Trompe L Oeil

images. C’est pourquoi nous nous sommes demandé comment se créent ces illusions et nous allons expliquer ceci dans ce TPE. Problématique : Peut-on croire ce que l’on voit ? Plan : Pour commencer, nous montrerons ce qui se passe lorsque notre œil capte une image de son environnement. Nous verrons alors comment cette image est traduite par la rétine pour finalement arriver au cerveau. Dans ces trois parties nous allons inclure certains dysfonctionnements de ces organes qui peuvent nous faire

digestif par le pharynx Cycle à 2 hôtes avec infestation passive : exemple : certaines filaire, la filaire de Médine/ vers de guinée, la femelle mesure 1mètre de long le male fait 4cm. C’est un cycle à 2 hôtes, l’homme et le cyclops (petit crustacé à un œil qui vit dans les eaux douces de certaines régions d’Afrique) l’homme se contamine en buvant l’eau. La filaire était dans le cyclops. Les filaires vont se placer en sous cutané dans des tumeurs, très souvent dans des membres inférieurs. Quand la femelle

position (« maître de maison ») son état civil (colonel Delmare) et son passé (« vieille bravoure », « ancien militaire »). Le portrait se penche ensuite sur son physique (« jadis beau… moustache grise ») qui ouvre sur un portrait psychologique (« œil terrible…chiens »). Le portrait devient ironique (« excellent maître ») pour souligner l’aspect tyrannique du personnage habitué à commander. - un militaire reconverti dans l’industrie : les expressions à connotation souvent dysphoriques (« roideur

.............................................208 Omoplate.........................................................................................209 A priori/ a posteriori........................................................................210 Oeil..................................................................................................211 Sens dessus dessous.........................................................................212 Régulièrement ....................................

que le comte lui avait fixé. Elles échangeront leurs vêtements, et c’ est la comtesse qui , sous le déguisement de sa servante, ira à ce rendez-vous. Mais Figaro n ‘est pas mis dans la confidence, et le malheureux croit que Suzanne est décidée à le tromper avec le Comte. C’ est ce qui explique les sentiments divers qui animent ce monologue : la colère contre Suzanne, les femmes en général , le Comte et la société qui l’ empêche de se réaliser…L’ incompréhension …. -Lecture -Problématique -Axes

a frappé ; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé. Adieu, plaisant soleil, mon œil est étoupé, Mon corps s’en va descendre où tout se désassemble. Quel ami me voyant en ce point dépouillé Ne remporte au logis un œil triste et mouillé, Me consolant au lit et me baisant la face, En essuyant mes yeux par la mort endormis ? Adieu, chers compagnons, adieu, mes chers amis

personnages Mme Vauquer est présentée comme une comédienne. En effet, le narrateur la décrit tel « les femmes qui ont eu des malheurs ». Cette expression est écrite en italique dans le passage, ce qui implique que celle-ci est une actrice. Elle trompe les pensionnaires qui pensent « elle est bonne femme au fond ». Ils la plaignent alors qu’il sont plus pauvre qu’elle. Etant donné qu’elle dirige cette pension, elle est redoutée. (« Escompteur ») II. Le personnage et son décor . Le personnage

plutôt la roche humide, Que ce jardin de fleurs et d’azur couronné ! C’en est fait pour toujours du pauvre Adam timide ; Voici qu’un nouvel être a surgi : l’Homme est né ! L’Homme, mon œuvre, à moi, car j’y mis tout moi-même : Il ne saurait tromper mes vœux ni mon dessein. Défiant ton courroux, par un effort suprême J’éveillai la raison qui dormait en son sein. Cet éclair faible encor, cette lueur première Que deviendra le jour, c’est de moi qu’il ta tient. Nous avons tous les deux

voit d’un œil critique- et même des femmes, comme Alceste, capables de faire le sacrifice suprême : mourir pour leur mari. Mais c’est toujours l’homme qui reste au centre de leur intérêt, la plus noble action de la femme n’étant qu’un moyen de projeter le héros mâle. Dans la mythologie grecque on a beaucoup de déesses intelligentes (Athéna-la déesse de la sagesse), fortes (Artémis- la déesse de la chasse) et indépendantes (Eris- la déesse de la discorde). Héra est la femme toujours trompé par son

Napoléon III. Dans le poème Rages de Césars, Rimbaud se livre à une critique sans pitié sur ce dernier. Revenant de guerre après une défaite amère contre la Prusse, il est dépeint comme un homme affaibli (anaphore du terme « Homme pâle », « œil terne », « œil mort ») perdant peu à peu son pouvoir. Par la mise en parallèle à l’hémistiche des termes « La Liberté revit ! » et « Il se sent éreinté ! » (v.8), on remarque que l’extinction progressive du pouvoir de l’Empereur amène un espoir de liberté