Un Texte Doit Il Plaire Pour Etre Efficace

(Italie) Bcp de traduction, d'explication, de texte, de discussion sur Aristote. Racine propose des traductions de la poétique d'Aristote. Celle ci constitue un cadre intellectuel qui trace des voies et non des règles. • Chap 6 • définitions: imitation = mimesis en grec. Action d'imiter. L'action imite un personnage en train d'agir. Aristote fait une différence entre littérature dramatique (imite par une action) et narrative (imite par un récit) Elle doit susciter deux émotions eleos-phobos. Phobos

INTRODUCTION Fable de La Fontaine, écrivain du 17ème siècle, mouvement littéraire : classicisme. Dernière fable du livre I. Elle permet de plaire et d’instruire et rentre donc bien dans l’objectif de Lafontaine et des classiques. Fable qui prend sa source chez Esope « Le Roseau et l’Olivier ». La Fontaine propose de nombreux textes avec deux protagonistes dont l’un fort et l’autre faible : « Le Loup et l’Agneau », « Le Corbeau et le Renard ». Cette fois, la fable fait part d’une certaine originalité

dénonce l’indifférence pathétique de la bourgeoise de l'époque pour les pauvres, utilise le carnet de notes, à la manière d’un journaliste. JP avec La Grasse Matinée nous présente sa vision du comportement humain face à la faim. A travers leur texte, ces trois auteurs ont dénoncé des comportements qu'ils jugent inacceptables, intégrant une morale implicite pour LB et Prevet, et explicite pour Hugo. Ils cherchent a provoquer l’intérêt du lecteur, et lui faire apparaître des sentiments pour qu'il

souvent imitant les Anciens. « Moraliste du XVIIème siècle » : il s’intéresse à l’homme avec ses qualités et ses défauts et à la société avec des critiques positives ou négatives. Il est connut par ses livres de fables qui portent un jugement. -Texte argumentatif, didactique. -Ésope, Phèdre, Horace : quelques fabulistes Anciens. Cette fable illustre une morale, elle met en évidence une réalité cruelle à portée universelle : le dialogue met en évidence le comportement de celui qui non seulement

lecteur ? Ou encore, peut-on dire que les œuvres de fiction sont un moyen efficace pour convaincre ? En première partie nous étudierons la thèse de ce sujet, puis dans un second temps nous verrons l’antithèse. I - La thèse de ce corpus A - Influence des œuvres de fictions sur le lecteur Pour commencer, nous pouvons définir la notion de convaincre, l’idée de ce verbe est d’informer le lecteur, de l’émouvoir ou encore de plaire. Nous remarquons que les œuvres de fictions ont une certaine influence

les plus jeunes et cela permet aussi d’éduquer la jeunesse en leur inculquant des valeurs. En grandissant les récits laissent alors place aux films ou romans cependant la fiction n’en est pas moins présente. Pourquoi une œuvre de fiction est-elle efficace pour inciter à réfléchir sur l'homme et sur le monde ? Pour montrer cela nous allons voir le vaste domaine d’expression pour l’auteur puis nous allons voir que la fiction charme beaucoup les lecteurs et pour terminer nous verrons que c’est un bon

littéraire qui constitue un monde autonome, ou du moins partiellement distinct du réel pour s’adonner à la persuasion et à la conviction. Il est alors légitime de se demander dans quelles mesures le voile de la fiction littéraire peut-il se révéler efficace pour persuader et convaincre le lecteur ? Tout d’abord nous aborderons les atouts de la fiction littéraire, puis nous verrons ses dangers et ses limites. La fiction littéraire présente différents atouts pour persuader et convaincre

perversités dont il doit se garder ? Certes, le théâtre comporte de nombreux atouts pour dénoncer vices et turpitudes humains. Mais cette alternative at-elle un sens ? S’il est vrai que la visée morale peut tuer le plaisir du spectacle, que l’idée peut tuer l’art, n’y a-t-il pas un équilibre possible qui permettrait au théâtre, comme le voulait l’esthétique classique, tout à la fois de plaire et d’instruire ? N’est-ce pas là la fonction principale du théâtre ? I. Le théâtre peut et doit divertir Le

une histoire qui a permise d’acheminer cette pensée. Il évoque ainsi la nature double de l’apologue, qui se constitue à la fois d’une « âme », soit la morale et du corps ainsi dit ; « la fable, le récit ». La mixité entre les deux parties peut donc être affirmé puisque parallèlement aux êtres humains, les apologues possèdent eux-aussi un corps qui a besoin d’une âme et inversement. Cependant, la critique de Sainte-Beuve, nous mène à penser si les fables sont réellement moralisatrices. Dès lors, nous

D’après Longin, « Le sublime est la résonance d’une grande âme. C’est pourquoi on admire parfois une pensée nue, réduite à elle-même et muette, à cause de cette noblesse même de sentiments. ». Ce genre d’œuvre est si excellente qu’elle peut nous plaire et émouvoir à la fois. Elle à la capacité d'élever notre âme et produire de tels effets éclatants que nous soyons frappés par la puissance de sa plénitude. Par contre, lorsque le sens d’un passage se limite à ce qui est exprimé, et si ça ne nous