Totalitarisme Terreur

personnages les plus controversés de cette période, surnommé « l'Incorruptible » par ses partisans, « la chandelle d’Arras » par Rivarol, l'un de ses adversaires, et qualifié de « tyran » ou de « dictateur sanguinaire » par ses ennemis pendant la Terreur et après Thermidor. Nous allons donc, dans une première partie poser le contexte historique dans lequel évolua Robespierre, puis nous mettrons en évidence l’impact de la pensée de Robespierre sur la Constitution I- La Révolution Française

actes volontaires et délibérés de violence parmi lesquels les attentats (world Trade Center), les assassinats, les enlèvements, dont les seuls buts, sont, d’une part, pour engendrer des répercussions et des retentissements psychologiques comme la terreur et la peur de l’opinion publique, et, d’autre part, pour dénoncer, critiquer les actions politiques, les pouvoirs décisifs soit les gouvernements des pays ou valoriser des idéologies. Les Terroristes agissent selon des enjeux et des intérêts, légitimes

Sans Culottes dans les prisons (2 au 6 septembre 1792) * Alliance des Montagnards et des Sans-culottes. * Les Girondins sont éliminés par les Sans Culottes (2 juin 1793) * Robespierre, qui siège au Comité de Salut Public, organise la Terreur C) Après avoir arrêté Robespierre, les Parisiens sont éliminés de la révolution. * Chute de Robespierre les 9/10 thermidor (27 juillet 1794) * Dernière révolte des Parisiens : 20 mai 1795  Conclusion : Le peuple parisien a joué un

aussi l'orateur le plus respecté de la Convention et des Jacobins où il est toujours aussi assidu. Sa popularité ne s'afaiblit pas, même après son entrée au gouvernement. Le 5 septembre 1793, « la Terreur est mise à l'ordre du jour ». A l'automne, la Convention doit accepter des mesures de Terreur : loi des suspects, loi contre les accapareurs, maximum des prix, armée révolutionnaire... etc. On entre alors dans une des périodes les plus troublés de la Révolution Française. Des anciens députés

LA TERREUR La terreur, que l’on distinguera de la terreur blanche de 1795, fait figure de controverse dans l’Histoire de France. Désignée par certains comme un long épisode de massacres généralisés, par d’autres comme un indispensable prélude pour mener à bien la révolution, elle s’est caractérisée par une rare violence qui est « l’une des composantes de la mentalité révolutionnaire » (Michel Vovelle, La Révolution Française). Elle a été une véritable politique gouvernementale pendant plusieurs

il est très proche des lumières, de Rousseau, dès 1789 il va a Paris et s’engage comme correspondant d’un journal anglais, pour lui la DDHC est velléitaire (sans audace, hésitant, etc.) elle instaure une égalité fictive entre les citoyens. Sous la terreur, il est aussi critique envers Robespierre. En octobre 94, il commence à publier un journal qui s’appelle le tribun ( le porte-parole) du peuple, il veut son journal proche des sans-culottes. Or, alors qu’il était opposé à Robespierre, il critique

point une guerre n'a pas de sens. Mon père est mort à la guerre et je ne souhaite pas en faire autant ou tuez de pauvres gens, pour moi la guerre ce n'est pas l'honneur de combattre pour sont pays mais plutôt de faire du mal et de faire régner la terreur et avoir un comme résultat une vie complètement basé sur la violence où on ne pourra même plus ce regarder dans une glace. Si vous voulez vraiment une guerre allez la faire vous même mais ne nous impliqués pas dans des histoire sans fin et sans

Du 2 juin 1793 au 27 juillet 1794 on est dans un contexte de Terreur. Les Montagnards jugent devant un tribunal révolutionnaire et exécutent tous les Girondins et ceux qui sont hostiles à la Révolution. Robespierre élimine tous ceux qui le gênent : Danton, Camille Desmoulins. Les succès militaires de la République des années 1793 1794, en renforçant la position du nouveau régime, rendaient la dictature de moins en moins nécessaire alors que les robespierristes semblaient la recommander. Beaucoup

talent en France en 1917 lorsqu’il a peint un tableau qui s’appelle Verdun qui a la taille 114 cm sur 146 cm et de type Peinture à l’huile sur toile. Ce tableau représente un champ de bataille, durant la Première Guerre mondiale. Inspire par la terreur de la Première Guerre mondiale. On particularise au premier plan un terrain brouillé, sur la gauche s’abattent les lignes obliques de la pluie, tandis qu’au centre de la toile des faisceaux lumineux se croisent au-dessus de flammes et de nuées de

mai 1790, il est libéré grâce à Marat et reprend son activité de journaliste. Contraint de fuir à Paris en 1793, Babeuf prend parti pour les Jacobins. Après la chute de Robespierre et des Montagnards dont il était partisan, tout en réprouvant la Terreur, il poursuit un combat acharné contre la réaction thermidorienne pour une égalité dans les faits et le partage des terres. Il choisit alors de se faire appeler Gracchus, en hommage aux Gracques, initiateurs d’une réforme agraire dans la Rome antique