Une Charogne Focalisation Interne

indirect libre crée la rumeur (effet d’attente du personnage éponyme). - L’utilisation du dialogue crée la dimension burlesque et réaliste avec la dispute des prostituées (l’histoire est vue à travers le point de focalisation de personnages carnavalesques). - La description de Nana crée sa dimension mythique (le développement insiste particulièrement sur la décomposition de la figure de Nana) et épique (sa mort coïncide avec l’entrée

fortes qui percent le brouillard de sa conscience : énumération fragmentée : « Cette hâte, cette course, c’est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cahots, à l’odeur d’essence, à la réverbération de la route et du ciel ». 2. La focalisation. => Focalisation interne : perception de l’univers du récit se fait par le regard ou la conscience de Meursault. Le narrateur ne rapporte que ce que voit le personnage témoin et ainsi personnage et narrateur se confondent. => Une première personne ambiguë :

Débâcle. Le travail écrit et évalué est le sujet d’invention donné à partir des trois vignettes de la bande dessinée de Tardi C’était la guerre des tranchées. Ce sujet permet à partir d’un support visuel d’écrire un récit en adoptant une focalisation interne (voir à la suite). II – Groupement de textes Problématique : Comment la guerre est-elle représentée dans les œuvres des XXème et XXIème siècles ? 1 - Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932, la Pléiade pp. 16 à

défini. « Une charogne » de Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857 37 « Cauchemar » (1832) de Théophile Gautier 38 « La fille maigre » d’Anne Hébert 39 L’insoutenable monstruosité d’ELLE de Caroline Lajoie 39 En conclusion… 39 BIBLIOGRAPHIE 39 SITOGRAPHIE 39 LA NOUVELLE FANTASTIQUE « La face cachée de l’humanité » Nous avons élaboré notre séquence d’enseignement à partir de la nouvelle « L’insoutenable monstruosité d’ELLE » inspirée par les poèmes « Charognes » de Charles Baudelaire

du roman, de manière à introduire les éléments d’analyse textuelle nécessaires à la compréhension de notre démonstration qui consiste à mettre en avant la dimension fantastique du texte. Les premières séances, qui s’appuient sur l’étude des « focalisations » et l’usage du schéma narratif, ont pour fonction d’alimenter la réflexion conduite dans la séance 7, laquelle synthétise les arguments susceptibles de rattacher l’œuvre au genre fantastique. Les séances 6 et 8 interrogent davantage la portée

des êtres humains. Ces recueils évoquent tour à tour la Normandie, le cynisme des milieux parisiens, la cruauté des êtres humains et la guerre de 1870 qui l'a beaucoup marqué. A partir de 1881, sa santé se dégrade et il commence à délirer. Il est interné à la clinique de Passy où il y meurt en 1893 en laissant de nombreuses nouvelles et quelques romans. II. Résumé L’action se déroule en Normandie pendant l’hiver de la guerre de 1870-71. Dix personnes fuient en diligence Rouen qui est occupée

le duel ne donnera rien du tout, il est ‘inutile’ car les deux hommes s’en sortent sans même d'égratignure mais les balles ont frôlées les deux. Maupassant consacre un chapitre entier pour décrire les émotions ressentis par Duroy grâce à la focalisation interne et les moments menant au duel et va créer du suspens pour ensuite présenter au lecteur un duel 'décevant' dont la conséquence est inexistante et lui montrer l'inutilité du duel. La ridiculité de la cause du duel et l'inutilité de l'échange

vainqueur ( « faire le coquet, quel caquet »), d’où le besoin de la Fontaine de le mettre en garde. - l’implication de l’auteur : le récit est à la 3ème personne du singulier, le narrateur est donc extérieur au récit, pourtant l’auteur s’implique (focalisation externe), il le fait de 2 manières : +directement : quand il s’adresse à l’amour : le tu implique le je de l’auteur L’emploi du je +indirectement : par l’emploi de termes ou d’expressions péjoratives («  faire le coquet » :

époques… Rédiger au propre l’introduction puis, à partir du plan détaillé, le développement3. Le développement s'agence suivant des idées toujours expliquées puis illustrées d’exemples généraux (types de situations, de personnages, de comiques, de focalisations, courants ou mouvements littéraires, périodes, procédés ou formes récurrentes…) ou d’exemples particuliers (tel roman, telle scène, tel auteur, tel passage…). De plus, il est important de rendre la démonstration fluide et compréhensible au moyen

comme s’il ne s’était rien passé dans le but de garder une certaine réputation envers les autres, un certain statut. Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1857) Une charogne Forme : 12 quatrains, chacun d’eux est formé de l’alternance d’alexandrins et d’octosyllabes. Les rimes de ce poème sont croisées. Une charogne évoque le souvenir d’une promenade, avant de se retrouver face à un cadavre en décomposition. Ce poème aborde le thème de l’horreur et montre qu’elle peut être esthétique. Baudelaire