Télé Réalité Reflet De Société

immédiate mais plutôt réfléchie car pour avoir conscience d'être, il faut plutôt bien y réfléchir. On peut se demander si le fait d'être ce que je suis permet-il de voir ce qu'est la réalité. Pour répondre à cette problématique, nous pourrons tout d'abord voir si on se rend bien compte de nos acte, puis ce qu'est la réaliter, et nous comparer à d'autres espèces. * Tout d'abord est-ce que tout le monde se rend bien compte de ses actes. On peut voir cela avec l'effet papillon qui d'une petite chose

Quelles représentations de la réalité sont proposées et pourquoi ? Les messages des médias ne sont pas un simple reflet de la réalité: ils sont des «constructions» qui proposent des conceptions et des interprétations de la réalité. Les représentations des médias nous deviennent, toutefois, à ce point familières qu'elles en arrivent à perdre leur caractère construit; elles prennent alors, à nos yeux, la valeur de reflets neutres, objectifs, naturels de la réalité. Une part importante de ce que

Claude Lévêque déclare avoir une approche traditionnelle de l'art, qu'il conçoit comme un reflet de la société. Les thèmes et les matériaux qu'il travaille sont les plus contemporains qu'ils soient. Le regard qu'il porte sur le monde qui l'entoure, injuste, violent, influencé par les médias, n'est pas franchement positif. Pourtant, Claude Lévêque ne cherche pas à nier, ou au contraire à embellir cette réalité : il s'en fait le témoin et l'impose au spectateur, qui devient également acteur « Je

------------------------------------------------- La télévision est dans la société actuelle l’un des principaux vecteurs de la culture et de la communication. Elle fait maintenant partie intégrante de nos vies. Cette portée médiatique n’a pas toujours bonne réputation. En effet beaucoup de personnes s’interrogent sur l’impact de la télévision sur l’être humain. A travers un article de la revue Télérama du 30 Octobre 1996 « Violence à la télé : ras-le-bol ! » Jean-Claude Raspiengeas nous propose une approche

Rédaction de la synthèse sur la télé-réalité        Toutes les grilles des chaînes télévisées généralistes comportent aujourd’hui des émissions de télé-réalité et certaines d’entre elles, comme La Star Academy  ou L’Ile de la tentation, connaissent un très grand succès. Le dossier, composé de documents hétérogènes, revient sur l’engouement qu’a suscité Loft Story, première émission du genre diffusée en France sur M6 en 2001. [Le journaliste Bertrand Le Gendre décrit le fonctionnement de l’émission

lieu paradisiaque tel que l'île de Koh Lanta. Cependant pour accéder à ce luxe gratuitement, les candidats doivent renoncer à un certain nombre de droits comme celui du droit à l'image et de l'intimité qui de fait s'atténue peu à peu dans notre société. En effet, toutes les salles considérées comme intimistes et personnelles deviennent pour la plupart du temps des lieux mixtes et publics. Par exemple, la maison du Loft Story comprenait 26 caméras pour une dizaine de pièces dont des caméras infrarouges

l’action afin de donner le plus de détail possible dans chaque information donnée. On voit bien que les médias ont un pouvoir sur les individus car tous ceux qu'ils disent sont des mensonges et les personnes croient que tous ceux qui passe a la télé ou un journaliste le dit et une vérité , mais ils ne savent pas que derriere tous cela il 'y a une vérité qui se cache et que les journalistes doivent dirent ce que leurs employeurs demande. Aujourd'hui une information peut être récoltée par n'importe

autre, mais la base du jeu et des secrets doit être conservée. La télé-réalité consiste à montrer dans le cadre d'un programme récurrent des situations mettant des individusordinaires (par opposition aux professionnels de l'audiovisuel et du spectacle) aux prises avec des situations inspirées de situations réelles (travail à la ferme, service national, colocation, relations sexuelles…). Cependant, dans le cas de la télé-réalité, il ne s'agit pas d'un mouvement visant à révolutionner l'art en s'opposant

monde d’images omniprésentes et fragmentées, mais un monde de média absent ». La thèse de l’auteur est assez subtile et évite l’aporie dans laquelle on tombe inévitablement si l’on cherche à savoir si c’est la télévision qui reflète les valeurs de la société ou si c’est la société qui fait la télévision. L’intérêt de cet essai réside dans l’étude fine des relations entre le téléspectateur et ce média. Missika montre clairement comment la relation du téléspectateur à la télévision a changé progressivement

pris de plus en plus d’importance dans notre société moderne. La télévision, par exemple, est omniprésente dans la vie de la majorité de la population, à tel point qu’on pourrait la confondre à un phénomène métaphysique ou religieux. Ainsi l’européen passe en moyenne 222 minutes par jour devant sa télé. Mais cela est il innocent et sans conséquences pour celui-ci ? La violence dans la société est en constante augmentation. Peut-on dès lors dire que la télé nous rend mauvais ? Ou au contraire permet-elle