Tritium

la nature de l’instabilité des noyaux.  Le rayonnement électromagnétique est un mode de transfert de l’énergie décrit par la propagation d’ondes électromagnétiques. Exercices pages 188 – 197. Évaluation sur 3 ou 4 exercices du chapitre. Tritium Deutérium Énergie Hélium Neutron Neutron Uranium 235 Rayonnement , ,  Chaleur Neutron FISSION Neutron Produit fission 1 Produit fission 2

secondes, quelques heures, plusieurs jours, des centaines d'années ou des milliards d'années. (voir tableau) PÉRIODES ou DEMI-VIES DE QUELQUES CORPS RADIOACTIFS (CEA) ÉLÉMENTS CHIMIQUES PÉRIODE RADIOACTIVE ORIGINE PRÉSENCE EXEMPLES D’UTILISATION Tritium 12,3 ans Artificielle – Fusion thermonucléaire Marquage biologique Carbone 11 20,4 minutes Artificielle – Imagerie médicale Carbone 14 5 730 ans Naturelle Atmosphère Composés carbonés Datation Oxygène 15 2,02 minutes Artificielle – Imagerie médicale

plus répandus. Une autre facette de l’énergie atomique est la fusion nucléaire, également très prometteuse car elle libère une énergie incomparable. Pour résumer ce principe, il consiste à fusionner deux éléments, par exemple le deutérium et le tritium, par pression. Mais cela demandant une pression gigantesque, soit les rayonnements d’une explosion nucléaire « classique », le procédė est alors trop instable, brutal et dangereux. La solution serait de les chauffer au lieu de les comprimer. Le problème

atomique, la bombe A qui utilise la fission entre des noyaux d'atomes comme l'uranium et le plutonium. Elle déclencher par une réaction en chaîne. Il existe aussi la bombe H , qui elle utilise la fusion entre les noyaux d'atomes comme le deutérium et le tritium ( isotopes de l'hydrogène). Le phénomène de la bombe A est donc intégré à la bombe H. Les bombes atomiques ont plusieurs effets, tout d'abord elles dégagent une onde de choc qui provoque un déplacement de la masse d'air environnant mettant tout ce

LIBÉRATRICES D'ÉNERGIE Elles sont de deux types : • la fusion de noyaux très légers en un noyau de taille moyenne. Depuis une trentaine d’années, de nombreux laboratoires étudient la fusion de deux noyaux légers comme ceux du deutérium et du tritium qui sont deux isotopes lourds de l’hydrogène. Ce domaine est encore au stade de la recherche et il n’existe pas encore d’applications industrielles de la fusion pour la production d’électricité. • la fission ou cassure d’un noyau très lourd en

primaire contient les introns. C - Marquage de la sonde Afin de localiser où se produit l’hybridation, il faut marquer la sonde. Ce marquage diffère en fonction de la nature de la sonde et de son lieu d’hybridation. Marquage Isotopes radioactifs (tritium H3, P32 ou S35) Produits fluorescents (on parle alors FISH) (Antigènes) Haptènes ou Digoxygénine Biotine (Vitamine H) Des enzymes (phosphatase alcaline) Révélation Autoradiographie Microscopie à fluorescence Anticorps Protéines Avidine ou Streptavidine

enceinte magnétique appelée Tokamak puis utilisée de façon classique. Actuellement, les atomes utilisés par les chercheurs de l’i.t.e.r pour la fusion nucléaire sont des isotopes de l'hydrogène, donc très légers. Il s'agit du deutérium et du tritium. Le schéma suivant illustre la fusion de ces deux isotopes : Un des avantages majeurs de la fusion nucléaire, est qu’elle ne produit pas de déchets radioactifs puisque les produits de fusion sont stables. L’i.t.e.r devrait fonctionnait

absorbée en mSv (équivalent de dose) ou en mSv/h (débit d'équivalent de dose), parfois en rad, ainsi que le niveau d'énergie du rayonnement en sous-multiples du MeV. Le radiamètre : mesure l'émission de rayonnement gamma, des neutrons ou du tritium, tandis que le contaminamètre mesure le taux de particules α, β, et γ. Il affiche les mesures en Cps, Bq ou Bq/cm2. Certains modèles à scintillation sont proposés avec une sonde connectée au radiomètre qui permet de réaliser des mesures de contamination

il est nécessaire que l’énergie produite soit supérieure à l’énergie consommée pour l’entretien des réactions et par pertes thermiques vers le milieu extérieur. De ce fait, maîtriser sur terre la fusion de noyaux légers comme le deutérium et le tritium permettrait de créer des ressources d’énergie presque illimitées. Voilà pourquoi, ceci reste un grand défi pour la communauté scientifique nationale et internationale. La fusion a pu être employée dans le domaine militaire, dans la bombe thermonucléaire

plus ou moins longtemps les atomes radioactifs. La période biologique est le temps nécessaire pour que la moitié d’un radionucléide absorbé soit éliminé naturellement. Cette période biologique est indépendante de la période radioactive. Ainsi, le tritium s’élimine avec une période biologique d’environ 10 jours, alors que sa période radioactive est de 12,3 ans ; pour le césium, sa période biologique est d’environ une centaine de jours chez l’adulte, moitié moins chez l’enfant, alors que la période