Une Charogne Situation Dénonciation

prononcée par Pangloss « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes ». Nous verrons que le texte semble être une éloge de la guerre mais qu'en fait il en est une critique. Enfin nous montrerons que l'ironie et le réalisme sont au service de la dénonciation. - Une éloge de la guerre. A 1e vue on dirait que le texte décrit une parade militaire. Les soldats sont biens rangés et accompagnés par 2 fanfares. « rien n'était si leste, si beau et si bien ordonné ». Il y a une reprise anaphorique de la

poétiques comme l’amour, la mort, la solitude, l’angoisse existentielle, la nature ou la rêverie. En effet la poésie a su faire entrer la modernité dans le champ poétique y compris dans ses aspects les plus surprenants ou les plus prosaïques (« Une charogne » chez Baudelaire, la ville industrielle chez Verhaeren et le quotidien trivial chez Verlaine dans ces vers de Cythère, dans Les fêtes galantes, « l’Amour comblant tout, hormis / La faim, sorbets et confitures / Nous préservent des courbatures »…)

la religion populaire) que de s’asservir au destin des physiciens ( = les stoïciens). »  LA CRAINTE DE LA MORT (§4) La mort nous effraie. Il y a un traumatisme de la mort 1) pcq elle laisse derrière elle un cadavre qui pue, une charogne, 2) pcq elle signifie une disparition au monde. C’est l’expérience du deuil. C’est aussi, pour nous, l’anéantissement de notre être, de nos projets et de nos œuvres (exemple du collectionneur). Mais, rappelle Epicure,  « habitue toi à penser

poétiques comme l’amour, la mort, la solitude, l’angoisse existentielle, la nature ou la rêverie. En effet la poésie a su faire entrer la modernité dans le champ poétique y compris dans ses aspects les plus surprenants ou les plus prosaïques (« Une charogne » chez Baudelaire, la ville industrielle chez Verhaeren et le quotidien trivial chez Verlaine dans ces vers de Cythère, dans Les fêtes galantes, « l’Amour comblant tout, hormis / La faim, sorbets et confitures / Nous préservent des courbatures »…)

poétiques comme l’amour, la mort, la solitude, l’angoisse existentielle, la nature ou la rêverie. En effet la poésie a su faire entrer la modernité dans le champ poétique y compris dans ses aspects les plus surprenants ou les plus prosaïques (« Une charogne » chez Baudelaire, la ville industrielle chez Verhaeren et le quotidien trivial chez Verlaine dans ces vers de Cythère, dans Les fêtes galantes, « l’Amour comblant tout, hormis / La faim, sorbets et confitures / Nous préservent des courbatures »…)

vérité et se sert d’une querelle comme prétexte à déclencher les hostilités. Il est en refus du dialogue jusqu’à être capable de tuer un de ses sujets qui exprime son désir de réconciliation. Il incarne alors le Roi impulsif et injuste et permet une dénonciation virulente des désastres de la guerreLe cadre :La majorité des lieux évoqués se rattachent au Poitou et à l'Île-de-France. Rabelais évoque d'abord le Poitou et en particulier la région de Chinon très familière à Rabelais puisqu'il y a grandit. L’histoire

variété des points de vue offre au lecteur une vision complexe sur la scène (expérience du capitaine / Choc de Françoise). Le narrateur ne se met jamais à la place de l’ennemi : conserver le suspens par un savoir incomplet réalisme de la situation : depuis le moulin la vision est limitée, impossible de voir dans la forêt 5ème et 6ème séances : révisions grammaticales et lexicales Objectifs de la séance : l’expression de la temporalité, l’expression de la cause et de la conséquence, le

poétiques comme l’amour, la mort, la solitude, l’angoisse existentielle, la nature ou la rêverie. En effet la poésie a su faire entrer la modernité dans le champ poétique y compris dans ses aspects les plus surprenants ou les plus prosaïques (« Une charogne » chez Baudelaire, la ville industrielle chez Verhaeren et le quotidien trivial chez Verlaine dans ces vers de Cythère, dans Les fêtes galantes, « l’Amour comblant tout, hormis / La faim, sorbets et confitures / Nous préservent des courbatures »…)

réfléchir, à prendre conscience; donne du poids à ce qui est dit; “cessez d’être aveugles”=”réveille-toi”, l’auteure veut réveiller les consciences - “est détruit, que reste-t-il donc ?”:Présent d’énonciation/ Question rhétorique: le présent montre la situation; Question faussement rhétorique car reçoit une réponse - “Qu’auriez-vous à redouter”,”craignez-vous”:Question rhétorique: permet de nier les verbes redouter et craindre= les femmes n’ont pas à avoir peur de leur démarche - “Une si belle entreprise”:

une classe de seconde de 35 élèves. Elèves d’un bon niveau, dans l’ensemble. Il s’agissait tout à la fois de mettre en œuvre les programmes selon les orientations indiquées, de les inscrire dans la ressource horaire disponible et de répondre à une situation de classe particulière, un public d’élèves exigeants, en les confrontant à un certain nombre de difficultés et en leur donnant les clés pour les résoudre. Séquence 1 : la nouvelle Objet d’étude : le récit ; la nouvelle Perspective d’étude