Tremble

aisément Dorante pour l’amener où il souhaite, mais surtout lui rappeler son amour pour Araminte et invite Dorante à revenir à la raison de sa présence ici.· A travers sa réponse « Je l’aime avec passion ; et c’est ce qui fait que je tremble » Les termes « passion » et « tremble » font signe vers la tragédie où la passion est synonyme de souffrance.· Pour finir on peut dire que Dubois parle beaucoup plus dans la scène ce qui va dans le sens de l’inversion du rapport maître/valet III-

stade deCned – 7FR01CTPA0711 3/7 l’enfant sans défenses : « sans le secours des pleurs » que nul ne peut aider, enfin contre une fatalité de l’ordre du tragique qui remet en cause la stabilité de l’univers du poète : « La terre qui nous portait tremble » (p. 15). Cette révolte est au cœur des poèmes qui décrivent l’agonie : le vers se fait bref, déstructuré par les coupes, et rendu violent par la brutalité des tournures nominales : « Souffle arraché : méconnaissable / Cadavre. (…) » (p. 27).

le coupe: - Ordure. Ma voix est comme étranglée. Je n'arrive plus vraiment à contrôler entièrement mon corps. Il tremble tout seul. Je sors en courant. Je cours, je cours, et je ne m'arrête que quand je crache mes poumons, que quand mes jambes deviennent pantelantes. Mes dents s'entrechoquent. Je le hais. Plus que tout. J'éclate en sanglots. Je n'arrive plus à m'arrêter, je tremble, je pleure. Je sens mes jambes se dérober sous moi. J'ai perdu mon amour, mon premier amour. Mon dernier amour. J'ai

observons les états d’âme du poète. Ceux-ci résonnent d’abord à travers la manifestation de sa peur. Nous le constatons premièrement avec le chant lexical de la peur qui prouve l’intensité de ce sentiment avec « effrois », « épouvantable », le verbe « trembler », mais aussi « horreur » et « frissons ». Puis le poème contient une alternation entre rythme binaire et ternaire entre chaque strophe. Celles-ci contiennent toutes des enjambements. De cette manière, Verlaine centre un élément pour chaque strophe

| |Et les mornes statues, | |Et le golfe mouvant | |Qui tremble au vent, | | | |Tout se tait, fors les gardes

pas de bornes, Allonge l'illimité, Approfondit le temps, creuse la volupté, Et de plaisirs noirs et mornes Remplit l'âme au delà de sa capacité. Tout cela ne vaut pas le poison qui découle De tes yeux, de tes yeux verts, Lacs où mon âme tremble et se voit à l'envers... Mes songes viennent en foule Pour se désaltérer à ces gouffres amers. Tout cela ne vaut pas le terrible prodige De ta salive qui mord, Qui plonge dans l'oubli mon âme sans remord, Et, charriant le vertige, La roule

derrière moi Ils ont eu peur que je recule Je vais bien finir par l'avoir Cette danseuse ridicule... Est-ce que ce monde est sérieux ? Est-ce que ce monde est sérieux ? Andalousie je me souviens Les prairies bordées de cactus Je ne vais pas trembler devant Ce pantin, ce minus ! Je vais l'attraper, lui et son chapeau Les faire tourner comme un soleil Ce soir la femme du torero Dormira sur ses deux oreilles Est-ce que ce monde est sérieux ? Est-ce que ce monde est sérieux ? J'en ai

les bras vers le ciel, et elle se mit à grandir, à grandir, ses cornes s'illuminèrent et une lumière vive envahit la maison. Affolé je courus chercher mon oncle pour l'avertir de ce qui se passait avec la statue. A cet instant, la maison se mit à trembler. Mon oncle me dit de m'enfuir car le Vésuve allait rentrer en éruption. Comment le savait-il ? “la statue me dit-il, elle nous protège et nous avertit du danger, plus ellle grandit plus le danger est grand”.

comme une maladie - Phèdre souffre elle est comme prisonnière voc maladie 3. La souffrance extrême qui conduit à la mort - Phèdre pense que l’amour est un crime « Je péris la dernière et la plus misérable » - gradation « A ce nom fatal, je tremble, je frissonne »  intensifie la souffrance Conclusion : L’aveu de Phèdre est poussé par Œnone qui a un pouvoir sur Phèdre mais elle est régissante ne veut pas et ne sait pas comment avouer elle ne veut pas prononcé le nom d’Hyppolite car elle

Où ? qui le sait ? leurs bras vers nous en vain se dressent. Oh ! ces pontons sur qui j'ai pleuré reparaissent, Avec leurs entreponts où l'on expire, ayant Sur soi l'énormité du navire fuyant ! On ne peut se lever debout ; le plancher tremble ; On mange avec les doigts au baquet tous ensemble, On boit l'un après l'autre au bidon, on a chaud, On a froid, l'ouragan tourmente le cachot ; L'eau gronde, et l'on ne voit, parmi ces bruits funèbres, Qu'un canon allongeant son cou dans