Troisième Maxime Descartes

Theme : Le sujet Notion : Conscience , inconscience , sujet I) Problematique et enjeux A Delphes , sur le fronton du temple de la pythie (oracle du dieu d'Apollon) était écrit ''Connais toi toi-meme''. De cette maxime Socrate fait la tache principale de la philosophie. Dans un dialogue de Platon (Disciple de Socrate) Apologie de Socrate (Socrate est alors condamné a mort par les Athéniens) : '' Moi, athénien, j'obéirai au dieu plutot qu'a vous, et , tant que je respirerai, n'esperez pas

Discours de la méthode , René Descartes (1637) Troisième partie : Quelques règles de la morale tirée de la méthodeEt enfin, comme ce n'est pas assez, avant de commencer à rebâtir le logis où on demeure, que de l'abattre, et de faire provision de matériaux et d'architectes, ou s'exercer soi-même à l'architecture, et outre cela d'en avoir soigneusement tracé de dessin, mais qu'il faut aussi s'être pourvu de quelque autre où on puisse être logé commodément pendant le temps

valeur de l’opinion. Notre analyse se fera donc en trois parties. Nous chercherons à comprendre pourquoi l’opinion a tort dans une première partie. Puis, nous soulèverons l’hypothèse de l’opinion qui a raison dans une seconde partie et enfin, dans la troisième partie, nous tirerons les conséquences de : «elle a tort » et « elle a raison ». I/ Si l’opinion fait l’unanimité contre elle, nous sommes en droit de nous demander quelles sont les raisons, qui font que, l’opinion a nécessairement tort. Pourquoi

faudrait ne pas désirer. II] Mais pas en sachant que c’est impossible : a) Désirer l’impossible c’est la garantie de ne pas obtenir l’objet du désir. b) L’Homme renoncerait à un désir s’il le savait impossible : selon Descartes dans son Discours de la méthode : "Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune et à changer mes désirs que l'ordre du monde » c) Il faudrait alors s’en tenir au possible. Mais Réduire le désir à une volonté raisonnable ou aux besoins (sagesses

mes songes. Mais, aussitôt après, je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité :je pense, donc je suis, René Descartes (1637) Discours de la méthode 23 était si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de

essentielle qu va préparer l’aveu est la discussion entre la PDC et son mari qui va lui proposer d’être son confident (p.181) « Je vous donne..pour la conseiller et pour la plaindre » <= Le marie contribue également à l’aveu. L’intégralité de la troisième partie du roman : elle ne peut ni fuir le monde, ni nier sa passion. Cela va donc conduire à un lent progrès intérieur et le seul remède possible de la PDC va donc être cet aveu qui ne va pas être un coup de tête. LA scène de l’aveu va ê le noyau

plus grands et plus estimables qu’ils ne sont, et ignorant ou ne s’arrêtant pas à considérer ceux qui manquent, que d’avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu’on devienne plus triste. » Descartes, Lettre à Elisabeth, 6 octobre 1645. Ainsi, considérer objectivement la vraie valeur de toutes choses, sans entretenir d’illusions à leur sujet, ne nous condamne-t-il pas à la tristesse ? Il est vrai qu’il apparaît difficile d’être serein quand

l'observation des faits. On retrouvera fréquemment cet appel à la modestie du savant chez les philosophes du XVIII° siècle. Par exemple, dans l'article Philosophe de l'Encyclopédie : quand on ne sait pas, mieux vaut l'avouer. Enfin, la troisième phrase condamne implicitement le tort causé à la science par les explications religieuses du monde. "Nous n'avons pas les principes qui mènent au vrai", dit-il : il entend par là les outils scientifiques susceptibles de nous permettre de comprendre

plus grands et plus estimables qu’ils ne sont, et ignorant ou ne s’arrêtant pas à considérer ceux qui manquent, que d’avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu’on devienne plus triste. » Descartes, Lettre à Elisabeth, 6 octobre 1645. Ainsi, considérer objectivement la vraie valeur de toutes choses, sans entretenir d’illusions à leur sujet, ne nous condamne-t-il pas à la tristesse ? Il est vrai qu’il apparaît difficile d’être serein quand on

point de vue prosodique. L’acteur doit insister sur leur prononciation : cela met en valeur la dichotomie entre l’homme et la femme. La femme n’a pas pour Arnolphe d’existence propre : elle n’existe que pour l’homme : elle est sa possession (voir la maxime un et deux). 2. le mariage d’intérêt : la jeunesse contre la fortune La scène s’ouvre par la tirade d’Arnolphe qui rappelle à Agnès son origine paysanne. C’est donc un honneur pour elle de devenir sa femme : « Je vous épouse, Agnès ; et cent