Un Simple Soldat

de l'article , cet événement n'est qu'une mutinerie de soldat dans un but uniquement personnel et individualiste : «  En fait nous n'avons là qu'une mutinerie furieuse de soldat mus par leur égoïsme » (ligne 22/23).Cette phrase illustre parfaitement le point de vue sur l'auteur mais aussi le point de vue dominant dominant a cette époque d'une quasi totalité de l'Angleterre. En réalité, ce qui se passe en Inde en Août 1857 est plus qu'une simple mutinerie. En utilisant le terme mutinerie, l'auteur

cette oeuvre? Quel paradoxe permet à l'auteur d'atteindre son but de représenter les soldats morts pour la France? L'étude se divise en deux partie: en premier lieu, le style d'écriture va être analysé, et en deuxième partie, les conséquences de ce choix d'écriture vont mettre en lumière les perspectives sociologiques qui apparaissent dans cet extrait à travers de nombreuses idéalisations. Ce discours du jeune soldat est écrit dans un style de poésie classique, composé d'alexandrins et de rimes plates

l'oeuvre : La chronologie impliqué dans le tableau évoque un cercle vicieux : à gauche les soldats partent au front, au milieu ils subissent l'horreur, blessés ils rentrent chez eux ou rentrent au camp et enfin la prédelle (le tableau du bas) pourrait indiquer le repos ou la mort. Ce tableau a pour but de dénoncer la dimension cauchemardesque de la 1ere guerre mondiale, l'éternel retour au front des soldats même blessés et le nombres de morts que la guerre fait. Le panneau de gauche : Il représente

« l’infini du ciel bleu »(v.2) symbolise l’espace immense en contraste avec la couleur « rouge » v.1 - Le nombre imposant des soldats « en masse » v.6 donne un effet d’insistance, corroboré par la déconstruction des vers qui suggèrent le chao. (L’horreur que émane de ce tableau - La déshumanisation des soldats, qui sont assimilés à de simples pantins, est accentuée par le verbe « croulé »(v.4) qui s’emploiehabituellement pour une chose. - De plus, le choix du terme « tas fumant

aussi la séparation entre les civils (innocents) et les soldats américains (bourreaux). On peut apercevoir un groupe de soldat représente la force militaire brutale. Les militaires armés sont associés à des soldats automates aux armes sophistiquées, aux reflets métalliques et à la technique aberrante (trois trous au bout du fusil). Les formes angulaires des corps cuirassés et des armes contrastent avec les formes arrondies des victimes. Les soldats son robotisés et représentent la soumission de l’armée

(historique, culturel, politique) : Le Pianiste, évoque de façon émouvante la Shoah à travers l'expérience d'un simple survivant du ghetto de Varsovie. Présentation détaillée 4-Description (Forme, technique, signification, usage) Scène 1 : dans la rue des juifs sont surveillés par des soldats nazis. Un groupe de musicien joue de la musique traditionnelle juive (klezmer). Pour s’amuser un soldat force les personnes juives à danser sans se soucier si elles sont âgées ou infirmes. La scène est poignante

survivant est le leur. Le bébé mort est étendu aux pieds du bon roi tandis que le survivant est violemment attrapé par un soldat qui a dégainé son épée. Pourquoi ? Salomon, après réflexion, a ordonné : « Partagez l'enfant vivant en deux et donnez la moitié à l'une et la moitié à l'autre ». Face à cette décision, l’une des deux mères réagit puisqu’elle tente d’arrêter le soldat en tendant le bras pour protéger l’enfant tout en tournant la tête vers Salomon pour le supplier de l’épargner. L’autre mère

4,400,000 entrées dans le monde. En réalisant cette fiction, Jeunet nous montre l’absurdité de la guerre, la violence de masse que la guerre a pu faire. Nous découvrons, la vie dans les tranchées dans des conditions terribles, les mutineries des soldats épuisés par cette guerre. Jeunet nous fait visualiser aussi l’amour, la force des sentiments, la ténacité et l’espoir autour du film. * Résumé : En 1919, Mathilde a 19 ans. Deux ans plus tôt, son fiancé Manech est parti sur le front de la Somme ;

conséquences sur les soldats : La guerre dans les tranchés amène à une modernisation des armes et des techniques de combat. Ainsi, le tir à distance disparaît pour laisser place au corps à corps avec l'utilisation de baïonnettes. On peut remarquer l'emploie de grenades et de mitraillettes.  Les allemands utilise pour la première fois, au printemps 1915. : le gaz Celui qui le respire meurt dans les 20secondes. Etant inodore et invisible, cela devient un élément stressant de plus pour les soldats qui craignent

contradiction lors du recrutement des soldats par le prince entre la formule « qui n’ont rien à perdre », alors qu’à la guerre on risque de perdre la vie. Il en va de même pour les autres soldats, dont les causes du recrutement sont tout aussi absurdes. Leur gain, « cinq ou six sous à gagner pour eux » ; de même leur répartition entre les belligérants est ridiculisée par le lexique péjoratif : « ils se divisent aussitôt en deux bandes comme des moissonneurs ».  === Le soldat n’est donc qu’un mercenaire,