Une Conclusion Sur La Pudeur

directement à lui «  Vous êtes donc bien tendre à la tentation ». A l'abstraction du discours de Tartuffe répond un important champ lexical du corps dans les répliques de Dorine (« chair », « chaleur », « nu », « peau »). Elle s'exprime sans fausse pudeur, avec un vocabulaire cru. On peut supposer que le geste accompagne la parole et qu'il ose regarder « du haut jusques en bas » celui à qui elle parle. L'hypocrisie de Tartuffe devient plus voyante devant ce personnage honnête et franc. B .Le

l’individu à un ordre qui le dépasse (cf. le christianisme de Fénelon, élève de Bossuet.) Le pouvoir considéré comme un surcroît de devoirs et de responsabilités. Les exigences de la morale chrétienne : Humanité, amour du prochain ; Modestie, pudeur, réserve ; Soumission à une universelle vérité ; Sens de la justice ; Devoirs des Grands. Méfiance envers les passions. Valeur supérieure et impérative des leçons du passé. Rêve de la construction d’un Etat fondé sur la vertu, l’équilibre et

d'autrui. Non pas qu'autrui reconnaisse après coup ce caractère, cette qualité ou ce défaut comme deja existant, mais autrui doit attribuer ceci ou cela au sujet pour qu'il puisse le revendiquer comme son bien propre. Des sentiments comme la honte ou la pudeur ne me decouvrent-ils pas des aspects essentiels de mon etre que j'ignorerais sans autrui ? Avor honte, n'est-ce pas reconnaître que je suis tel qu'autrui me voit ? Ainsi contrairement à la position philosophique classique, pour Sartre, le moi ne

et misères des courtisanes. Guy de Maupassant - Bel-Ami, Une Vie, Pierre et Jean. Les thèmes abordés : Généralement dans les classes moyennes ou populaires.  Le pouvoir de l'argent ;  Le corps (érotisme, sensualité, souffrance) : fin de la pudeur ;  La maladie et la médecine (ce thème rejoint le thème du corps souffrant) ;  L'absence de spiritualité (négation de Dieu, dénonciation de la religion, mort vue comme une fin) ;  Les relations conjugales ;  Les affrontements sociaux Genres

mains potelées. Ce qui domine dans ce portrait est le trop-plein. Nombreux adverbes d’intensité. Ce trop-plein complète l’état de la pension Vauquer, le trop-plein d’argent… La passion de l’argent envahit la personnalité de Mme Vauquer. Elle en a la pudeur comme l’appétit. Elle n’est pas élégante et n’est pas bien habillée. Elle a un souci de paraître pauvre, pour réclamer de l’argent à des gens plus pauvres. Mr Vauquer est uniquement associé à sa valeur financière. B) Une définition de la société

décrit cette même violence avec pudeur, gêne et émotion. Il ne choque pas et laisse le lecteur à son imagination. La différence est qu’Otto dix a vécu ces horreurs, et décrit cela d’un point de vue interne. Alors que Marc Dugain n’a ressenti ces horreurs que d’un point de vue externe. Il y a une violence de souvenir dans la tête d’Otto Dix, qui ne peut pas avoir été vécu de la même façon par un petit garçon qui était choqué par les résultats et non les faits. CONCLUSION : OTTO DIX par le biais de

Présence des sens :  des yeux, du regard : « …les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux »  champ lexical du désir(surtout physique), du plaisir, de la beauté : « On goûte une douceur extrême à réduire… » « …l’innocence pudeur des âmes… » «…ne veut réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants… » «…l’impétuosité de mes désirs… »  désir physique (Casanova) mais plus riche, désir de conquête. b) Images : Négatives :  sommeil

l'examine comme si elle était une bête à vendre . 2. un combat amoureux : les petites résistances de Charlotte - elle lui résiste par sa pudeur ( vous me rendez toute honteuse ) par sa méfiance ( je ne sais pas si c'est pour vous raillez de moi ) par la conscience de son infériorité

deux histoires enchâssées : une île totalitaire où le sport est la règle ; une autobiographie qui interdit de parler de soi. La petite histoire ne compte pas : seule la grande Histoire « avec sa grande hache » est digne d’être évoquée. « Décence, pudeur, lucidité… plus encore : conscience que lorsque la réalité dépasse la fiction dans le pouvoir d’imaginer l’horreur, l’écriture reste impuissante à dire, comme privée de son sujet. » D’où l’utilisation d’une dystopie, de la fiction pour évoquer l’indicible

sien. « J’ai cherché », « je me suis forgé », « j’en rejetais », « j’écoutais » : accumulation de verbes au passé qui traduit l’intensité de cet aveuglement volontaire. « pour excuser à ma tendresse » : amour, passion => litote. Elle l’utilise par pudeur et par refus, elle a été abandonnée. Cela donne de la force à ce qu’elle dit. Elle utilise une autre litote lorsqu’elle évoque DJ : « le relâchement d’amitié », bien au-delà de ce relâchement, DJ est parti, il l’a abandonnée. Done Elvire, c’est un