Un Soir Apollinaire

regard le tableau par être en désordre sans sens mais si on regarde plus attentivement on remarque qu'il a voulu montrer toute la panique et l'horreur de la scène. Chant de l’honneur LE POETE Je me souviens ce soir de ce drame indien Le Chariot d’Enfant un voleur y survient Qui pense avant de faire un trou dans la muraille Quelle forme il convient de donner à l’entaille Afin que la beauté ne perde pas ses droits Même au moment d’un crime Et nous aurions

jongleur de mot. Mais en cherchant un poète jongleur de mot, je suis tombée sur Maurice Carême et me suis souvenue avoir appris l’un de ses poèmes étant petite. Ne connaissant pas vraiment de poète quotidien, j’ai trouvé Réda et ayant le doute sur Apollinaire j’ai fais des recherches sur ses fonctions. Chaque illustration est soit en rapport avec une citation soit sur l’ensemble du poème. J’ai utilisé les sites recommandés pour plusieurs illustrations et ai essayé de varier entre sculpture, peinture

larmes en automne feuille à feuille Les feuilles Qu’on foule Un train Qui roule La vie S’écoule Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 Avant le temps tes temples fleuriront Avant le temps tes temples fleuriront, De peu de jours ta fin sera bornée, Avant le soir se clorra ta journée , Trahis d’espoir tes pensers periront : Sans me flechir tes escrits fletriront, En ton desastre ira ma destinée, Ta mort sera pour m’aimer terminée

source de renouvellement poétique ? Lectures analytiques 1.Louise Labé, « Je vis je meurs », in Sonnets 2. Victor Hugo « Vieille chanson du jeune temps» in Les Contemplations (1856) 3. Arthur Rimbaud, « Roman » in Poésies 4. Guillaume Apollinaire, « Le pont Mirabeau » in Alcools Textes et activités complémentaires Les fonctions de la poésie : expression des sentiments Jacques Prévert, « Sables mouvant », Paul Verlaine, « Chanson d'automne » ; la poésie au service des idées : Boris Vian

Gautier 3. La nature • La nature est évoquée dans la poésie lyrique, soit pour elle-même, soit en liaison avec d'autres thèmes. «  Il contempla longtemps les formes magnifiques Que la nature prend dans les champs pacifiques ; Il rêva jusqu'au soir ; Tout le jour il erra le long de la ravine, Admirant tour à tour le ciel, face divine, Le lac, divin miroir »  » VictorHugo, les Rayons et les Ombres, « Tristesse d'Olympio » • Le poète établit souvent une correspondance entre ses sentiments

effet les thèmes de la MORT de l’AMOUR sont traités. Il veut mourir car il est empoisonné par l’amour qu’il porte à une femme qu’il ne pourra jamais conquérir. Quand vous serez bien vieille, Pierre de Ronsard. Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise aupres du feu, devidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous esmerveillant : Ronsard me celebroit du temps que j'estois belle. Lors, vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Desja sous le labeur à demy sommeillant

change. Nuit Rhénane “Nuit rhénane” fait partie d’un ensemble de neuf poèmes groupés dans “Alcools” sous le titre général de “Rhénanes” (qui devaient faire l'objet d'un recueil qui aurait été intitulé “Le vent du Rhin”), qui ont été inspirés à Apollinaire par le séjour qu’il fit en 1902 en Rhénanie, région qui ne pouvait pas ne pas développer en lui les germes de romantisme nordique qu'il tenait de son ascendance polonaise et que l'Ardenne belge avait déjà éveillés deux ans plus tôt. Ils s'inscrivaient

Anthologie poétique « Autour du baroque » I. « L´Homme et la Mer » Charles Baudelaire 1857 II. « Le pont Mirabeau » Guillaume Apollinaire 1913 III. « Le Lac » Alphonse de Lamartine 1820 IV. « L'amour par terre » PAUL VERLAINE 1869 V. « Chanson d'automne » Paul VERLAINE 1866 VI. « Chapitre 86 » Anna de Noailles 1924 VII. « Leurs yeux toujours purs » PAUL ELUARD 1926 VIII. « Elsa » (1959) Louis ARAGON 1959 IX. « J'ai tant rêvé de toi » Robert Desnos 1930

bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n’y a pas d’amour heureux Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes Qu’on avait habillés pour un autre destin A quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu’on retrouve au soir désoeuvrés incertains Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes Il n’y a pas d’amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi

Villon nous y encourage, il est également nécessaire dans un second temps de souligner et de mettre en valeur les « racines » de la parole de J. Bousquet, car bien qu’elle s’inscrive dans un mouvement apparemment novateur (le surréalisme qu’a initié Apollinaire), elle est, par bien des aspects, l’écho d’une longue Histoire de la poésie. Elle nous renverra donc à la place traditionnelle de la parole versifiée et du poète, et à son rôle dans les diverses civilisations qui ont engendré celle de Bousquet