Une Charonne Baudelaire

Sonnets, (1597)Texte 2 : Arthur RIMBAUD, Poésies, « Le Dormeur du val », (1870).Texte 3 : Victor HUGO ,Les Châtiments, Livre II, 3, « Souvenir de la nuit du 4 », (1852).Texte 4 : Paul VERLAINE, Poèmes Saturniens, "Melancholia", VI, (1866). | -Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, Tableaux parisiens, « Rêve parisien », (1861).-Victor HUGO, Les Orientales, « Rêverie », « Les Djins », strophes 1 à 8,(1829).-Maurice ROLLINAT, Les Névroses, « La Bibliothèque », 1883.-Aloysius BERTRAND, Gaspard de la nuit,

l'avènement de la Commune (1870-1871) exalte ses sentiments démocratiques.       Courbet donne mesure a son réalisme tout d’abord vers 1848 période mouvementée à Paris, dans les rues, où on l’apercevra du coté des ouvriers en blouse de travail avec Baudelaire. Dans ces semaines pleines d'espoir et de générosité, de chimères et de sang, le poète et le peintre combattent coude à coude. Il exprime ainsi sa vision de la société dans des portraits «  purs »  et des paysages. Ainsi L’Atelier, L’Enterrement et les

métier, moi (l. 16) ; tutoiement d’un dieu (toi, l ; 4) – Quelques répliques ont un niveau de langue plus soutenu, et surtout poétique ; paradoxalement elles ne sont pas dans la bouche du dieu, comme on pourrait l’attendre, mais dans celle du nocher Charon : mot-valise qui renvoie à une réalité merveilleuse, sirènesreinettes (l. 23) ; dans celles des grenouilles, qui utilisent pour se désigner une jolie métaphore, parodique de la poésie (homérique ?) : humides filles de fontaines (l. 33) (allitération

inédit39 pour l’époque. La connaissance superficielle40, que ses contemporains ont de l’œuvre de Dante, font qu’ils illustrent toujours les mêmes épisodes : l’histoire d’Ugolin (Enfer, Chant XXXIII), Paolo et Francesca (Enfer, Chant V), et La Barque de Charon (Enfer, Chant III). La nouveauté de Delacroix s’exprime donc par le choix du sujet et par le format utilisé, pour cette peinture à sujet littéraire. Jusqu’à présent, ce format était réservé pour des peintures à sujets religieux ou mythologiques.

métier, moi (l. 16) ; tutoiement d’un dieu (toi, l ; 4) – Quelques répliques ont un niveau de langue plus soutenu, et surtout poétique ; paradoxalement elles ne sont pas dans la bouche du dieu, comme on pourrait l’attendre, mais dans celle du nocher Charon : mot-valise qui renvoie à une réalité merveilleuse, sirènesreinettes (l. 23) ; dans celles des grenouilles, qui utilisent pour se désigner une jolie métaphore, parodique de la poésie (homérique ?) : humides filles de fontaines (l. 33) (allitération

moy croasse, Une ombre offusque mes regards, Deux bellettes et deux renards Traversent l’endroit où je passe : Les pieds faillent à mon cheval, Mon laquay tombe du haut mal, J’entends craqueter le tonnerre, Un esprit se présente à moy, J’oy Charon qui m’apelle à soy, Je voy le centre de la terre. Ce ruisseau remonte en sa source, Un bœuf gravit sur un clocher, Le sang coule de ce rocher, Un aspic s’accouple d’une ourse, Sur le haut d’une vieille tour Un serpent deschire un vautour,

PGaleries nationales Grand Palais, ALAis Réservation www.rmn.fr av. Winston-Churchill, Paris 8ème du 14 septembre 2011 au 23 janvier 2012 14 septembre 2011 23 janvier 2012 ‘‘Le joujou est la première initiation à l’art’’, disait Charles Baudelaire. Mille jouets de l’Antiquité à aujourd’hui réunis dans cette exposition : poupées antiques, poupées princières, Barbie, trains, avions, bateaux, ours de tous poils, automates presque vivants, jeux vidéo batailleurs, figurines en plomb ou en plastique

Brueghel l’Ancien 61. Les comices sont : A) Des fruits B) Des débats électoraux C) Des assemblées D) Des élections 62. Où peut-on voir le musée de l’Ermitage ? A) A Saint-Pétersbourg B) A Berlin C) A Vienne D) A New York 63. L’affaire du métro de Charonne évoque : A) Une polémique entre urbanistes au XIXe siècle B) La répression d’une manifestation contre la guerre d’Algérie C) Une affaire criminelle jamais élucidée D) Un roman de Georges Simenon 64. Cochez chaque affirmation exacte à propos de Francisco

jouissaient d’une jeunesse éternelle ainsi que de tous les charmes et plaisirs. À l’époque de la Grèce antique, une coutume voulait qu’à sa mort, les proches du défunt déposaient une obole d’or dans la bouche de celui-ci., de manière à ce que Charon accepte de lui faire traverser l’Achéron (qui était le fleuve qui séparait l’Érèbe de la porte des Enfers). En effet, ce dieu avare refusait de faire traverser le trépassé jusqu’à l’autre rive à bord de sa barque si celui-ci ne le payait pas. Par

inédit39 pour l’époque. La connaissance superficielle40, que ses contemporains ont de l’œuvre de Dante, font qu’ils illustrent toujours les mêmes épisodes : l’histoire d’Ugolin (Enfer, chant XXXIII), Paolo et Francesca (Enfer, chant V), et La Barque de Charon (Enfer, chant III). La nouveauté de Delacroix s’exprime donc par le choix du sujet et par le format utilisé, pour cette peinture à sujet littéraire. Jusqu’à présent, ce format était réservé pour des peintures à sujets religieux ou mythologiques.