Travail d'intérêt général

Un syndicat est une association de personnes qui défend les droits des travailleurs et essaie d’en obtenir d’autres. Il y a en France 5 syndicats représentés partout : la Confédération Générale du Travail (CGT) la Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT) Force Ouvrière (FO) La Confédération Générale des Cadres (CGC) La Confédération Française des Travailleurs Chrétiens (CFTC) B. Leurs actions Les syndicats participent au dialogue dans les entreprises, à l’élaboration des lois sociales

entreprise arrêtent de travailler pour obtenir quelque chose de leur patron, elles font " la grève ". Les salariés, pour défendre leurs intérêts, ont créé des syndicats. Alors, les patrons (les chefs d'entreprise), ont créé d’autres organisations pour défendre leurs intérêts. La plus importante est le MEDEF (Mouvement des Entreprises de France) qui réunit plus de 750 000 entreprises (la majorité de ces entreprises ont moins de 50 salariés). Le MEDEF est contre la réduction du temps de travail, il est pour

légalisés qu’après 1884 ce n’est qu’en 1895 que le premier syndicat voit le jour, la CGT (Confédération Générale du Travail) est créée. 1919 la CFTC (Confédération Française des travailleurs Chrétiens) voit le jour. Fin des années 40 (en 1947 exactement) la CGT se scinde en deux du fait des divergences de points de vue, c’est la naissance de la CGT-FO (Force Ouvrière) puis vint la CGC (Confédération Général des Cadres) renommée plus tard CFE-CGC. Pour en finir avec le « club des 5 » en 1964 scission au

Economie exposé Le syndicalisme est né dans l’optique d’assurer un comité de défense des intérêts des travailleurs. Intérêts qui peuvent être par exemple la hausse du salaire, la baisse du temps de travail, la lutte contre un licenciement abusif. Il s’est instauré pendant la révolution industrielle et se sont multiplié au cours du 20eme siècle. Mai 68 ainsi que l’élection de Mitterrand en 1981 n’ont fait que renforcer leur pouvoir et leur légitimité. Or ces derniers perdent depuis quelques temps

Le 7 juin 1936, à l'hôtel Matignon sont signés, sous la Présidence du Conseil de Léon Blum (Front populaire), entre la Confédération générale de la production française (CGPF), la Confédération générale du travail (CGT) et l'État, les accords de Matignon. À la suite de ces accords, les ouvriers gagnent des acquis sociaux : sans faire grève dans chaque usine, les ouvriers obtiennent des avantages pour toute la profession ; les salaires sont augmentés de 7 à 15% (c'est l'inflation, les gens consomment

tentatives de guerre » le mouvement ouvrier est opposé à la guerre « bourgeoise » au besoin par la grève générale. Face à l’extrémisme de Gustave Hervé, qui est pour la « guerre sociale », Jean Jaurès argumente en 1910 en faveur d’une armée de citoyens, contestant l’antipatriotisme de Hervé. Jaurès n’est pas contre la guerre quand elle se limite à défendre le sol national La Confédération générale du travail (CGT) de son côté se démarque du parti socialiste . elle souhaite rester indépendante vis-à-vis de

syndicale traduit la capacité et la faculté d’un syndicat à représenter une population plus large que celle de ses adhérents. Cette notion comprend des responsabilités importantes en raison des prérogatives qui lui sont attachées. D’une manière générale, on peut définir la représentativité syndicale comme l’aptitude reconnue à un syndicat d’être le porte-parole des salariés dont il défend et promeut les intérêts. Cette notion de représentativité est donc le résultat du pluralisme syndical et

sur demande de la Confédération Générale du Travail CGT en 1936 Description de l’affiche Au premier plan on peut voir un ouvrier, puisqu'il est habillé d'une cote bleu, bleu de travail: celui-ci part travailler à l'usine. Cet homme est le lien entre le foyer et l'usine. D'après le sourire et la carrure de l'homme, on peut en déduire qu'il est heureux de se rendre au travail comme si ce dernier n'était pas éreintant. ni l’image d’un homme harassé par un travail pénible , Au deuxième plan

dans le contexte de la fin des années 1970 et du début des années 1980. Il y a eu tout d’abord l’accord passé, en février 1979, entre le ministre de l'Éducation nationale, Christian Beullac et la Fédération de l’Éducation Nationale et son secrétaire général André Henry. Cet accord permettait d’introduire des « séquences éducatives en entreprises » dans les formations techniques et professionnelles proposées par l’Éducation nationale. Il y a eu ensuite la nomination de Jean-Pierre Chevènement comme ministre

communs. Le syndicat cherche à faire aboutir des revendications en matière de salaires, de conditions de travail, de prestations sociales. Le syndicalisme est donc un mouvement social et politique des travailleurs, organisés pour défendre leurs intérêts ou imposer des changements. Conditions des travailleurs ? Au XIXème siècle, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont très dures, certains sont privés d'argent, affamés, ils manquent de logements, et vivent dans une horrible