Dans le sujet "Suis-je ce que j'ai conscience d'être ?" , on remarque dès le départ qu'il y a une double répétition. Tout d'abord une double répétition du verbe être avec une forme intérogative conjugué puis à l'infinitif.
On remarque que ce verbe est très important dans ce sujet car il se retrouve en début et fin de question. Deplus être est une chose éssentiel pour pouvoir exister.

La seconde répétition est, la répétition de la première personne du singulier ce qui montre que ce sujet entraîne une réflexion sur notre MOI intérieur.

On trouve également le mot conscience qui ici est une conscience non immédiate mais plutôt réfléchie car pour avoir conscience d'être, il faut plutôt bien y réfléchir.

On peut se demander si le fait d'être ce que je suis permet-il de voir ce qu'est la réalité. Pour répondre à cette problématique, nous pourrons tout d'abord voir si on se rend bien compte de nos acte, puis ce qu'est la réaliter, et nous comparer à d'autres espèces.

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Tout d'abord est-ce que tout le monde se rend bien compte de ses actes.

On peut voir cela avec l'effet papillon qui d'une petite chose qui semble insignifiante, engendre des causes qui sont involontaires certes, mais qui peuvent être néfastes. Comme l'exemple le plus habituel, qui dit qu'un simple battement d'ailes d'un papillon peut engendrer un ouragan à l'autre bout du monde.
Si on c'était rendu compte des milliers de vies que cela peut détruire, personne n'oserait tué le moustique qui vole autour de nous en été et qui nous empêche de dormir, car s'il le fait en le tuant, dans quelques siècles l'espèce humaine ne serat plus. Mais bon sur le moment, on est bien content de l'avoir tué pour enfin pouvoir bien dormir.

En venant avec ma voiture passer cette épreuve de philosophie, j'ai croisé des voitures qui me faisait des appels de phares car il y avait des gendarmes avec des jummelles.
Les gendarmes étaient sûrement là pour faire des contrôles de vitesse, mais peut-être à la