Valet de cœur

Fables de la Fontaine. S'il est rare chez Molière, sa pièce Amphitryon parue en 1668 est tout de même inspirée de la comédie du même nom, écrite par Plaute, auteur Latin du IIIe siècle. Dans un extrait, le spectateur assiste au monologue de Sosie, le valet de Amphitryon. Ce héros de guerre envoie son domestique conter les détails de sa victoire à sa femme, Alcmène. Mais Sosie rencontre un problème. N'ayant pas assisté à la bataille, il décide donc de s'entraîner lors d'un monologue à deux voies. En

le ridicule et l'ignorance du valet. L'indignation du valet fidèle Le constat de l'immoralité de Don Juan suscite surprise et indignation de Sganarelle. L'exclamation initiale + interrogation. "hypocrite" est associé à des termes péjoratifs et à des tournures hyperboliques : "de tout point", "le comble des abominations". Ce constat détermine Sganarelle à parler. Le champ lexical de le prise de parole : "parler", "décharge mon cœur", "je vous dise". L'expression

révèle pour la première fois au spectateur le héros éponyme, préalablement évoqué en termes peu élogieux par Sganarelle. Dans cette scène d’exposition, le «  grand seigneur méchant homme » répond par un éloge de l’inconstance aux remontrances de son valet qui lui reproche sa conduite dissolue. On assiste dans cette scène à une démonstration de la puissance verbale de Dom Juan ce qui nous amène à nous demander comment Dom Juan essaie de convaincre Sganarelle, et ce que cet art rhétorique révèle du personnage

personnages : - Dorante : Jeune et beau bourgeois sans argent - Araminte : Jeune, belle et riche veuve- Dubois : Dorante est son ancien maître, Valet et confident d’Araminte - Marton : Suivante d’Araminte - Madame Argante : Mère d’Araminte - Comte Dorimont : Membre de la Noblesse - Monsieur Rémy : Procureur et oncle de Dorante -Arlequin : Idiot et fidèle, Valet d’Araminte qui le confie à Dorante. ACTE I MISE EN PLACE DU STRATAGEME Dubois, a mis en place un stratagème pour permettre à Dorante d’épouser

que sur le même sujet, ce qui explique les nombreuses critiques et le manque de succès lors de la parution de ses œuvres. A cela il avait l'habitude de répondre par une phrase souvent reprise dans les biographies de Marivaux : « J'ai guetté dans le cœur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l'amour lorsqu'il craint de se montrer, et chacune de mes comédies à pour objet de le faire sortir d'une de ses niches. » Comme il le disait, ses fines analyses traitaient de l'amour ignoré

par Marivaux, ne comprenant qu’un seul acte, rédigé en prose. Cette comédie fut représentée pour la première fois par les comédiens-Italiens ordinaires du roi le 5 mars 1725. L’extrait qui nous est présenté fait intervenir deux personnages, Arlequin, un valet, et son maître Iphicrate. Tous les deux, après un naufrage en bateau, ont échoué sur une île possédant ses propres coutumes et lois, peuplée d’esclaves grecs révoltés contre leurs maîtres. Scène 1 : À la suite d’une fortune de mer, Iphicrate, noble

Don Juan et Thisbé à deux et Catherinon à une, donnant ainsi une dynamique au jeu. Ensuite, l'intrigue et le jeu des comédiens révèlent une certaine ambiguïté baroque. En effet, le spectateur est témoin du premier dialogue entre Don Juan et son valet Catherinon où les deux hommes organisent leurs plans : la « bourle », qui consiste à abuser de la chair de la pêcheuse Thisbé « Catherinon : Enfin, prétends-tu vraiment jouir de la chair de Thisbé ? », puis, la fuite une fois la « farce » achevée « Don

politique et la définition du social de l’époque. De plus la pièce m’a faite penser à deux pièces que j’ai lu auparavant et apprécié : Les fourberies de Scapin et Dom Juan de Molière. En effet dans ces deux pièces on remarque la présence d’un valet « farceur », Sganarelle pour Dom Juan et Scapin pour Les fourberies de Scapin. C) Pour poser le contexte, la pièce de théâtre Le Barbier de Séville prend lieu dans une rue de Séville en Espagne dans laquelle se trouve la fenêtre d’une belle jeune

paysan, compagnon de Silvia. • Trivelin, officier du palais. • Laquais. • Filles de chambre. Acte I Sc1 (Silvia, Trivelin et quelques femmes à la suite de Silvia). Silvia appelée (madame) est l’élue du cœur du prince. Elle entre en scène très fâchée, apostrophant Trivelin, valet du maître. Pourquoi ? Parce qu’elle aime Arlequin. Cet amour est réciproque. Trivelin tente en vain de défendre l’amour du prince. Trivelin lui apprend qu’Arlequin va venir au palais. Psychologie de Silvia : Silvia

l’oeuvre de Tirso di Molina «El burlador de Sevilla y con vivado de piedra». Cette pièce composée de 5 actes met en scène un Dom Juan libertin et séducteur aux moeurs dissolues qui n’hésite pas à gagner le coeur des femmes et à les abandonner aussitôt. Dans cette scène d’exposition, Sganarelle, le valet de Dom Juan s’entretient avec Gusman, l’écuyer d’Elvire, récente conquête de Dom Juan qu’il avait sorti de son couvent pour l’épouser. Gusman s’interroge sur le départ précipité de Dom Juan et Sganarelle