Trompe L Oeil

cuisine. Le long du corridor, il y avait un silence de crevaison, et les murs sonnaient creux, comme des ventres vides. Par moments, des danses s’élevaient, des larmes de femmes, des plaintes de mioches affamés, des familles qui se mangeaient pour tromper leur estomac. On était là dans une crampe au gosier générale, bâillant par toutes ces bouches tendues ; et les poitrines se creusaient, rien qu’à respirer cet air, où les moucherons eux-mêmes n’auraient pas pu vivre, faute de nourriture. Mais la grande

La faculté de se faire des images mentales, de percevoir, de trouver des solutions originales et même de voir le monde d’un autre œil, il est clair que cela ne serait pas possible sans cette capacité à “imaginer” qui existe en nous. Albert Einstein, considéré comme le plus grand scientifique du 20 ème siecle mais aussi philosophe nous dit cette phrase, qui touche un sujet jamais plus actuel qu’à notre époque: “L’imagination est plus importante que la connaissance”. Que croire? Avant tout

ignore sa femme, Hlima. Il n’explique pas ses sorties et passe ses nuits chez Najia. Il joue consciemment le rôle de l’époux infidèle et il est au courant de son acte : « D’un coup, je suis devenu corrompu, j’ai découvert le luxe et j’ai presque trompé ma femme » 2.2 Aveuglé par le pouvoir de l’argent, Mourad commence à développer un amour pour l’argent et le matériel et en avoir plus car pour lui, l’argent est synonyme de pouvoir qui lui permette d’agir. « L’argent sale donne des ailes ». Citation

donnera également des dimensions mythologiques a son sonnet pour nous prouver paradoxalement ca véritable pensée qui n’est qu’amour ,vie et tourment .Notamment l’utilisation de paronymes et de constante opposition entre ses mots crée un véritable trompe œil sur ca véritable motivation qui le pousse a écrire ,ca souffrance de l‘être omniprésente . J’en citerais donc le grand Vladimir Olan qui en 1930 prononça « je ne conçois pas de poète qui ne soit déchirer; couper en deux » ,il met clairement en

équilibre, rapide et solitaire. Il tombe amoureux d’Helen Holm et se promet d’être écrivain pour l’épouser ; ce qui arrivera par la suite. Il est têtu avec un franc parlé. Il est souvent en désaccord avec sa mère, mais l’aime beaucoup. Il a plusieurs fois trompé Helen. Jenny Fields: L’histoire commence, elle a 22ans. Elle est heureuse d’être infirmière. Avec son uniforme blanc elle a l’air incongru. Elle lit beaucoup. Elle a un joli physique mais banal. Elle a l’allure d’une jeune femme athlétique ; elle

infigurable. 16è : séparation religieux / profane. Image et philosophie. En latin : image = masque mortuaire ; on met déjà en rapport image et mort. Roland Barthes parle de l’image comme de la mort plate. Et pour Platon, l’image est imitatrice, elle trompe, elle détourne la vérité alors que pour Aristote l’image conduit à la connaissance. Dans tout qu’on a vu, l’image nous rattache à la survie dans le temps, au sacré, à la mort, au savoir, à l’art, à la vérité. Image et psychisme. Représentation

première tirade au vers 1595 et dans celui-ci au vers  1619, cette interjection amplifie le malheur et la douleur de Thésée. Thésée à la suite de cet aveux catégorise Phèdre de « cruelle », ce qui souligne la rage du père en découvrant qu’il été trompé. Dans les vers qui clôt la pièce, on peut voir un champs lexical de la famille : «  fils, sang, famille, fille », avec lequel par la suite nous découvrons qu’ Aricie est prise comme fille par Thésée, on peut penser qu’il a envie de se racheter au

choses et des êtres nous échappe toutes les fois qu’il ne nous est pas matériellement utile de les apercevoir. Et la même ou nous la remarquons (comme lorsque nous distinguons un homme d’un autre homme), ce n’est pas l’individualité même que notre œil saisit, c'est-à-dire une harmonie tout à fait originale des formes et des couleurs, mais seulement un ou deux traits qui faciliterons la reconnaissance pratique. Enfin pour tout dire, nous ne voyons pas les choses même ; nous nous bornons, le plus

limée, remontée... ». Vautrin est présenté comme un personnage qui va de l'avant et qui sait ce qu'il fait : « ça me connait » ; « Il connaissait tout d'ailleurs ». L'ancien détenu est également décrit comme un individu attentif, difficile à tromper : « son œil semblait aller au fond de toutes les questions » Ensuite, Balzac parle aussi de ses mœurs. On apprend que Vautrin à une nature vagabonde ; l'énumération de verbes d'actions en ''à'', nous le confirme : « ses mœurs consistaient à sortir après

le lecteur à ne pas se tromper, et pour bien mettre en évidence tout l'art du paraître de Julien, il a recours au lexique de la simulation : "Le charme langoureux de cet oeil faisait croire à la profondeur de la pensée et donnait de l'importance aux moindres paroles"(53) Son aspect physique même est aussi un leurre : "La barbe drue, luisante et fine cachait une mâchoire un peu trop forte", "ses sourcils (sont) comme s'ils eussent été artificiels"(53) et "son oeil semblait en velours"(55)