Tremble

tomber Pailletant: parsemant de paillettes. Tonnelle: dans un jardin, petit abris recouvert de plantes grimpante. Rotin: sorte de tige de bambou utilisées pour faire des meubles. Argentin: qui résonne, claire comme de l’argent. Le tremble: peuplier dont les feuilles s’agitent au moindre vent. Sempiternelle: éternelle, perpétuelle.

En ai-je pu tirer un seul gémissement ? Muet à mes soupirs, tranquille à mes alarmes, Semblait-il seulement qu'il eût part à mes larmes ? Et je le plains encore ! Et, pour comble d'ennui, Mon coeur, mon lâche coeur s'intéresse pour lui ! Je tremble au seul penser du coup qui le menace ! Et, prête à me venger, je lui fais déjà grâce ! Non, ne révoquons point l'arrêt de mon courroux : Qu'il périsse ! aussi bien il ne vit plus pour nous. Le perfide triomphe et se rit de ma rage : Il pense

vous a Camille près d’une petite fontaine afin qu’elle le surprenne en train de faire la cour a Rosette. Il amène Rosette vers la fontaine et s’approche de l’eau afin de voir son reflet : «  l’eau qui s’était troublée reprend son équilibre ; elle tremble encore ; de grands cercles noirs courent à sa surface » Perdican décrit un lieu idéal « ces bois et ces prairies » « ces tièdes rivières, ces beaux champs couverts de moissons » « toute cette nature splendide de jeunesse ». Ensuite il dit à Rosette :

hommes brûlés..) III. Utilisation de l'ironie pour critiquer la guerre A. Technique de changement de point de vue → ironie Effet de décalage Enumération + chute l.3 antithèse harmonie/enfer euphémisme « une trentaine » comparaison « trembler comme un philosophe » périphrase « quelques héros » critique de la philo optimiste « se cacher du mieux qu'il pu » oxymore « boucherie héroïque » effet de chute « lois du droit public » euphémisme « assouvit ».. => Ironie → attirer l'attention

morts et de toutes leurs âmes Les enfants et les vieilles femmes Allument des bougies et des cierges Sur chaque tombe catholique Les voiles des vieilles Les nuages du ciel Sont comme des barbes de biques L'air tremble de flammes et de prières Le cimetière est un beau jardin Plein de saules gris et de romarins Il vous vient souvent des amis qu'on enterre Ah ! que vous êtes bien dans le beau cimetière Vous mendiants morts saouls de bière

est amenée à vivre - que ce soit lors de son séjour dans une ferme pendant l'été, ou tout au long de ses années d'études à l'université, entre activités sportives et réunions d’étudiantes. En tout cas, j'ai aimé et vibré avec Judy ; j'ai ri, j'ai tremblé et tempêté avec elle - surtout lorsqu'elle décide de s'assagir mais se laisse finalement submerger par son côté taquin et sa nature bouillonnante - et c'est peut-être parce que j'ai rapidement dévoré ce livre que toute sa finesse à fait de ce livre

? En ai-je pu tirer un seul gémissement ? Muet à mes soupirs, tranquille à mes alarmes, Semblait-il seulement qu'il eût part à mes larmes ? Et je le plains encore ! Et pour comble d'ennui, Mon cœur, mon lâche cœur s'intéresse pour lui ! Je tremble au seul pensé du coup qui le menace ! Et prête à me venger, je lui fais déjà grâce ! Non, ne révoquons point l'arrêt de mon courroux : Qu'il périsse ! Aussi bien il ne vit plus pour nous. Le perfide triomphe et se rit de ma rage : Il pense voir

travers un dialogue banal Dialogue -> champ lexical de la parole dominant Mais pas de signe d’un dialogue pas de guillemets … Il reg la fille juste parce qu’elle l’intrigue et qu’elle est originale Elle pense que : Il est intimidé par elle (il tremble) car diff de race il est pas blanc contexte racial amour impossible Petits details montrent qu’il est pas dans la norme (il ne sourit pas d’abord ) 3. La chute du texte II. Ex du roman du XX eme siecle 1. Le souvenir du narrateur

seule et donc préfère que l’on continue à discuter. De loin enfin j’aperçois l’hôtel. Je dis au revoir à mon amie, je range mon téléphone dans mon sac. Derrière moi j’entends courir, me retourne et vois l’homme. Mon cœur commence à battre fort, je tremble, je marche vite car l’hôtel est proche. Il me rattrape, me bouscule, je me relève il est devant moi, énorme. Je baisse les yeux et je vois qu’il tient dans sa main gauche un couteau. Je panique, lui demande en pleurant ce qu’il veut. Il me regarde

On constate également qu’elle parle d’un personnage qui est mort, la figure de style employé est ici la prosopopée qui consiste à faire parler un personnage mort. En effet le locuteur rapporte les paroles que sa mère lui a dites aux vers 497-500 « Tremble, m’a-t-elle dit, […] Ma fille. », alors qu’il est indiqué au vers 492 qu’elle est décédée : « Comme au jour de sa mort ». Pourtant celle-ci s’est bien « montrée » à elle comme elle l’indique au vers 491, alors qu’il est pourtant impossible qu’elle