Utopie Et Totalitarisme

voie : la communication est devenue en grande partie une utopie. Mieux, elle a, en quelque sorte, absorbé une grande partie de l'espoir utopique dont nos sociétés sont Page 17 sur 20 capables. En tant que tel, le système de valeurs qui s'est construit autour de la communication s'est progressivement affirmé comme une alternative possible aux idéologies et aux représentations « classiques » de l'homme. Mais il n'est pas sûr que cette utopie ait un véritable avenir et que les médias, par exemple

pour parler finalement de la société française de son temps, mais avec un regard éloigné. Ils le disculpent en quelque sorte puisque ce n'est pas lui qui parle, c'est évidemment quelques étrangers de passage en France ; - Utopie de Thomas More est la plus célèbre des utopies. Thomas More est un humaniste Anglais, grand ami d’Erasme, quelqu’un d’assez entier, radical, il condamne propriété privée et va proposer une forme de modèle, de communautarisme idéal ; - La cité du soleil de Tommaso Campanella

interdiction des comiques… Ce traité de philosophie politique et de philosophie du droit, peut être considéré comme un premier manuel de totalitarisme. Rien n’est laissé en dehors de la Cité, de l’Etat dirions-nous aujourd’hui. On connaîtra jusqu’à une date récente d’autres exemples de ces utopies, en réalité meurtrières, au travers du totalitarisme. Le vingtième siècle a été à cet égard un siècle terrible. ARISTOTE Aristote se prête mieux à une illustration de la pensée politique

puissance du pouvoir politique Reponse par les droits fondamentaux. Le prbleme de lhumanisme civique est comment augmenter la puissance du corps politique Comment augmenter sa capacit daction Les libraux rponde que cest dangereux et quon cours au totalitarisme, ou va ton et ou son les limites de lexercice de la puissance publique. Probleme avec machiavel donne a tous la capacit daction ressemble dmocratie. Mais ou est la limite de laugmentation de puissance de chacun. Machiavel apporte une rponse notamment

l’homme, d’éviter tout exclusivisme de certaines formes politiques du XX° siècle car les totalitarisme de gauche comme de droite, n’ont cessé d’affirmer comment la personne humaine se devaient totalement a la collectivité, dont la représentation absolue est l’Etat. l’Etat devient dans cette forme de pensée la, l’Etat devient le titulaire de tous les droits a l’égard des individus. Dans ces totalitarismes la, le système juridique devient SUPERSTRUCTURE et c’est l’Etat qui détermine le droit. Cette

Orwell est surtout connu pour 1984. Pourtant, il est un autre ouvrage, de cet auteur, que l’on doit lire si l’on veut saisir toute l’ampleur de sa critique du totalitarisme. Il s’agit de La ferme des animaux. Ce roman publié, pour la première fois en 1945, sous le nom d’Eric Blair – le véritable patronyme d’Orwell - est une utopie à l’humour grinçant. Ce qu’il y a de remarquable, dans cette fable animalière, c’est qu’elle parvient à décrire, en peu de pages, la genèse du communisme soviétique et

notion de pratique pourtant considérée comme élément constitutif de la communauté, privilégiant un contexte technico-économique (inhérent au déterminisme technique par référence à des TIC et compte tenu de la logique de l’efficience), construit sur une utopie de la relation communautaire dans la durée du temps économique, que ce soit celui de la production ou celui de la consommation, conduisant à un processus d’identification à la fois sur des catégories classique de l’identité (la reconnaissance des

les Guayaki et les Guaranis, étudiées par Pierre Clastres, La société contre l’État, Paris, ed. Minuit, 1974. On doit aussi s’intéresser aux théories politiques qui entendent réinterroger la place de l’Etat, cf. Nozick R., 1988, Anarchie, état et utopie, Paris, PUF, Libre échange. §2 – Une domination politique légitime ? Bourricaud F., Esquisse d’une théorie de l’autorité, Paris, Plon, 1961 Weber Max, Le Savant et le politique, Plan, Paris, 1950 p. 114, Weber Max, Economie et société, Paris,

il ne donne pas non plus de piste pour combattre les « vastes institutions de tyrannie privée[16] », entendons ici les entreprises, les firmes transnationales, les institutions financières qui, de jours en jours, contribuent à rendre possible cette utopie de l’exploitation sans limite que l’on nomme néolibéralisme. En échappant à tout contrôle démocratique, organisant la compétition entre les salariés, elles instaurent un nouveau mode de domination qui, avec la peur comme arme principale, participe

alcoolisme, etc. tel est le lot du prolétariat qui naît de la Révolution industrielle . Face à cette question sociale, certains auteurs expriment leur nostalgie de l’ordre social ancien (rural, agricole, religieux) , d’autres au contraire dessinent des utopies au sein desquelles la classe ouvrières fera la conquête du processus industriel et le mettra au service de la solidarité et de la justice . Le XIXe siècle est aussi le siècle du colonialisme si certains y voient une occasion d’apporter « la civilisation