Un mari idéal

représenter à travers eux la diversité des êtres humains. Le personnage romanesque est donc le support qui permet à l’écrivain d’explorer la société et de faire une analyse de sa vision sur le monde. Le personnage, double idéal du romancier : le héros du roman est souvent une représentation idéale du romancier, qui traduit à travers lui ses rêves, ses valeurs et ses aspirations. Il apparaît comme celui ou celle qu’il aurait voulu être, son porte-parole et son double. Le personnage, incarnation du mal : le romancier crée

publication. Résumé de l’œuvre, publiée en 1973 : Ce roman raconte l’histoire d’un enfant nommé Jaromil. C’est un enfant né sous la pression exercée par sa mère sur son père à fonder une famille, alors que ce dernier n’en avait pas envie. Délaissée par son mari, la mère de Jaromil reporte toute son affection sur son fils et est en admiration devant lui. Très vite, on s’aperçoit qu’il a un don particulier pour la poésie. Il se met également très tôt au dessin. On accroche ses oeuvres au mur de sa chambre

Gervaise boite (texte 2) – Avec le tête-à-tête avec Coupeau, une première séduction surgit : Gervaise par elle-même. (texte 3) – Son idéal (texte 4) – Gervaise par Coupeau (texte 5) – Gervaise par Goujet (texte 6) Une pièce tombée du bon côté : réussite de la blanchisseuse à 28 ans – "Un bout de trottoir à elle" (texte 7) – Gervaise vue par ses voisins (texte 8) – Un idéal atteint (texte 9) Relâchements : ruine lente et force de l’hérédité – Première nuit chez Lantier sous les yeux de Nana (Coupeau ivre)

patron de Laurent va lui interdire de quitter son travail en pleine journée. Il ne pourra donc plus retrouver Thérèse. Cela dure deux semaines. Un soir, Thérèse parvient à quitter sa demeure et a souvent l’idée d’assassiner Camille pour pouvoir se marier avec Laurent. Camille et Laurent partent faire un tour en barque, au milieu de la Seine. Laurent est bien décidé à mettre fin aux jours de son vieil ami. Il le pousse par dessus bord mais Camille se débat tant bien que mal et réussit à mordre

jouisseur, paresseux et dénué de scrupules. Coupeau 2ème mari de Gervaise. Au début du roman, il est l’exemple même du parfait ouvrier. Suite à un accident, la paresse et l’alcoolisme deviennt ses caractéristiques essentielles. Il a recours à l’alcool pour fuir la sordide réalité. Evolution négative de ses relations avec Gervaise : quittant l’aspect du mari idéal qui aime sa femme, économise chaque sou, s’occupe des enfants, il devient un mari brutal, qui frappe sa femme, s’absente de plus en plus

 le patron de Laurent va lui  interdire de quitter son travail en pleine journée. Il ne pourra donc plus retrouver Thérèse  Raquin. Cela dure deux semaines. Un soir, Thérèse Raquin parvient à quitter sa demeure et  a souvent l’idée d’assassiner Camille pour pouvoir se marier avec Laurent.     Camille et Laurent partent faire un tour en barque, au milieu de la Seine. Laurent est bien  décidé à mettre fin aux jours de son vieil ami. Il le pousse par dessus bord mais Camille se  débat tant bien que mal et réussit à mordre violemment Laurent au cou

 le patron de Laurent va lui  interdire de quitter son travail en pleine journée. Il ne pourra donc plus retrouver Thérèse  Raquin. Cela dure deux semaines. Un soir, Thérèse Raquin parvient à quitter sa demeure et  a souvent l’idée d’assassiner Camille pour pouvoir se marier avec Laurent.     Camille et Laurent partent faire un tour en barque, au milieu de la Seine. Laurent est bien  décidé à mettre fin aux jours de son vieil ami. Il le pousse par dessus bord mais Camille se  débat tant bien que mal et réussit à mordre violemment Laurent au cou

Pourquoi se marier à l’église ? Et voilà, on y est… Le jour « J » tant attendu est désormais fixé. Oui mais… Mariage religieux ou pas mariage religieux ? Valse hésitation où les futurs mariés ne sont pas toujours d’accord. Car, si pour certains, la réponse est « oui », s’imposant d’elle-même comme une évidence, pour d’autres, en revanche, la question reste posée sur l’utilité d’une telle démarche. Les motivations exprimées pour se marier à l’Eglise sont assez diverses : tradition familiales

intervient au moment où Clitandre s'est déclaré auprès d'Henriette ainsi que Chrysale. Les deux sont pour cette union. La mère d'Henriette, elle, est une femme érudite, femme de lettres et particulièrement de philosophie, elle est totalement contre et veut marier sa jeune fille Henriette à Trissotin, un de ses amis poètes et homme de lettres également qu'elle estime beaucoup et admire.  Henriette n'est pas du tout intéressée par les lettres, elle n'a pas un raisonnement de femme « moderne » comme les autres

insoucieux, Et le printemps en fleur sur ses pantoufles brille. Que lui fait l'astre d'or, que lui fait la charmille1 Où l'oiseau chante à l'ombre, et que lui font les cieux, Et les prés verts et les gazons silencieux ? Monsieur Prudhomme songe à marier sa fille Avec Monsieur Machin, un jeune homme cossu. Il est juste-milieu2, botaniste et pansu. Quant aux faiseurs de vers, ces vauriens, ces maroufles, Ces fainéants barbus, mal peignés, il les a Plus en horreur que son éternel coryza3,