Troisieme Lecon Freud

antipathie ressentie jusque dans la musique de Monteverdi (le Couronnement de Poppée, 1642), son influence ne s'expliquerait pas si elle n'était porteuse aussi de quelques justes maximes. Il ne faut donc pas nier la contribution des Anciens à de sages leçons de morale. Quoi qu'il en soit cependant il demeure qu'ils n'ont rien compris à la nature des affects. Rien ne le montre mieux que leur ridicule prétention de les extirper de l'âme. " Vaincre ses passions ", tel semble être l'unique mot d'ordre des

souffrance = maladie mentale par contre dans toute souffrance il y a des troubles mentaux que le psychologue doit repérer. Normalité et Pathologique : On ne peut pas faire une frontière entre le normal et le pathologique ! La psychanalyse de Freud prouve la continuité des 2 principes : il n’y a pas de rupture franche. La frontière est très fine, c’est l’intensité et non les idées du patient qui définit lorsque l’on bascule dans le pathologique. Du grec « Norma » = équerre. La norme c’est

toutes les mêmes formes de folie. La nosographie clinique a pu ainsi se construire au fil des siècles. La distinction que l’on trouve chez certains auteurs (cf. Charcot) du XIXIème siècle entre cécité syphilitique et cécité hystérique, voire chez Freud lui-même entre étiologie vénérienne et étiologie psychogènes des troubles, est à ce titre exemplaire. 2.2. Les temps modernes et l’époque contemporaine L’un des effets de l’internement des malades mentaux à partir de la fin du Moyen Âge a été de

critique comme un homme qui sait lire et qui apprend aux autres à lire les œuvres littéraires. Cela signifie que le critique est avant tout un lecteur. Goethe distinguait 4 cependant trois catégories de lecteurs : la première jouit sans juger ; la troisième juge sans jouir ; la moyenne juge en jouissant et jouit en jugeant. Cette dernière recrée à proprement parler l’œuvre d’art 2.Le critique appartient justement à cette catégorie de lecteur qui, par sa lecture, recrée l’œuvre d’art. La critique biographique

sanction éducative : une expiation ? Les enfants dans l’eau froide du lac… Pourquoi le sacré… ? La morale pour les enfants ? cet homme, c’est toi ; Sur l’expiation : éthique ou pathologique ? Jésus et la femme adultère ; La loi ; Le maître ; La femme ; Leçons de morale pour adultes. Piaget et la formation morale de l’enfant, La raison et le sacré, Bilan et ouverture, VII. L’adulte, mythe ou réalité ? Une valeur bien ambiguë Le sens commun : maturité et majorité, L’adulte pour les sciences

spirituelle Vous trouverez souvent, au début ou à la fin des cours, leçons ou études d’œuvre, le plan de la démarche adoptée par son auteur et, le cas échéant, un récapitulatif des indications bibliographiques majeures données à l’intérieur. Vous ne trouverez pas, dans ce fascicule d’accompagnement, d’index thématique indiquant comment articuler entre elles les différentes notions du programme, abordées et analysées à l’occasion de chaque leçon ou étude d’œuvre, ou comment mettre en relation ces notions

principales Le Nouveau Désordre amoureux (1977) La Défaite de la pensée(1987) Le Mécontemporain. Charles Péguy, lecteur du monde moderne (1992) Internet, l'inquiétante extase(2001) L'imparfait du présent. Pièces brèves (2002) Nous autres, modernes : Quatre leçons (2005) La Querelle de l'école (2007) Un cœur intelligent (2009) Et si l'amour durait (2011) L'identité malheureuse(2013) Influencé par Tocqueville, Renan,Rosenzweig, Arendt, Levinas,Lévi-Strauss, Kundera, Péguy A influencé Éric Zemmour, Bérénice Levet

LA VÉRITÉ Leçon 1 LES CONTRAIRES DE LA VÉRITÉ La vérité apparaît comme l'horizon de tout effort de pensée. En ce sens c'est bien la vérité de la vérité elle-même que nous cherchons ici. Pour saisir ce qu'elle est, et par là essayer de nous préserver, ne peut-on commencer par nous accorder sur ce qu'elle n'est pas ? N'y a-t-il pas plusieurs manières de passer à côté de la vérité ? A - L'erreur ° L'erreur est d'abord une errance, une "course à l'aventure", c'est-à-dire au hasard, comme

compartiment au sein de la société. Il y aurait un grand tout : la société et au sein de ce tout il y aurait plusieurs secteurs. Selon la conception extensive, il y aurait une sorte d’omniprésence du politique. Tout serait virtuellement politique. Une troisième dualité porte sur la différence entre le politique et la politique (Georges Burdeau). Selon Burdeau, le politique désignerait l’ensemble des régulations (culturelles, sociales…) permettant d’assurer la survie, la pérennité dans le temps et dans

respiration, une scansion, un rythme et sa traduction exige une langue orale et non livresque, rapide et vive (…) Une pièce de Shakespeare, c’est d’abord un texte écrit pour des bouches, pour des poitrines, pour des souffles ». (J-M Déprats, « La troisième langue », in Théâtre aujourd’hui, n°6) Idée que le texte est écrit pour le comédien : il faut donc qu’il soit compréhensible, mais aussi dicible et qu’il soit porteur de jeu. Pour Déprats, théâtralité inscrite dans le texte passe par le rythme, en