Un Dieu Chasseur

APOLLON Satut à Athenes : Le dieu est représenté comme un beau jeune homme avec une chevelure longue et couvrant sur ses épaules ; il tient à la main gauche la lyre, près de lui un serpent rampant sur un tronc d'arbre. Naissance d'Apollon et d'Artémis : Une des grandes divinité de l’olympe Fils de LETO(romaine) et ZEUS , Frère d’ARTEMIS Hera vrai femme ZEUS se rend compte qui le Trompe avec LETO Donc decide de punir Poursuivre par serpent PYTHON et Interdisant un bonne acouchement LETO s’exile sur

la bible sur le bestiaire divin Pour Guillaume le Clerc la justification de la nature et des mœurs uniques des espèces sont déterminés par la Genèse. En effet, si on suit la fin du paragraphe des lignes 22 à 27 il résume la Genèse en expliquant que Dieu a imposé les natures à chaque espèces. La vision qui émane de la Genèse est alors la domination de l'homme sur les animaux énoncé à la dernière ligne du paragraphe «  Il donna la seigneurie à l'homme » . Ce qui est une référence à la nomination des

pris d'un tel enthousiasme, d'un tel délire poétique qu'il ne sait plus s'il fait beau ou s'il pleut. On se retrouve ici au cours d'un bel après-midi : on est dimanche (C'est effectivement le jour de la messe : « sainte », v. 4, « autel », v. 10 et « dieu » v. 13). Il fait très beau . On fait un barbecue : « consume », « allume ». La présence du feu nous indique bien qu'il ne s'agit pas d'un pique-nique. Lamartine reste un écrivain qui mange chaud . Mais soudain la pluie se met à tomber. C'est un orage

Aspect psychologique : Il est possessif envers Iriook, dès qu'il l'a rencontré, il voulut la posséder. Cependant, Ce jeune chasseur est très violent et enrage vite, lorsqu'il ressent des grosses émotions, il donne des coups. Agaguk a quand même du coeur, puisque lorsque Iriook était en train d'accoucher, il ne tolérait pas de la voir souffrir. Il aurait tout fait pour lui enlever son mal, ce qui l'a poussé à la frapper. Agaguk est aussi un jeune homme protecteur envers ceux qu'il aime, par exemple

Sa conviction de son plan auquel il réfléchi très souvent le pousse à rêver de Jésus et c’est son inconscient qui lui envisage que ce qu’il voit est vraiment Dieu. D’ailleurs, le dominicain insiste, à plusieurs reprises, sur le fait de l’appel de Dieu qui lui dit : « Va ! Va ! le but t’absoudra pourvu que tu l’atteignes »[footnoteRef:8]. Dieu lui a transmis un « vouloir faire » et un « devoir faire ». Nous sommes en plein phase de la manipulation. Puis, il passe à la performance où il a pour mission

heureux évènement, un ermite dit à la mère « ton fils sera un saint ! » et un mendiant dit au père « ton fils !…beaucoup de sang !... beaucoup de gloire !... » Seul il fait sa première expérience de chasse en tuant une souris, puis devient un futur chasseur plein de malice. - Le cadre spatio-temporel se situe au Moyen – Age. La durée du récit est plus courte que le temps de l’histoire. - il y a qu’un seul narrateur c’est l’auteur, il est externe. - le schéma narratif est logique car l’histoire

la tradition orale à la version écrite 7 2. Gilgamesh : un mythe ou une réalité ? 9  Contexte historique 9  Ce que démontre l’archéologie 10 3. L’Epopée : Reflet de la société Mésopotamienne 11  Enkidou, l’homme bête 11  Le chasseur et le batelier 12  Out-Napishtim, le sage 13  Ninsoun, la mère 13  Shamhatou, la prostituée 14  Sidouri, la cabaretière 14 4. La quête de l’immortalité 16  Le héros divin 16  Un passage à l’âge adulte 18 Conclusion

IVAN TOURGUENIEV (1818 – 1883) Œuvres principales : Mémoires d’un Chasseurs (1847), Un mois à la campagne (1850), Premier Amour (1860), Père et Fils (1862) Ivan Tourgueniev est de loin le plus occidental des auteurs russes. Il est celui qui a introduit la littérature russe en France, malgré ses débuts difficiles en tant que jeune poète romantique. C’est lorsqu’il se met à la prose qu’il connait le succès autant en Russie que dans les cercles littéraires occidentaux où il est perçu comme non seulement

sociale. L'Église est donc contre. Si l'on ne retient aujourd'hui volontiers que l'aspect sensuel et vaguement immoral du libertinisme, ce rejet d'une morale fondée sur la vertu n'est finalement que la conséquence de leur philosophie : l'absence de Dieu légitime l'envie de jouir de sa vie terrestre et cette quête, qui ne se fera néanmoins pas au mépris d'autrui, est le but ultime. Une réflexion naît sur les rapports entre la foi et la raison. Les découvertes géographiques ébranlent le dogme de

pierre des églises, tissés par les fils des tapisseries, décrits et peints dans les manuscrits ornés d’une faune qui déborde jusque dans les marges enluminées des livres de prière. Ces représentations rendent grâce à la puissance et à la gloire de Dieu. L’art est conçu comme un enseignement religieux, les animaux constituant des symboles à décrypter. La symbolique du bestiaire médiéval tire sa source de multiples références à l’Ancien et au Nouveau Testament. Animaux exotiques ou fantastiques et