Transfiguration

autour de 2 ou 3 centres d'intérêt. Pensez que certaines directions d'étude se révèlent pertinentes pour de nombreux textes : La tonalité dominante (lyrique, épique, tragique ...). Le traitement original d'un thème connu. La transformation ou la transfiguration du réel ou du quotidien. Le caractère symbolique d'un élément essentiel. La fonction du texte (fonction expressive, poétique). Plus spécifiquement, s'il s'agit d'un récit : Le rythme et la progression du récit. Le mode de présentation des faits

à  peu  sa  perception des choses et troubler ses sens.    Dans  un  second  temps,  le  réel est  soumis à une  modification,  par  la dispersion  de  la  pensée du «  voyant », prenant  alors un aspect davantage irrationnel.  En effet,  la  transfiguration  du  monde  est  un attribut spécifique au voyant, Rimbaud affirme dans les  «  Lettres  du  voyant  »,  que  «  C’est  de  la  fantaisie,  toujours  »  insinuant  que  chaque  poème dissimule une  part de fantaisie, cette fantaisie qui née de son imagination

liberté. Le poète de seize ans refuse les contraintes de la société et s’affranchit des règles de la poésie traditionnelles. Ce poème met en place des motifs qui se retrouveront dans les œuvres ultérieures : la révolte, l’attrait du voyage et la transfiguration poétique du quotidien.

À notre regard, l’eucharistie offre les visages d’une assemblée dans sa diversité, elle offre des rites et des icônes. Elle offre la lumière aussi. Les cierges ne sont-ils pas la transmutation de la matière en lumière. Quel beau symbole de la transfiguration ! À nos oreilles, la liturgie fait résonner la parole, celle de Dieu et celle des hommes. Les chants et la musique aussi, qui la prolonge et où la voix (vibration concrète de nos propres corps) peut devenir louange. À nos mains qui se rencontrent

systématiquement ses personnages : " [...] la mort est cruauté, la résurrection est cruauté, la transfiguration est cruauté, puisqu’en tous sens et dans un monde circulaire et clos il n'y a pas de place pour la vraie mort, qu'une ascension est un déchirement, que l'espace clos est nourri de vies, et que chaque vie plus forte passe à travers les autres, donc les mange dans un massacre qui est une transfiguration et un bien. Dans le monde manifesté et métaphysiquement parlant, le mal est la loi permanente

travail de grammairien. Prétendre que … » RETROUVER L’idée que l’église serait la seule à être autorisée à travailler les textes lui semble scandaleuse. Sacerdoce universel : les hommes ne naissent pas hommes ils le deviennent. Doit choisir la transfiguration de son être Plutôt que l’animalisation de sa nature. Volonté de dépouiller le texte. b) le retour aux sources Lefèvre : «  on ne doit affirmer de dieu que ce que nous apprenons de lui par les écritures ». Concile de Ferrare Florence csq=>

sembler une simple description, il nous apparaît au contraire tout chargé de l'émotion du poète face à ce décor. Emotion poétique qui se traduit par la volonté de créer une atmosphère naïve, émotion que le poète partage avec le lecteur, par la transfiguration poétique des objets et le symbolisme de cette auberge. Le poète met volontairement en évidence le côté naïf de cette auberge, comme nous le montrent le vers 10 et les termes images Violentes, impression confirmée par la diérèse du second terme

dépendance périlleuse, l'aliénation à cette femme. Chez Eluard tout péril dans cette limitation est écarté pour être ouverture sur le monde, sur l'humanité et au-delà. Conclusion. Dans "Dominique aujourd'hui présente", On assiste à un miracle de transfiguration amoureuse par la présence d'une femme. Sans la présence de cet autre privilégié qu'est la femme, le moi éluardien perd son être, il est réduit au néant. Eluard aimait à rappeler la pensée du Marxiste Feuerbach que "Là où il n'y a pas de toi, il

définit la capacité à se développer quand même, dans des environnements qui auraient dû être délabrants » ; c’est « l’art de naviguer dans les torrents »  Pour parler d’un traumatisme de cette ampleur, il faut « avoir été mort » et renaître > transfiguration de l’expérience par l’art et la littérature → Comment peut-on penser sa mort au passé, alors qu’elle ne peut être qu’une nonexpérience, une figuration ?  Différence Semprun (ne peut d’abord raconter car l’écriture le ramène dans cette mort vécue)

nez collé au sol et provoquant rires étouffés et gloussements dans la salle ! L’Homme, doté d’une raison et d’une intelligence, est censé contrôler et anticiper ses gestes et ses pas. Ce mécanisme qui a provoqué le rire est sans doute lié à la transfiguration de cet être humain en chose, dans un mouvement et une position finale qui n’est normalement pas propre à lui. Il ne répond donc plus à notre perception et nos connaissances que l’on a de l’Homme en général. De ce fait, on pourrait en déduire que