Un Simple Soldat

tableau s’inscrit dans le courant expressionniste, en ce que l’art est un moyen d’exprimer des angoisses et une révolte face à la situation sociale et économique difficile. Otto Dix est allemand, né en 1891, et a participé à la guerre en tant que simple soldat. Otto Dix est En effet il voulait témoigner par ses peintures de ce qu’il voyait, de ce qu’il vivait. A cette volonté de témoigner s’ajoute un défi esthétique : Peindre la réalité, la laideur et montrer les terrifiantes suites de la guerre.

autrui uniquement parce qu’il est un être vivant, c’est respecter la vie et non l’ôter ou faire souffrir. Dans le texte de Jean ROUAUD, la vie est retirée à des hommes et de manière cruelle. Il n’y a plus de respect pour la condition humaine. Ces soldats sont en pleine souffrance. Par ce texte, on nous représente toute l’inhumanité de la

20eme siècle. Cet artiste est connu comme caricaturiste dans plusieurs journaux (L’Assiette au beurre, La Baïonnette, Le Figaro). Il est parmi les seuls affichistes français qui, à l’exemple des Anglo-Saxons, utilisent des moyens iconographiques simples sans recours à la représentation académique des formes ou au langage allégorique. Historique: Affiche de 1915, faite par A. Faivre, commandée par l’Etat français et qui s’adresse à la population. A cette date, la France est engagée dans la

tranchées. Il enseigne ensuite les beaux-arts à Dresde à partir de 1927. Après la guerre les soldats n'hésitent pas à afficher leurs difformités en public. Otto Dix est contre cette récupération dramatique des traces de la souffrance militaire. Il choisit donc de montrer les soldats comme des pantins ridicules. SENTINELLE MORTE (1924) TROUVE EN CREUSANT UNE TRANCHEE (1920 à 1923) SOLDAT BLESSE (1916) II.. PRESENTATION DE L'OEUVRE Alors que Dix vient de s'engager dans l'armée

les nombreux enjambements ou rejets, et l'assonance en "ou" évoque une nature pleine de vie. Le deuxième quatrain nous fait découvrir un jeune soldat dans une position pas du tout militaire. L’utilisation du terme nue nous le montre comme un être pur offert à la nature rayonnante. Il dort mais la pâleur suggère déjà un problème. De plus le soldat est baigné de lumière comme s’il était prêt à être veillé. La multiplication des couleurs froides (bleu, vert) ainsi que les rimes plus étouffées

et de l’avenir sombre. Les allitérations en « m » dans la phrase ci-dessus met en relief l’avenir qui va suivre à cette guerre, la violence inouïe : la brutalisation du soldat. Le champ lexical du départ présent dans tous le début du texte qui  : « partis, dîmes adieu, quittaient allais » qui sont tous des verbes au passé simple ou a l’imparfait insiste sur le fait que l’on ne peut plus retourner en arrière, l’époque ancienne est révolue. 2. L’influence du surréalisme A. Images du surréalisme

jour un soldat qui marchait à pas cadencés sur la route : Une deux……. ! Une deux…….  ! Il avait son sac d’ordonnance sur le dos et un sabre à son coté car il avait été à la guerre. Hemmmmmm ! ce soldat rentrait chez lui. Il rencontra sur la route une vieille sorcière. Mon dieu les enfants, elle était affreuse ! Sa lèvre inferieure lui pondait jusqu’au sur la poitrine. Et voici ce qu’elle lui dit : * Bonsoir soldat ! Comme tu as un grand sac et un beau sabre ! oh tu es un vrai soldat ! Tu vas

prennent pas à deux fois. Dès la première campagne, tout est fini. Si certains sont incapables de comprendre les maux inhérents à l'emploi prolongé des troupes, ils sont également incapables de comprendre les voies avantageuses de la rapidité. 2.8. Le soldat habile ne lève pas de deuxième impôt, ni ne recharge une deuxième fois ses chariots de provision 2.9. Il apporte le matériel de guerre, mais s’entretient sur l'ennemi qui fournira une alimentation abondante. 2.10. L’entretien d’une armée éloignée

I. La brièveté du récit. La brièveté est le propre des fabliaux médiévaux, des contes à rire colporté oralement où les personnages souvent populaires sont stéréotypés. Les quiproquos sont nettement mis en évidence par un schéma narratif simple. Personnages stéréotypés : Ils ne sont pas nommés et sont déterminé de façon indéfini (« une bonne vieille » ;  « un soudard ») ou générique (« la bonne dame » ; « les plusieurs »). Pas de description physique ni de portrait

Introduction Les guerres du XXe siècle ont exercé une influence notoire sur la littérature : de nombreux écrivains ont dénoncé l'horreur de la guerre. Ainsi, en 1935, Giraudoux, soldat lui-même en 1914-1918 et conscient qu'une nouvelle guerre se prépare, reprend la légende de la guerre de Troie dans sa pièce La guerre de Troie n'aura pas lieu. Il y met en scène Hector, un ancien combattant qui a vécu l'horreur de la guerre. Dans la scène 5 de l'acte II, le fils de Priam prononce avec réticence le