Treve Melancolique

paisible dans une Algérie endormie, elle se manifeste déjà à la ligne 67 « je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage », « des bruits de campagne », « des odeurs de nuit, de terre et de sel », « une marée », « le soir était comme une trêve mélancolique » « cette nuit chargée de signes et d'étoile », le sujet de la nature est un thème récurrent dans la philosophie de Meursault qui l'évoque récemment à travers son récit. Ce champ lexical souligne les valeurs bénéfiques de la nature « rafraîchissaient

laisse aller " où le vent me mène, je me laisse porter par le courant, " le vent mauvais " qui m'emporte. La fatalité est un thème cher à Verlaine qui a toujours l'impression d'être gouverné par une mauvaise planète, Saturne, qui ne lui laisse aucune trêve et l'empêche d'être heureux. " deçà, delà " peuvent donc apparaître comme les images zigzagantes d'un homme ivre pour qui la boisson est hélas la fatalité. - La fuite en avant La 2ème strophe souligne la tentation de la mémoire et des souvenirs comme

j'ai pensé à maman. Il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer. Là-bas, là-bas aussi, autour de cet asile où des vies s'éteignaient, le soir était comme une trêve mélancolique. Si près de la mort, maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre. Personne, personne n'avait le droit de pleurer sur elle. Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. Comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé

lorsqu’elle fut enlevée par Pyrrhus. Il parle aussi du cygne qui s’est échappé de son cirque et se retrouve perdu dans un environnement qu’il ne connaît pas. Sa souffrance est renforcée par une allitération en « r » au vers 8 : « rongé d’un désir sans trêve ». Cette allitération renforce la souffrance des thèmes abordés. De même la négresse se sent perdue loin de son pays natal. D’autre part nous constatons beaucoup d’exclamations aux vers 12, 18, 24… qui montrent la douleur ressentie par Charles Baudelaire

paisible dans une Algérie endormie, elle se manifeste déjà à la ligne 3 « je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage », « des bruits de campagne », « des odeurs de nuit, de terre et de sel », « une marée », « le soir était comme une trêve mélancolique » « cette nuit chargée de signes et d'étoile », le sujet de la nature est un thème récurrent dans la philosophie de Meursault qui l'évoque récemment à travers son récit. Ce champ lexical souligne les valeurs bénéfiques de la nature « rafraîchissaient

|à recommencer. Là-bas, là-bas aussi, autour de cet asile où des vies s'éteignaient, le soir était | |m’excuser. C’était plutôt à lui de me présenter ses condoléances. Mais il le fera sans doute | |comme une trêve mélancolique. Si près de la mort, maman devait s'y sentir libérée et prête à tout | |après-demain, quand il me verra en deuil. Pour le moment, c’est un peu comme si maman n’était pas | |revivre. Personne, personne n'avait le droit de pleurer

Pourvoir qui est corrompus par l’argent. Enivrez-vous Il faut être toujours ivre. Tout est là: c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée

j'ai pensé à maman. Il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer. Là-bas, là-bas aussi, autour de cet asile où des vies s'éteignaient, le soir était comme une trêve mélancolique. Si près de la mort, maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre. Personne, personne n'avait le droit de pleurer sur elle. Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. Comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé

l’existence de Verlaine Si Verlaine convoque Saturne, c'est en tant que planète tutélaire des mélancoliques. Ces Saturniens, parmi lesquels se range Verlaine, figurent une sorte de communauté (ce que marque également le « nous » qui apparaît vers la fin du poème), communauté imaginaire à laquelle se trouvent associés tous ceux qui subissent l'influence de la « fauve planète. » Il cultive une tonalité mélancolique Verlaine écrit comme un peintre impressionniste- il y a une correspondance entre les états

COMMENTAIRE COMPOSÉ N°3Salomé Saal 210Introduction :Albert Camus écrit L’étranger en 1942, en pleine Seconde Guerre mondiale. Un grand nombre de ses œuvres seront marquées par cette guerre et par les sentiments nés de l’absurdité du monde et du besoin de révolte face aux crimes commis par les hommes. L’Étranger fait de ce que l’auteur appelle « le cycle de l’absurde » et transmet en roman sa vision / philosophie de l’absurde.La première partie du texte est une révolte et l’explosion de colère de