Une Commission D Intendant Dans La Généralité D Orléans

nouveau roi pour lui succéder : 2 prétendants : Charles de Lorraine (oncle du roi défunt donc carolingien) et Hugues Capet (fils de Hugues le Grand et serait né ver 938). A la mort de son père, Hugues Capet possède les fiefs de Paris, Etampes, Melun, Orléans, Senlis,… et a le titre de duc de France. Il est Robertien. Lors d’une assemblée tenue à Senlis, les arguments des 2 prétendants sont échangés : - Charles de Lorraines met en avant son appartenance aux carolingien et met en avant le principe

partagent le pouvoir : • L’aîné de ses fils s’appelle Thierry, il reçoit la région nord-est du royaume (Cologne, Mayence et Reims) et une partie de la Champagne et de l’Auvergne. • Le deuxième fils de Clovis, Clodomir, reçoit le centre du royaume entre Orléans et Nantes. Son autorité s’étend jusqu’à Bourges. • Childebert reçoit l’Île-de-France et une partie de la Normandie. • Clotaire reçoit le reste du royaume : le Nord (de Soissons jusqu’à Noyon et de Tournai jusqu’à Maastricht). Enfin, l’Aquitaine

frappe de monnaie d'or continue par prestige puis s'arrête, tout comme le commerce lointain, encore animé aux Ve et VI siècles par des orientaux (juifs et Syriens), surtout groupés dans quelques villes des axes RhinLoire et Rhin-Saône-Meuse: Lyon, Orléans, Tours, Verdun. Les routes terrestres s'effacent au profit d'une navigation fluviale médiocre. Les écoles se raréfient. La vie sociale se concentre dans des bourgades de plus en plus ruralisées, les vici, et sur les domaines cultivés par des esclaves

peut faire la Loi partout en Europe et c’est la raison pour laquelle au début du XIII Siècles le roi demande au Pape d’interdire l’enseignement du droit romain. Le Pape consent pour l’université de Paris en 1219. Les enseignement vont s’installés à Orléans pour continuer cette enseignement. Ses gens s’appellent des légistes. L’Église elle-même ne résiste pas à l’attraction du droit romain et va rédiger son propre code en imitant ce qui à été fait à Rome. 2. Le corpus juris canonici (cf. le décret de

pouvoir : • L’aîné de ses fils s’appelle Thierry, il reçoit la région nord-est du royaume (Cologne, Mayence et Reims) et une partie de la Champagne et de l’Auvergne. • Le deuxième fils de Clovis, Clodomir, reçoit le centre du royaume entre Orléans et Nantes. Son autorité s’étend jusqu’à Bourges. • Childebert reçoit l’Île-de-France et une partie de la Normandie. • Clotaire reçoit le reste du royaume : le Nord (de Soissons jusqu’à Noyon et de Tournai jusqu’à Maastricht). Enfin, l’Aquitaine

La réalité est très différente, au delà de son royaume le roi contrôle des cités et des forteresses et peut d'autre part compter sur les évêchés royaux. Comme tous les princes les capétiens contrôlent directement des châteaux, des cités (Paris, Orléans, … ) il y a aussi des châteaux sur lequel le roi exerce directement son droit de ban. En général les évêques du royaume n'entretiennent pas de rapports directes avec le roi. Ses évêques sont pris eux même dans le jeu des relations féodaux vassaliques

curules qui sont pris dans le patricia, et les édiles plébéiens qui sont chargés parmi les plébéiens. Aristocratie se défend en réservant des places d’Ediles aux patriciens, appelés édile curule. Les questeurs, vient du latin chercher enquêter, intendants au sens militaire du terme, magistrats chargés de gérer la construction des navires, probablement des enquêtes judiciaires et jouait un rôle dans la procédure pénale. Par la suite les questeurs ont eu surtout des fonctions financières. Ils ont participé

royaume. Son autorité est limitée au domaine royal, les biens matériels et les vassaux directs sur lesquels il exerce un pouvoir direct. Les premiers Capétiens ne possèdent qu'un domaine peu étendu, réduit pour l'essentiel à une zone entre Beauvais et Orléans, vestige du duché de France de Robert le Fort. Par une politique habile de la plupart d'entre eux, ils assureront la croissance du domaine royal. Face aux grands du royaume quasi-indépendants, ils possèdent cependant trois atouts : •

de juridiction trop particulière pour nous intéresser ici. C'est le cas par exemple des juridictions dites « ordinales », celles qui s'exercent au sein d'ordre professionnel. C'est le cas aussi de juridictions dites « sui generis » tel que les commissions du contentieux de la sécurité sociale. Il sera donc question ici en premier lieu des institutions juridictionnelles de l'ancienne France (I). Ensuite, il sera question de l'appareil de justice sous la Révolution et l'Empire (II). Et pour terminer

dialectique, la rhétorique formant le trivium et le quadrivium e sciences durs. Après la faculté d’Art, en maîtrise ils choisissent une des trois spécialités : droit, théologie ou médecine. Paris est la faculté la plus spécialisée en théologie, Orléans en droit et Montpellier en médecine. II/ LA RENAISSANCE LITTÉRAIRE1/ la promotion de la langue française Si les auteurs humanistes s’intéressent au grec et au latin, ils ne sont pas pour autant fermés aux langues vernaculaires. Ainsi,