Une éducation Sans Contrainte

qu'il n'y a rien à chercher, que tout ce que l'être humain recherche est déjà là, qu'il est l'absolu. Quand cela est réalisé, le chercheur ou le questionneur disparaît et devient identique au Brahman (Soi suprême). C’est d’abord la faute à notre éducation. Nous avons été éduqué a ce que nous dévoilions le moins nos sentiments, de peur de paraître ridicule : ex : Depuis enfant on nous dit que nous ne devons pas nous montrer tristes : « Personne n’aime les gens tristes », « Je n’aime pas les pleurnichards »

personne ? Mentir sur des choses aussi banales ne nous profite pas, nous avons acquis dans notre éducation qu’il fallait dire la vérité et donc celle ci parait simple, c’est une formalité, tout le monde la dit en général et mentir dans ces conditions serait une absurdité. Pour lui la voie de la vérité serait celle « de la contrainte et de l’autorité ». En effet, on ment en général parce qu’on est contraint par quelque chose ou quelqu’un, que les faits ne se produisent pas à notre avantage, qu’on ne

violences faites aux individus. L’homme veut alors parfois se libérer de sa culture et des limites qu’elle représente. Nous nous demanderons alors si l’homme peut acquérir les connaissances qui lui sont transmises par sa culture sans subir les contraintes des normes et des limites qui la définissent ,mais aussi si il est possible d'élargir les limites de sa culture sans en perdre l’identité propre. Ou tout simplement si la culture rend-elle l'homme plus libre. Dans un premier temps nous verrons

économistes, philosophes et autres rêveurs qui ont perdu tout contact avec le monde réel. » Quelques années en arrière, cette citation de Roland Barthes me serait probablement passé au dessus du nez. J’imaginais alors, de manière plutôt légitime, que mon éducation était terminée, et qu’elle pouvait difficilement être meilleure. Je sortais d’une des plus grandes écoles française et les employeurs s’arrachaient mon CV. J’étais le profil à attraper. Je le suis toujours d’ailleurs. On dit souvent que votre diplôme

mobilisation de la mémoire pour des connaissances inutiles.   II – Un programme d’éducation humaniste   Le chapitre 23 se construit en opposition avec le chapitre 14 : à l’enseignement scolastique desséchant, inutile, uniquement livresque, s’oppose une éducation qui comprend l’instruction mais aussi le développement de soi-même, du corps et de la personnalité, et qui comprend toutes les dimensions de la vie. L’éducation doit pouvoir ainsi développer les qualités naturelles de l’élève. L’éducation nouvelle

MOTIVATION ET EPSLa Lettre du n°1 Juillet 2011 ACTUALITES (1) 1 Les exposés vidéos des séminaires sur la CP5 organisés par l’Inspection Générale EPS (avec les contribution pour le CEDREPS de Raymond Dhellemmes, Thierry Tribalat et Francis Bergé) http://www.eduscol.education.fr/pid25070/seminaires-eps.html 2 Un site incontournable sur la danse : La vidéothèque internationale conçue par Charles Picq est désormais en ligne : « Au cœur du propos du site, le référencement d’œuvres chorégraphiques,

L’article d’André Compte-Sponville « Un besion de règles, de contraintes, et d'interdits », examine les effets que les institutions ont sur la jeunesse. Les institutions sont les structures et les mécanismes de l'ordre social d'une collectivité humaine qui se composent de d'un ensemble d'individus. Son article envisage la violence dans les écoles et le rôle des institutions de l'éducation dans le conditionnement de la jeunesse. Sponville apporte ses affirmations à partir des philosophes comme

curiosité universelle et l’épanouissement physique et moral de l’être emprunté au naturalisme et antique ; mais veut aussi réagir contre l’ascétisme chrétien marqué à cette époque par la contrainte des esprits et des corps. Ainsi Rabelais s’oppose-t-il aux méthodes d’éducation du Moyen-Âge, en opposant la première éducation reçue par son héros – de longues études ingrates et entièrement livresques, sans rapport avec la vie ni la connaissance du monde– à la seconde, lorsque Grandgousier l’envoie à Paris

Frankenstein pédagogue Notes de lecture Le mythe de Frankenstein peut amener au plus près de la chose éducative. Qui est Frankenstein et qu’a-t-il fait en terme d’éducation ou plutôt de non-éducation ? Le Dr Frankenstein a fabriqué une créature géante et lui a donné vie. Mais cette créature vivante lui fait immédiatement horreur. Cette créature était remplie de l’envie d’aimer et d’être aimée. Mais elle a été abandonnée par son créateur et elle a commencé à errer complètement seule. Elle

curiosité universelle et l’épanouissement physique et moral de l’être emprunté au naturalisme et antique ; mais veut aussi réagir contre l’ascétisme chrétien marqué à cette époque par la contrainte des esprits et des corps. Ainsi Rabelais s’oppose-t-il aux méthodes d’éducation du Moyen-Âge, en opposant la première éducation reçue par son héros – de longues études ingrates et entièrement livresques, sans rapport avec la vie ni la connaissance du monde– à la seconde, lorsque Grandgousier l’envoie à Paris