Une Conclusion Sur La Pudeur

qui considéraient l’homosexualité "contre-nature".La majorité sexuelle reste cependant source de discrimination : Pour les hétérosexuels, elle est fixée à quinze ans et dix-huit ans pour les homosexuels. Et donc la notion "d’atteinte publique à la pudeur" présente dans le code, a été souvent utilisée pour réprimer l’homosexualité. Cette "chasse" aux homosexuels a également eu cours dans d’autres pays. Exemple : En Angleterre, le procès le plus retentissant reste celui d’Oscar Wilde. Marié et père

l’homme est sans cesse contrarié par des pesanteurs et des influences de toutes sortes comme quoi, ce dernier voudrait-il faire ce qu’il veut qu’il en est incapable car apparaissant comme le sujet captif de quelques réalités qui limite sa vie (la pudeur, l’éducation, la loi) est en droit de dire que la liberté demeure un programme irréalisable ? Autrement dit si nous admettons que l’homme subit inévitablement les influences de toutes sortes, qu’il est comme toujours contraint dans ces choix pouvons

de l'oeuvre. Notre extrait se situe dans le chapitre V et fait donc parti de la suite du dialogue entre A et B où est abordé le thème de l'homme naturel et l'homme artificiel. Par quels procédés Diderot transmet-il aux lecteurs les premières conclusions de son dialogue philosophique ? Nous verrons d'abord la théorie de l'homme artificiel et naturel. Ensuite, nous verrons la critique de la civilisation. Dans ce passage, Diderot développe la théorie de l'homme artificiel, c'est-à-dire l'homme

« notre amitié » «  ma douleur extrême » Nous avons aussi un vocabulaire affectif c’est à dire qui exprime une réaction émotionnelle, ici l’amour et la tristesse qui l’accompagne. « Va, je ne te hais point » litote qui permet à Chimène de révéler, avec pudeur, son amour. Egalement «  peine » « je t’adore » « «  que de maux et de pleurs », nous avons également une hyperbole «  mortelles douleurs » et la répétitions de «  va-t’en » ce qui montrent la souffrance endurée. La syntaxe de l’extrait comporte des

progressive en rhinocéros |Attaché aux valeurs humanistes | | |Noter les étapes de la transformation : physique, | | | |psychologique (perte de la pudeur), morale (valeurs| | | |bafouées). | | | |Étudier la dislocation du discours (perte

dévoilé. Deux points de vue sont mélangés, celui de Silvère avec l’évocation du désir et celui du narrateur. « Elle s’était légèrement redressée », ce qui est une modalisation évoquant le désir ; « Avant qu’il eut pu même », ce qui décrit une sorte de pudeur accentuée par « Ce mouvement effarouché » qui est un mot plutôt employé pour les animaux. Silvère est donc complètement retenu. « La femme » n’est plus appelée paysanne. Elle est ensuite appelée « enfant », rapprochant l’âge de Miette à celui de Silvère

fait l’auteur entre le cheval et la femme, mêlent la femme et la guerre, les rassemblent. Les deux ont l’air aussi dangereux l’un que l’autre. Effectivement tous deux sont représentés comme des combats. Ceux-ci est perceptible dans le doute et la pudeur de l’auteur dans par exemple sa demande en mariage sous entendue, indirecte. Ensuite l’auteur marque dans le poème comme un doute sur les sentiments de Lou envers lui. En effet l’auteur n’a pas l’air très sûr de la réciprocité de ses sentiments qu’il

Une servante lucide et spirituelle Suzanne est une jeune femme vive et bien de son époque. Le lecteur pressent qu'elle saura mener à bien ses affaires, comme elle mène le dialogue. Même si elle possède des traits de la servante traditionnelle (pudeur face aux questions de Figaro : « Si je n'en veux pas dire ? »), elle est émancipée : elle tient tête à son futur mari avec obstination (répétition du verbe vouloir) et multiplie les reproches voilés mais clairs (« Que les gens d'esprit sont bêtes

condamnation de l’infidélité. La justice peut prendre des allures expéditives : violente et injuste. Conclusion : La dernière page de la Princesse de Montpensier met en parallèle la résolution de l’intrigue amoureuse et de l’intrigue Historique. Les hyperboles, le vocabulaire subjectif oriente la destinée des personnages vers la condamnation des passions et la construction d’un idéal de vertu et de pudeur. On est donc dans le Jansénisme, cette philosophie Chrétienne qu’on retrouvera ensuite dans la Princesse

message est compris, acquis, appris.Après un holocauste en noir et blanc (La liste de Schindler), le cinéaste s'intéresse à la traite des noirs par les blancs. Une traite sauvage, bestiale, atroce, répugnante, cruelle. Filmée sans concession, sans pudeur, sans hypocrisie. Les Africains sont battus, affamés, violés, nus, humiliés.Le film achève son réalisme avec le mélange des langues: mende, espagnol, américain. La communication est au coeur de l'intrigue. Chacun défendant ses intérêts, ses ambitions