Troisième Maxime Descartes

mettre notre espèce en péril. L'entrée en société apparaît donc comme nécessaire. Descartes Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée. (Discours de la Méthode) Descartes énonce ici l'idée d'une universalité de la raison. Tous les hommes en sont pourvus. Je pense donc je suis. (Discours de la Méthode) Descartes formule ainsi la découverte du cogito dans le Discours de la méthode. A l'issue du doute, Descartes s'aperçoit qu'il est impossible de douter de la pensée car douter c'est penser

une volonté systématique du mal. Il y a un mal radical, une poussée perverse, dans le problème moral il n’y a pas que du zéro mais aussi cette grandeur négatif, cette perversité est le pendant négatif du caractère absolu de la loi morale Cf. : le troisième principe de la loi de Newton : action/ réaction, toute force a une force contraire Hume/rousseau ‘les Newton de la morale’ Face à l’ingratitude, le contentement, le mérite, est plus fort. L’observance de la loi n’implique pas de mérite, mais la distinction

croyances sont absurdes et donc à nouveau nos préjugés existe. il faut donc une méthode plus radicale pour les vaincre c'est ce que va proposer Descartes qui va mettre en doute toutes les idées qu'il a dans son esprit. Même les plus évidentes. De cette façon si certaines idées résistent au doute elles ne sont pas de simples préjugés mais des idées vraies. Descartes va mettre en doute les deux sources de nos idées : les sens, nous disent qu'il y a des choses autour de nous et comment sont ces choses,

propos desquels un jugement ferme n'a jamais été prononcé. On se rappellera que Descartes s'est attiré les foudres de ses contemporains en privant les animaux d'une « res cogitans » et en les traitant, conséquemment, comme de simples « mécaniques ». Jamais on n'a pu faire disparaître le problème de l'existence d'états mentaux chez quelques-uns de nos mammifères préférés. Récemment, un autre cas à propos duquel Descartes s'était prononcé, a fait couler beaucoup d'encre : les machines. Un ordinateur

l’explication orale d’un extrait de celle-ci .................................................................................................................................... 477 > Étude des deux premières Méditations métaphysiques de Descartes ............................................................................................................................................................... 483 > Étude du livre I du Contrat social de Rousseau ......................

Québec. G1T 2R1 (418) 657-3551, poste 2860 Cette publication a été rendue possible grâce à la contribution du Fonds FCAR © Copyright Josiane Ayoub, 1990 Dépôt légal à la bibliothèque nationale du Québec et à la bibliothèque nationale du Canada, troisième trimestre 1990 4 FICHES POUR L’ÉTUDE DE KANT JOSIANE BOULAD-AYOUB FICHES POUR L’ÉTUDE DE KANT DÉPARTEMENT DE PHILOSOPHIE (UQAM) PRESSES DE L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC 1990 5 AVANT-PROPOS mihi sic est usus; tibi est opus facto

triangle est égale à 180°) puisse être fausse. De plus l’homme raisonné est contraint d’admettre la vérité : la plupart du temps, elle s’impose à lui sans ne lui laisser nul choix de s’y résoudre. Il s’agit des « idées claires et distinctes » de Descartes (dans ses Méditations Métaphysiques). Par exemple un adolescent prend conscience avec l’âge, le vécu, l’expérience, du monde qui l’entoure ; il devient lucide. La réalité lui apparaît telle qu’elle est, et c’est grâce à la raison naturelle qu’il

plusieurs) œuvre(s) philosophique(s). Deux œuvres doivent ainsi être expliquées dans la classe terminale L et une seule œuvre dans les classes terminales ES et S. Ces œuvres seront cette année : 1 – Les deux premières Méditations métaphysiques de Descartes, éd. bilingue latin-français G.F. n° 328 ou éd. P.U.F., collection quadrige n° 81. 2 – Le Livre I du Contrat social de Rousseau, G.F. n° 1058. 3 – La conférence sur « La Conscience et la Vie », (1911) de Bergson, dans L’Énergie spirituelle. L’étude

qu'agent et du monde physique, ------------------------------------------------- Le concept de liberté divise très schématiquement les philosophes en deux camps : ceux qui en font le fondement de l'action et de la morale humaines (Épicure, Descartes, Kant), et ceux qui nient un quelconque dépassement de la volonté par rapport à des déterminismes telle que la sensibilité ------------------------------------------------- (Démocrite, Spinoza, Nietzsche) : Définition et critiques Une définition du

qui sur les animaux Se font un chimérique empire.Les Animaux malades de la peste. Composition du recueil   La recherche littéraire se préoccupe souvent de pénétrer les principes qui ont présidé à la composition de recueils discontinus, comme les Maximes de La Rochefoucauld, les Caractères de La Bruyère ou les Fables de La Fontaine. Ce classement est toujours très difficile, et particulièrement pour les Fables. Il faut tenir compte des retours de thèmes, mais aussi de l'alternance des divers registres