Un Soir Apollinaire

décrite avec minutie dans ses tous premiers moments et elle est un objet d'analyse qui révèle toute une société. ZONE Zone est le poème d'ouverture du recueil Alcools (1913) de Guillaume Apollinaire. Ce poème au cycle de Marie (en référence à Marie Laurencin, peintre, rencontrée par Guillaume Apollinaire en 1907). C’est en changeant le titre du recueil Eau de vie en Alcools et en décidant de supprimer toute ponctuation que l’auteur rajoute en tête de l’ouvrage le poème Zone, dernier écrit de

l’une d’elles Accoucha d’une souris   Alors en son honneur Les jardiniers tracèrent Le parc Montsouris   C’est là sa vraie grandeur Paris est tout petit * François VILLON (1431-?) * Ballade des femmes de Paris Paul eluard Apollinaire Le Pont Mirabeau. Aragon Sur le Pont Neuf. C’est Paris ce théâtre d’ombres que je porte Mon Paris qu’on ne peut tout à fait m’avoir pris Pas plus qu’on ne peut prendre à des lèvres leurs cris Que n’aura-t-il fallu pour m’en mettre à la porte

mort, image lyrique (Enfers antiques, « ombres myrteux »), soulagement (« je prendrai mon repos »). • Vieillesse de l’aimée : stéréotype de la grand-mère (position : « vieille accroupie », « auprès du feu ») ; chp lexical de la fin (« vieille », « soir »), de l’extinction (« chandelle » dont la flamme vacille ; « foyer », feu sans flammes, braises) = métaphore de la fin de la vie ; allusion aux Parques (« dévidant et filant ») ; insistance âge (répétition « vieillesse », début et fin du poème).

d'interprétation. Dans la même perspective, Freud analyse les rêves comme des manifestations de l'inconscient et plus précisément comme la réalisation symbolique de désirs refoulés. Max Ernst à dit « Je n'ai pas de problème pour m'endormir. Le soir, sitôt couchée, sitôt dans les bras de Morphée, et dieu sait que je peux me coucher tôt. Mais dans la nuit, je me réveille avec l'envie de me lever, de faire ce que je n'ai pas eu le temps de faire la veille, à savoir : traîner, rêver, imaginer, bidouiller

qui est indélébile «… gardé l’odeur de la bouse de vache de leurs ancêtres » Il y a aussi rapport d’intertexte avec le texte sacré : la vache et la malédiction d’un peuple ??? -Il y a peut-être dans le choix du mot « mal-aimés » une allusion à Apollinaire « La conviction d’être mal-aimés se referme sur les petits cœurs mous et les écrase » p. 37. - Le déplacement de la narratrice prend l’allure d’une exploration d’un cadre étrange, merveilleux et cela nous rappelle les récits de voyage où la découverte

La grande illusion 26 Thèmes 1 : LE RHIN 1 Guillaume Apollinaire (1880-1918) : « Mai » Le mai le joli mai en barque sur le Rhin Des dames regardaient du haut de la montagne Vous êtes si jolies mais la barque s'éloigne Qui donc a fait pleurer les saules riverains Or des vergers fleuris se figeaient

dans le monde Vous êtes guide touristique, vous devez faire visiter un quartier, à un français qui arrive pour la première fois à Istanbul Lire une carte et un plan de métro Corpus : Guy de Maupassant « La Vie errante” et Apollinaire « Zone ». Blaise Cendrars, Extrait, « Tour » Du monde entier Raymond Queneau, Extrait., « La Tour squelettique “ Courir les rues.  Jean Cocteau, Extrait, Le Cap de Bonne Espérance: Queneau, « Zazie dans le métro »

romantiques mais aussi chez les poètes des courants suivants, est celui de l'amour. Les femmes inspirant cet amour, dans le bonheur ou dans la souffrance, sont parfois devenues de véritables muses, comme Jeanne Duval pour Baudelaire ou Elsa pour Aragon. Apollinaire, dans Le Guetteur Mélancolique, crie sa douleur de ne pas être aimé et apostrophe "ô mon cœur". Les Sonnets de Louise Labbé sont également inspirés par une déception amoureuse.   Le poète est souvent un être malheureux, mais l'amour n'est pas la

a une conception particulière de la beauté : pour lui c’est la chose suprême en ce monde, plus importante et plus éternelle que dieu. Biographie et œuvre de l’auteur Guillaume Apollinaire est né en août 1880 à Rome. Il est le fils d'un officier italien et d'une Polonaise. Installé à Monaco dès 1897, Apollinaire est inscrit aux lycées de Cannes et de Nice. Il ne parvient pas à obtenir le baccalauréat. Il s’installe à Paris en 1899 où il s’essaye à toute sorte de métier avant de devenir précepteur

russesLa chienne aboie contre les lilasLa veilleuse est consuméeSur la robe on chu des pétalesDeux anneaux près des sandalesAu soleil se sont allumésMais tes cheveux sont le trolleyÀ travers l’Europe vêtue de petits feux multicolores Guillaume Apollinaire, Ondes, Calligrammes 1918 Arbre A Frédéric Boutet. Tu chantes avec les autres tandis que les phonographes galopentOù sont les aveugles où sont-ils allésLa seule feuille que j’aie cueillie s’est changé en plusieurs mirageNe m’abandonnez pas