Un silence de mort

projets recevables. - Quelle position La Fontaine propose-t-il face à la mort ? - Comment l’attitude du cochon propose une réflexion sur l’attitude à adopter face à la mort ? - Comment L F nous décrit-il plusieurs animaux allant à la foire ? Mouvements : Remettez les mouvements dans l’ordre 1er mouvement : Une moralité ambiguë (ironique ou pas?) 2ème mouvement : Justifications du Cochon par la connaissance de sa mort prochaine 3ème mouvement : un tableau amusant nuancé par une certaine inquiétude

Cette valorisation de "l’ego" est caractéristique du romantisme, elle constitue en outre une revanche du mal-aimé, une sorte de consolation dans la contemplation narcissique de ses propres mérites, la confirmation de son "génie" dans la fidélité au silence et au rejet. L’idée de souffrance y est intimement mêlée : « Le mal est sans espoir… », « Hélas ! », « solitaire… ». Le poète romantique est marqué au sceau d’un destin maudit. Si l’amoureux qui souffre prend la plume, c’est parce que la douleur

art inégalé de la disponibilité, qui lui permet de se maintenir éternellement dans le champ de n’importe quel langage critique. L’écrivain interroge sous le couvert d’affirmer ; le critique répond sous couvert d’interroger. Allusion et assertion, silence de l’œuvre qui parle et parole de l’homme qui écoute, tel est le souffle infini de la littérature dans le monde et dans l’histoire. Racine a honoré parfaitement le principe allusif de l’œuvre littéraire, et engage le critique à jouer pleinement son

dix minutes, la toiture ardoisée du beffroi (3) s'écroula, la salle de recette (4) et la chambre de la machine se fendirent, se trouèrent d'une brèche considérable. Puis, les bruits se turent, l'effondrement s'arrêta, il se fit de nouveau un grand silence. Pendant une heure, le Voreux resta ainsi, entamé, comme bombardé par une armée de barbares. On ne criait plus, le cercle élargi des spectateurs regardait. Sous les poutres en tas du criblage, on distinguait les culbuteurs fracassés, les trémies (5)

à deux, dans la nuit africaine, sous les frondaisons (palmes balancéeS) que fait bruire la brise nocturne, très doucement (à peinE). Le silence est profond, les enfants se sont endormis, bercés par la chanson de nourrice. Le poète désire que le silence rythmé (alliance de mots significative puisqu'elle associe son et mouvemenT) les berce aussi. C'est un silence qui chante au rythme de leur pouls (notre sang sombre et de celui, profond, de l'Afrique personnifiée de ce faiT), l'Afrique de l'enfance

« Silence, Moteur, Action ! » « Je crois que si je peignais comme De Vinci, j’aurais fait un arrêt sur image sur ce moment magique.» Il lui semblait que même au cours d’une vie entière, on ne pouvait pas voir autant d’étoiles qu’en cet instant. D’emblée, un rideau de nuages cacha le firmament de diamants. Les yeux ouverts, elle contemplait le ciel maussade. Les nuages divulguaient dans l'océan de bleu nocturne. La brume environnante se donnait en spectacle en un délicieux ballet. Le ciel

sombre, tristes et grand =) lieu pesant, les pers sont opprimés =) la mercerie=) cercueil + adjectifs de couleurs du deuil =)la mort : sombres, noires, blanchâtre et rougeâtre (x2) =) péjoratif reviennent très souvent et sont plus forte au fur et à mesure + CL de la mort :"brûlé", "noires", "ombres", "dernières", arbres vieillis jettent leurs feuilles, sent la mort venir, des linceuls dans son ombre,taches brunes et grises qui s’effaçaient + obscurité contraste avec le jeu des lumières +des

Française avait gagné… Qui vivra verra » p311 312 (La presse et le pouvoir, l’arrivisme. COMMENTAIRE COMPOSE Page 2O6 de « Il y eut un long silence … jusqu’à …à d’épouvantables choses » L’agonie de Charles Forestier. LES THEMES DU ROMAN 1.Les femmes et l’amour, 2.Les journalistes et la presse

déception amoureuse, perte de son enfant, et enfin sa mort pathétique. I] La discrétion dans la passion Dès les premières lignes, Pascal Quignard décrit le caractère discret de Madeleine, notamment face aux colères de son père : alors que Toinette se rebelle, « Madeleine ne se plaignait jamais. A chaque colère de son père, elle était comme un vaisseau qui chavire et qui coule inopinément : elle ne mangeait plus et se retirait dans son silence » (p. 19). Outre un caractère discret, introverti, sa

aveugles et les voyants)2nd mouvement :(1 er tercet) - « le noir illimité » : Périphrase = les aveugles sont proche de l’état de mort- « Ce frère du silence éternel » : encore périphrase de la mort déclinée dans un 2eme aspect, le silence- Synesthésie = Le noir associé au silence → Les aveugles qui semblent être dans cet état proche de la mort- « Ô cité ! » : Apostrophe = Le poète s’adresse à la ville et à ses habitants dont les aveugles ne semblent pas faire partie.- « Pendant qu’autour