu’il veut épouser. Chrysalde : C’est un ami d’Arnolphe. Il le met en garde à plusieurs reprises contre les idées de son ami qui peuvent effectivement se retourner contre lui. Le personnage n’apparaît qu’à quatre reprises. Les autres personnages sont; Oronte (père dHorace et ami d'Arnolphe), Georgette et Alain (paysans et valet et servante d'Arnolphe), Enrique