Un Singulier Aveu

l’auteur lui-même Notre passage est en effet celui, dans le récit, où René fait l’aveu de sa complaisance à demeurer dans son trouble : « Toutefois cet état de calme et de trouble, d’indigence et de richesse, n’était pas sans quelques charmes. » Cet aveu évolue d’ailleurs d’une formulation plus indirecte, et qui marque donc la conscience de la culpabilité, avec deux négations qui s’infirment (n’était pas sans quelques charmes), à une affirmation plus directe et plus assumée : « on en jouit » dit enfin

écrit les premiers Essais au XVIè siècle où il exerçait sa réflexion en se confrontant aux grands penseurs sur un ton assez libre, cet exercice implique que vous vous engagiez sur le sujet abordé. N’hésitez pas à utiliser la première personne du singulier pour défendre votre point de vue et à soigner l’expression. Précisions issues du site eduscol, avec le corrigé du sujet de 2021 : « L’essai est fermement articulé à la question d’interprétation. La pleine compréhension du problème posé requiert

Sigmund FREUD Après nous être servis du rêve comme du modèle normal des troubles psychiques narcissiques, nous allons tenter d’éclairer l’essence de la mélancolie en la comparant avec l’affect normal du deuil. Mais ici nous sommes obligés de faire un aveu préalable qui nous préservera de surestimer le résultat obtenu. La mélancolie dont le concept est défini, même dans la psychiatrie descriptive, de façon variable, se présente sous des formes cliniques diverses dont il n’est pas certain qu’on puisse

éthique l’éditeur fait-il usage dans la mise en livre du texte ; quels sont les écueils possibles ; les conséquences sur le livre et la lecture? S’il est une expérience commune aux amateurs de livres c’est que certaines éditions, ouvrages singuliers ou collections sont plus réussies que d’autres, c'est-à-dire qu’elles apparaissent comme l’instrument ou le vecteur quasi idéal de transmission de la singularité et qualité d’une œuvre, voire son mode même d’être comme si le livre ne résultait ni

richesse, il faudra que tout se rende. Quand l'amour parle, il est le maître, et il parlera. in Les Fausses Confidences de Marivaux, Scène II. Chez Marivaux, l'amour est toujours surprise, épreuve et déguisement. Son surgissement fait théâtre et son aveu est attendu. Ici il s'agit bien, dans un microcosme social magistralement évoqué, du long combat que mène, contre elle-même et les convenances factices, Araminte, jeune et riche veuve, pour accepter l’amour de Dorante, amant désargenté. Pour tisser

harmonieusement. Cette danse est d’autant plus remarquable que les deux cavaliers ne se connaissent pas et ce fait ne passe absolument pas inaperçu puisque ''le roi et les reines se souvinrent qu'ils ne s'étaient jamais vus, et trouvèrent quelque chose de singulier de les voir dans ensemble sans se connaître (L15)''. Cette danse donne l'impression que, depuis le début, M de Nemours et Mme de Clèves étaient faits pour se rencontrer. Et si cette rencontre était prédestinée ? Madame de Lafayette, par de nombreux

un univers oriental. Pourquoi l'orient ? Car c’était à la mode ( il y avait une fascination pour le monde oriental en France ) C’était un monde faste (Splendide) On apprend que le mouphti est un religieux. Le texte est à la première personne du singulier. “Lumière des Lumières” Il y a une exagération (Hyperbole, une périphrase hyperbolique) La tonalité est donnée dès la deuxième ligne par le mot “sottise”. Le texte veut faire l’apologie de la sottise : le registre est ironique. Dès l'introduction

discours, surtout au présent, ne figurent théoriquement pas dans le récit. (Chez Phèdre, discours, utilisation du vous de politesse tout au long du texte. A commenter : passage du vous au tu, qui montre les changements de sentiments de Phèdre et son aveu…) la P1 n’est pas exclue du récit, mais elle est associée au passé simple. Il ne faut pas confondre le sujet grammatical et le sujet de l’énonciation. Emploi de la P2 dans le datif éthique : « l’ours vous empoigne un pavé… » ici le vous n’a pas

défendra et développera la religion légitime. 2. Le poète s’adresse à Dieu : « ton amour et ta crainte » (v. 13), « ta gloire » (v. 16), « ton obéissance » (v. 17), « tu », « te » (v. 18), « Tu » (v. 19). Le roi est désigné par la troisième personne du singulier : « son » (v. 1 et 7), « il » (v. 7 et 18), « ses » (v. 11 et13), « sa puissance » (v. 16), « le » (v. 18). Le poète se mêle à la masse des sujets du roi, des croyants, de tous ceux qui aspirent à la paix : « nos » (v.1, 3, 19, 22 et 23), « nous

l'argument, la torture est plus grave que prendre les armes l.11 à 15 : « En Algérie », exemple concret, précis, puis il généralise : « en d'autres lieux » : argumentation inductive + « ceux qui » : pronom démonstratif péjoratif + « innocent » : singulier, renforce le mot + CL de la morale . l.15/16 : question rhétorique, il réfute l’efficacité de la torture, antithèse « Justifier […] de plus injustifiable » : nous reprochons quelque chose à l'adversaire alors que nous la faisons nous-même. l. 16