Tremble

Comment Voltaire dénonce-t-il la guerre dans ce texte ? I) Admiration de la guerre par Candide a) Description subjective : vue par Candide, un naïf : La première vision de la guerre est celle de Candide qui assiste aux combats et « tremble comme un philosophe »(l.7) C'est l'aspect esthétique, ludique et utlitaire de la guerre qui attire avant tout son attention. b) La guerre est harmonieuse (auditivement et visuellement) Visuel : Accumulation d'adjectifs mélioratifs (l.1)

vérité générale | | Longue périphrase pour désigner la prison, vaste euphémisme drôle | → volonté ironique d'esthétique | Description réaliste, pittoresque du costume | | Chute décrédibilise l'ensemble puisque la terre tremble à nouveau | Hyperbole : fracas épouvantable → amplifie la manifestation naturelle | Monologue intérieur montrant le doute : le héros s'interroge avec des interjections, exclamations, registre pathétique si exagéré qu'il en devient risible

authentique, qui commence en 1918 à la cour du dernier sultan de l'Empire ottoman. Selma est une héroïne à la fois forte et fragile, confrontée dès l'enfance à la guerre et à l'exil : Selma a sept ans quand elle voit s'écrouler cet Empire qui a fait trembler l'Europe. Condamnée à l'exil, la famille impériale s'installe au Liban. Selma, qui a perdu à la fois son pays et son père, y sera « la princesse aux bas reprisés ». C'est à Beyrouth qu'elle grandira et rencontrera son premier amour, un jeune chef

semé de paillettes d’argent ». C’est à partir de ce moment que le fantastique apparait, « je commençai a trembler comme une feuille » une incompréhension devant des faits irrationnels comme le feu qui augmente brusquement d’intensité et les personnages des tableaux qui se mette a bougé. Il y a aussi la présence d’une gradation de la peur à l'épouvante. Tous commencent avec « je commençai à trembler comme une feuille » puis continuent avec « ces sottes frayeurs » et se terminent par « une terreur insurmontable »

qui parle d’elle aux autres bannis. Louise n’a pas une personnalité qui marque les esprits, et les rares fois où elle s’exprime il semble que même les personnages de la pièce choisissent d’ignorer ce qu’elle dit (Louise : « …tout ton corps tremble, et tu es pâle comme la mort » - Lorenzo : « Tu es beau, Pierre, tu es grand comme la vengeance. »). Lorsqu’elle s’exprime ce ne sont jamais des paroles profondes, ou qui démontre de l’intelligence, de la grandeur d’âme. Sa mort même a quelque chose

Jacques, qui les emmène au Portugal où il va commercer. Chapitre 5e : Jacques périt au cours d’une tempête. Lorsque Candide et Pangloss arrivent à Lisbonne, la terre se met à trembler. Ils sont différés à l’inquisition pour quelques discours suspects. Chapitre 6e : On fait un bel autodafé pour empêcher la terre de trembler. Pangloss est pendu, Candide fessé. Chapitre 7e et 8e : Soigné par une vieille Candide retrouve Cunégonde qui lui raconte son histoire. Chapitre 9e : Cunégonde partage ses faveurs

le discours de la Statue est une chose également susceptible d’être mofidiée. Par exemple dans « Le Festin de Pierre », les propos de la statue sont d’autant plus agressifs que dans la version originelle. On engendre des exclamations telles que « Tremble ! », et « Détestable ! » tandis que dans la vraie version, la statue se contente d’expliquer la raison du châtiment de Dom Juan. De plus, les agissements de la Statue ont également droit à quelques modifications. Dans la version originelle de Molière

jamais une fin ? Race d’Abel, vois tes semailles Et ton bétail venir à bien ; Race de Caïn, tes entrailles Hurlent la faim comme un vieux chien. Race d’Abel, chauffe ton ventre A ton foyer patriarcal ; Race de Caïn, dans ton antre Tremble de froid, pauvre chacal ! Race d’Abel, aime et pullule ! Ton or fait aussi des petits. Race de Caïn, cœur qui brûle, Prends garde à ces grands appétits. Race d’Abel, tu croîs et broutes Comme les punaises des bois ! Race de Caïn, sur

presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée A la radieuse pensée Qui m'a pris l'âme l'autre été, Tant votre image, à jamais chère, Habite en ce coeur tout à vous, Mon coeur uniquement jaloux De vous aimer et de vous plaire ; Et je tremble, pardonnez-moi D'aussi franchement vous le dire, A penser qu'un mot, un sourire De vous est désormais ma loi, Et qu'il vous suffirait d'un geste. D'une parole ou d'un clin d'oeil, Pour mettre tout mon être en deuil De son illusion céleste

une antiphrase. Il fait exprès de ne pas donner d’explications et inverse le rapport cause/conséquence, au lieu de faire un autodafé pour punir les coupables, on arrête des sois disants « coupables » pour faire un autodafé pour « arrêter de faire trembler le monde ». Voltaire supprime les causes des actions du coup, elles paraissent insensées, absurdes. Il fait appel à l’intelligence du lecteur pour percer la vérité et ses sentiments : argumentation indirecte. Ce qui touche à la décision d'organisation