Totalitarisme Terreur

Histoire niveau 3ème Correction de l’épreuve blanche sur les guerres et totalitarismes entre 1914 et 1945 Etude de documents sur l’Allemagne dans l’entre-deux-guerres 1/ Ces deux documents évoquent le traité de Versailles (1919), qui met fin à la Première guerre mondiale. 2/ Les pertes territoriales évoquées sont l’ouest de l’Allemagne (donné à la nouvelle Pologne), le territoire de Dantzig (administré par la SDN) et l’Alsace-Lorraine (rendue à la France). 3/ La puissance militaire

publication d’un documentaire en 1937, détermine l’engagement socialiste d’Orwell. La ferme des animaux met aussi en évidence l’exploitation du travail du peuple par des propriétaires qui ne recherchent que leur profit personnel. La montée des totalitarismes Pendant l’entre-deux-guerres, les régimes totalitaires se multiplient en Europe. En Italie, Mussolini (1883-1945) dirige le régime fasciste. En Allemagne, Hitler (1889-1945) devient chancelier du Reich en 1933. A partir de1936, l’Espagne s’enlise

paysans doivent se regrouper dans des exploitations collectives : les sovkhozes, fermes d’État où ils sont salariés et les kolkhozes, coopératives où terres, outils et bétail sont mis en commun. Il s’agit d’une collectivisation forcée, imposée par la terreur (de nombreux paysans riches – les koulaks – sont massacrés). Dans l’industrie, l’objectif est de faire de l’URSS une grande puissance industrielle : une industrialisation intensive est menée à partir d’une planification qui fixe des objectifs de production

premier livre dans lequel j'ai essaye, en ayant pleinement conscience de ce que je faisais, de fusionner le but artistique et le but politique. » Ce passage, qui se situe a un moment-clé du récit, reflète la visée de 1'apologue : dénonciation du totalitarisme stalinien, au-delà, critique des utopies qui prétendent faire le bonheur de rhombe et se transforment en esclavage. -> Staline (1879-1953) : Homme politique soviétique. -» L'utopie (du grec ou-topai, «lieu de nulle part», et eu-topai, «lieu du

(violences subies et perpétrées par soldats mais aussi civils) ont amené une certaine banalisation de la violence avec des conséquences politiques et sociales après la guerre : montée des régimes autoritaires (historien Mosse : « De la Grande Guerre au totalitarisme »...). Concept cependant discuté car on assiste aussi à une montée du pacifisme (anciens combattants parlent de la « der des der »..) et à une volonté de mettre la guerre « hors-la-loi » (cf C). 3) Une guerre totale Guerre totale : Mobilisation

chiffre de production sont truqués des gens sont juger et exécuter c'est la grande terreur procès de Moscou en 1938 (700 000 morts) III)Staline se maintient pouvoir construisant état totalitaire Staline fait executer des officiers haut placé en 1938. Le Komintern contrôle des parties communiste étrangers. Staline fait beaucoup de propagande avec le cinéma,la littérature etc... Vocabulaire: Totalitarisme: encadrement absolu de toute la société par l'Etat. On commet des crime pour le bien

but premier pour eux est donc de bâtir un état démocratique stable, comme le souhaite le chancelier allemand, Konrad Adenauer. La création de la RDA (Allemagne de l’est communiste) , fait passer le totalitarisme nazi à un totalitarisme stalinien : la population subit à nouveau la propagande, la terreur, et la censure. Affiche de propagande la RDA, souhaitant un joyeux anniversaire à Staline Avec la militarisation de la guerre froide, les deux Allemagnes sont devenues des Alliés privilégiés des

l’indignation. Toutefois, des chiens, préservons-nous de leur rage et de leur cynisme. J’emprunte cette expression « le cynisme des chiens » à Chateaubriand qui, dans ses « Mémoires d’outre-tombe », l’utilise pour qualifier les révolutionnaires qui, sous la Terreur, bons père de famille, emmenaient leurs enfants se promener le dimanche en prenant soin de leur montrer en passant le dada des charrettes qui conduisaient des citoyens à la guillotine.Le cynisme est dans la contradiction voulue et assumée opposant

le libéral italien Giovanni Amendola pour dénoncer le fascisme. Il est ensuite repris par Giovanni Gentile, théoricien du régime, et par Mussolini lui-même. Le terme «totalitarisme» s’affirme véritablement lors du pacte germano-soviétique (1939), avant d’être développé par Hannah Arendt (Les origines du totalitarisme, 1951), puis par des politologues américains, qui ont décrit ses principaux critères. De manière lapidaire, un Etat totalitaire est une dictature d’un type particulier

citoyens, le totalitarisme prend aussi le contrôle de la pensée des citoyens en leur imposant une idéologie que s’ils ne respectent pas, ils sont considérés comme ennemis de la communauté. Le totalitarisme se caractérise par un parti unique contrôlant l’État, dirigé idéalement par un chef charismatique, un appareil policier recourant à la terreur, un monopole des moyens de communication de masse et un monopole des forces armées[]. Dans les faits, la démocratie, contrairement au totalitarisme, ne contrôle