Utilité Fables

Univ. Paris 7, Analyse microéconomique L1 54EC1222 colonnes du tableau indiquent les niveaux d’utilité de chaque consommateur pour chacun des paniers. Paniers Q1 Q2 Q3 Q4 X 2 4 6 2 Y 2 6 2 8 Utilité Utilité Utilité A B C 20 10 7 60 15 7 40 15 21 60 15 21 Utilité D 15 30 30 15 Utilité E 9 18 9 9 Utilité F 16 19 19 19 1) Quelles fonctions d’utilité ne vérifient pas l’hypothèse de monotonie des choix ? 2) Montrez que la fonction d’utilité du consommateur B ne respecte pas l’hypothèse de convexité

(l’utilité n’est pas l’inverse de nuisibilité). Comme par exemple certains biens nuisibles pour la santé représentent une utilité pour le consommateur (tabac, alcool…). 3- L’utilité marginale : L’utilité marginale est définie par la satisfaction procurée par la dernière unité consommée d’un bien donné. Or, il est évident que plus on consomme un bien, plus son utilité marginale baisse. On dit qu’il y a une relation inverse entre la quantité consommée et l’utilité marginale. Quantité consommée

mathématiques : le consommateur possède ainsi une fonction d'utilité, et le producteur une fonction de production. Le « programme » du producteur est de maximiser son profit sous contrainte de production, et celui du consommateur est de maximiser son utilité sous contrainte de son revenu. Lorsque l'on parle de coûts ce n'est pas seulement le sens comptable qui est important. Trois coûts sont importants en microéconomie : le coût d'opportunité, les coûts irrécupérables (sunk cost en anglais) et le coût

créer une énergie plus structurée représentée par ses aptitudes. Ainsi la consommation, souvent considérée comme destruction de biens et de services, est aussi création. C’est en fait une transformation. Cela lui procure une satisfaction appelée utilité, car cette énergie lui permet de s’adapter à la réalité ambiante voire de la transformer. La satisfaction vient de ce qu’ainsi, il continue de vivre. Cependant, l’évaluation de cette adéquation au réel est subjective, c’est sa représentation idéologique

DÉFINITION CHAPITRE 1 Les grandes questions que se posent les économistes 1. Cout d’opportunité = ce à quoi on renonce 2. Utilité = satisfaction 3. Satisfaction supplémentaire = utilité marginale 4. Loi de l’utilité marginale décroissant = au fur et à mesure qu’un besoin est satisfait, toute consommation supplémentaire apporte de – en – de satisfaction. 5. Le prix relatif = prix d’une unité d’un bien exprimé en unité de l’autre bien. C’est donc le rapport entre le

prise de décision est étroitement liée aux habitudes et aux habitus de ce dernier. C’est ce qu’il a nommé la rationalité procédurale. Dès lors, la rationalité d’une décision pourra être définie non plus en fonction d’une conséquence attendue (utilité ou profit), mais en fonction de la cohérence du raisonnement qui déboucha sur cette décision. Désormais, le critère de satisfaction s’oppose à celui de maximisation. Le modèle Hétérodoxe * Selon cette approche, en situation d’incertitude,

du bien x, un passage à B (une augmentation de la consommation de y) procure un niveau d’utilité plus élevé (une courbe d’indifférence plus éloignée de l’origine). Atteindre un niveau d’utilité plus élevé en consommant davantage est synonyme d’une utilité marginale positive : chaque unité supplémentaire procure de la satisfaction, pas du dégoût. Y Graphique 1 B + y U1 A U2

représente un gain et tout ce qu'il y a en dessous de l'axe des abscisses représente une perte. Donc la perte et le gain s'égalise. Au niveau de la consommation, lorsqu'un consommateur va demander à consommer un bien, plus il le consomme, plus son utilité va baisser. On se situe encore ici à la borne ∏5. Ce raisonnement va se retrouver dans n'importe quel comportement. Ex: Un travailleur va arbitrer entre le loisir et le travail. Donc entre la désutilité du travail et le gain qu'il procure. On se situe

consommateurs ne sont jamais saturés en besoins. Il se pose un même type de question (qu’est-ce que j’achète ? A quel prix ?). Qu’est-ce que les besoins ? Chez les néoclassiques c’est des achats de biens ou/et de services nature à lui procurer une utilité, ces besoins sont marchands (c’est-à-dire payant). B. Les biens économiques et les paniers de consommation Qu’est-ce qu’un bien économique ? C’est un bien marchand sont prix doit couvrir les coûts de productions. Qu’est-ce qu’un

Jevons, Menger « Éléments de l'économie politique pur » 1874 → Walras Le courant néoclassique c'est opposait au courant classique au milieu du 19e, les économistes néoclassiques sont considérés comme marginalistes, ils résonnent à la marge→ Utilité, coût, productivité marginale Ils rejettent totalement la théorie de la valeur travail, en revanche leur analyse est cohérente avec la loi de Say et le principe de la main invisible de Smith. Contrairement aux classiques (offre) les néoclassiques