Tribun de la plèbe

immigrants ou honorées peut-être pour des raisons sociales, parce qu'elles ne sont pas des dieux du patriciat. Le temple de Cérès (de 499 avant J.-C.) est un lieu de ralliement populaire, et les progrès du culte de Cérès sont parallèles à ceux de la plèbe. Pour en savoir plus, voir l'article mythologie grecque. Au moment d’entrer en guerre contre Carthage, en 264 av. J.-C., Rome a atteint un point d’équilibre incontestable dans tous les domaines : son autorité est acquise sur toute l’Italie péninsulaire

prestigieux et le plus ancien du droit romain. Avec la loi des Douze Tables sont nés les fondements du droit civil romain (cives signifie citoyen en latin, le droit civil est le droit du peuple). Rédigée vers 451 elles étaient à l'origine réclamées par la plèbe qui, selon Tite-Live, réclamait « des lois sur l'imperium consulaire » afin d'en fixer des limites. Le caractère illimité de cette charge étant considéré comme « intolérable dans une cité libre ». Plusieurs fois détruites et définitivement disparues

membres ont accès aux magistratures et au s’acère dos. Ce « gouvernement » est appelé le Patriciat. Tout de suite après cette fondation, un parti des personnes exclues du pouvoir se sont rebellées. 2. Le Rapport de force entre le Patriciat et la Plèbe. La république romaine n’a jamais été une démocratie. Il est plus un régime mixte faisant intervenir trois types de pouvoir : - Des magistrats : Les magistrats (sauf le censeur) était élus pour 1 ans. Les principaux magistrats étaient ceux au sommet

l'assoc' Guillaume Budé p259-282. Selon lui, la Plèbe peut être considérée comme un ordre. Au -Ier s, la présence de la Plèbe comme ordo devient imp lors de la discordia ordinum car les chevaliers par exple pvt changer de groupe soit aller avec les sénateurs soit avec la Plèbe. Il y a dans la République romaine de nombreux ordines (28). Ce qui prouvent qu'ils étaient nombreux c'est l'expression : ceteri ordines (et tous les autres).Il existe L'ordre des tribuns du trésor, l'ordre des publicains (orda publicanorum)

réformes sociales, on trouvera un volet de réformes politiques. Il est évident puisqu'il s'agit s'agir pour et par le peuple, que c'est dans les tribains qu'on trouve le levier nécessaire à la contestation. Seul les tribuns, les magistrats peuvent agir contre le Sénat. On a ici une tribune de l'opposition Littéralement, les optimates ce sont des gens excellents, qui pensent bien, les plus riches. En quelque sorte un gouvernement des meilleurs. Leurs combats est un combat défensif, une crispation

aux fonctions politiques importantes. Sylla neutralisa aussi les pouvoirs des tribuns de la plèbe, la magistrature préférée des populares pour obtenir popularité et pouvoir. Désormais, ils ne pourraient plus proposer de lois ou s’opposer par leur intercessio aux autres magistrats. Également, toute autre magistrature, et donc carrière politique, leur était interdit à la fin de leur mandat. Le tribunat de la plèbe devenait donc une impasse pour tout homme politique ambitieux. Enfin, Sylla dut

d'accès aux magistratures publiques sous la Rome antique.   •              Les tribuns de la plèbe : Le tribunat de la plèbe est crée en 493 av. J-C. A l’origine ils étaient deux mais en 366 ils passent au nombre de dix. Ils sont élus par la concilia plebis pour représenter la plèbe pendant une année. Déclarés sacro-saints (c'est-à-dire « intouchable »), ils sont chargés de défendre les intérêts de la plèbe contre les abus des magistrats (c’est le droit de secours, jus auxilii). Ils ne sont

descendants d’illustres lignées dont les ancêtres se sont souvent distingués par de glorieux faits d’armes ou une carrière politique bien remplie. Ils détiennent de vastes capitaux fonciers et en retirent tout le prestige social qui est le leur. La plèbe réunit en revanche dans ses rangs ceux qui n’ont pas le privilège d’une brillante naissance : simples artisans, boutiquiers, paysans. Citoyens, ils participent librement aux Comices. Mais le scrutin tel qu’il est appliqué (Les plus fortunés votent

sa première distinction militaire. En -55, il participe à la campagne militaire de Gabinius en Égypte pour rétablir sur le trône Ptolémée XII Aulète. C'est à cette occasion qu'il rencontre Cléopâtre VII pour la première fois. Il se lie avec les tribuns Curion et Clodius Pulcher[2], puis s'attache à Jules César. Guerre des Gaules[modifier] Marc Antoine participe à la Guerre des Gaules et est notamment à Alésia en -52[3]. L'année suivante, en -51, il marche avec César sur la patrie d'Ambiorix pour

« Homme nouveau », puisque aucun de ses ancêtres n'a géré de magistrature, il doit son ascension tant à ses compétences militaires qu'à l'appui du puissant clan des Metelli. Il rompt cependant avec celui-ci et, s'appuyant sur le ressentiment de la plèbe contre le gouvernement de l'aristocratie sénatoriale, il obtient, en — 107, le commandement de la guerre contre Jugurtha, détenu jusqu'alors par son patron, Metellus. Ayant vaincu le prince numide, Marius revient à Rome alors que la cité est menacée