Tritium

a autorisé la poursuite d’exploitation pour 10 ans de la tranche 1 du Tricastin, première unité 900 MW à réaliser sa 3e visite décennale (VD). La 3e VD de Fessenheim 1 a débuté en octobre EDF maintient les rejets radioactifs liquides (hors tritium, carbone 14 et nickel 63) à un niveau très inférieur (0,2 GBq/réacteur/an) aux limites réglementaires. Tous les laboratoires d’EDF chargés des mesures de surveillance autour des centrales sont agréés par l’ASN, intégrant ainsi le Réseau national

cette possibilité isotopique, il existe, non pas 90 éléments naturels, mais environ 335. Les trois isotopes de l'hydrogène sont parmi les plus célèbres, après l'hydrogène normal, 1 proton et 1 neutron, vient le deutérium, 1 proton et 2 neutrons et le tritium qui en contient 3. Sans entrer dans trop de détails nucléaires, il existe une ligne de stabilité pour les noyaux qui montrent que seules certaines combinaisons de protons et de neutrons forment des noyaux stables. L'assemblage stable conduit le noyau

sont stables, les autres ayant disparu. Les seuls noyaux encore présents dans la nature sont ceux possédant une durée de vie très longue (par exemple l'uranium ou le thorium) ou ceux qui sont renouvelés en permanence (par exemple le carbone-14 ou le tritium qui sont renouvelés sous l'effet des rayonnements cosmiques entrant dans l'atmosphère). Les noyaux doivent leur stabilité à la force attractive nucléaire (interactions fortes) qui l'emporte sur la répulsion entre les charges électriques de même signe

neutrons (charge électrique positive) Directement ionisant Faible pénétration - parcourt quelques centimètres dans l’air - arrêté par la couche cornée de la peau ou une feuille de papier Beta ß Césium 137 Iridium 192 Phosphore 32 Soufre 35 Tritium (ou Hydrogène 3) Electrons porteurs d’une charge électrique positive (positons ß+) ou négative (ß-) Directement ionisant Pénétration limitée - parcourt quelques mètres dans l’air - arrêté par une feuille d’aluminium ou par des matériaux de

zones radioactives: on observe des taches noires marquant l'emplacement des molécules radioactives. L'expérience de Taylor :Des racines de liliacées sont placées dans un milieu de croissance contenant de la thymine radioactive (marquée par du tritium 3H, isotope radioactif de l'hydrogène). La thymine (T) est une base azotée de l'ADN. b) Expérience Meselson et Stahl ( 1958) ADN lourd , ADN intermédiaire Pour la réplication de l'ADN, trois modèles ont été proposés : • La réplication

cellulaires sont donc nombreuses. Devoir 1 – SN12-13 7 On cultive des plantules de fève dans une solution contenant de la thymidine tritiée (nucléotide ayant comme base azotée de la thymine radioactive marquée par un isotope de l’hydrogène : le tritium). Dans une première étape, on laisse les plantules dans la solution radioactive le temps d’un cycle cellulaire, correspondant à une phase de réplication de l’ADN. On prélève des cellules dont on réalise une autoradiographie, technique expérimentale

DOMAINE 203 DOMAINE 182 Hydrazine Pouvoir calorifique DOMAINE 204 DOMAINE 183 Microcystines Microcystine LA Microcystine RR Microcystine YR Microcystine LR Total des microcystines DOMAINE 800 Radium 226 DOMAINE 801 Plomb 210 DOMAINE 802 Tritium DR-12-CDA 2013-03-15 Soufre DOMAINE 206 Point d'éclair DOMAINE 207 Arsenic Cadmium Chrome Plomb DOMAINE 208 Halogènes organiques totaux Halogènes totaux Page 18 de 33 CHIMIE DES BOUES, DES DÉCHETS ET DES SOLS DOMAINE 209 Hydrocarbures pétroliers

serait produite par la réaction de fusion nucléaire. Si une telle technologie parvenait à être mise au point, ses avantages seraient variés : * Une grande quantité de carburant disponible : la matière choisie est constituée de deutérium et de tritium, tous deux disponibles en grandes quantités. * Une production d'éléments radioactifs à vie courte : le combustible est faiblement radioactif et sa production reste confinée dans l'enceinte du réacteur. À la fin de vie du réacteur, les éléments

abondant sur la planète rouge et le tritium, qui est un produit que l’homme arrive à créer en quantité industrielle. Il faut savoir qu’une base habitée sur mars aurait besoin d’une puissance de 50 kW à 100 kW. Une centrale nucléaire classique, fournissant 1GW par an, consomme 1 tonne d’uranium enrichit ou 1.5 millions de tonnes de pétrole… Avec la fusion, on estime la consommation d’une centrale de puissance comparable à 250 kg d’un mélange de deutérium-tritium par an. Pour Mars, ramené à un calcul

fondent sur le principe de la fusion nucléaire qui consiste à fusionner des isotopes dits fusibles. Les bombes H utilisent généralement des isotopes fusibles comme le deutérium et le tritium qui sont des isotopes de l'hydrogène. Le deuterium s'extrait de l'eau de mer, sous forme D2O plus communément appelé eau lourde. Le tritium est fabriqué à partir du lithium. Pour réaliser une fusion thermonucléaire, il faut chauffer les éléments fusibles de manière à les porter à très hautes températures. Ces conditions