Torture Diderot

Racine, Phèdre Auteur : Né en 1639, Jean Racine devient très vite orphelin et se fait admettre au couvent janséniste où il reçoit une solide éducation morale et religieuse. A partir de 1658 il commence à fréquenter les milieux mondains et littéraires et devient dramaturge : il connaît son premier grand succès avec Andromaque en 1667. Les succès s'enchaînent avec Bérenice (1667), Bajazet (1672), ou Iphigénie (1674). Il intègre l'Académie française en 1673. En 1637, il rompt avec le théâtre et devient

informations données au lecteur, pour qu’ils puisse rapidement s’immerger dans le récit, et aussi un incipit puissant et original par sa construction qui insiste sur l’enfermement du personnage. La peine de mort devient déjà dans le début de l’oeuvre une torture morale. (réponse à la problématique) L’émotion créée par cet incipit annonce la tonalité du reste de l’oeuvre. La charge de Victor Hugo contre la peine de mort puise sa force dans le choix réaliste, descriptif et lyrique de l’auteur. Si l’écrivain

tournois d'amende, pour chaque jour de rétention Article 42. Pourrons seulement les maîtres, lorsqu'ils croiront que leurs esclaves l'auront mérité, les faire enchaîner, et leurs faire battre de verge ou cordes ; leur défendons de leur donner la torture, ni de leurs faire aucune mutinerie de membres, à peine de confiscation des esclaves, et d'être procédé contre les maîtres, extraordinairement Article 44. Déclarons les esclaves être meubles, et comme tels, entrer dans la communauté ; n'avoir point

Système carcéral : finalité et réalité Introduction : Dans nos sociétés contemporaines, occidentales, la justice se porte garante des droits et devoirs de chacun dans un certain cadre légal. Elle a le pouvoir de punir et d’appliquer des peines afin d’établir la sécurité. L’ensemble de ces éléments se nomme le système carcéral. Ce même système s’est développé et modernisé au fil du temps dans l’optique de remplacer le supplice afin « que le châtiment […] frappe l’âme plutôt que le corps [1]

Dissertation de philosophie  Débat : F Y a-t-il un rapport entre la raison et la peur ? Si l’on reste au niveau du raisonnable on joue plutôt la sécurité et il y a moins de raisons d’avoir ; « la peur n’évite pas le danger ! » : c’est vrai pour un danger extérieur inéluctable, mais faux pour certains dangers que la peur permet d’éviter en paralysant l’action.  Qu’est-ce que la peur ? Une réaction face à un danger, à un type de cruauté ou de violence, ou face à des souffrances de toutes sortes de

ça l’enfer. Je n’aurais jamais cru… vous vous rappelez : le soufre, le bûcher, le gril… Ah ! quelle plaisanterie. Pas besoin de Gril : l’enfer, c’est les Autres. » En effet, les pleurs et les grincements de dents de l’enfer ne sont pas dus à la torture et aux tourments : le seul supplice, infini, insupportable, c’est la présence de l’Autre, qui est mon bourreau, qui me juge, qui me « constitue en objet », comme l’avait déjà expliqué Sartre dans l’Etre et le Néant (1943), où il s’interroge sur le

Résumé Livre premier. Aurore. (29 poèmes-1600 vers). C'est le livre de la jeunesse. Le poète évoque ses souvenirs de collège (A propos d'Horace), ses premiers émois amoureux (Lise), ses premières luttes littéraires (Réponse à un acte d'accusation). Il chante la beauté du printemps (Vere novo) et la joie du rêveur devant un beau paysage (le poète s'en va dans les champs) ou le spectacle en plein air (La fête chez Thérèse). Livre II. L'âme en fleur. (28 poèmes-900 vers). C'est le livre des amours

faiblesse et les manques sont attribués aux circonstances historiques. Comme dans Rolla, il s’agit d’un drame de la foi. Ne pouvant renoncer à l’amour, seul salut, ni y croire, Octave se condamne donc à la souffrance et, bourreau malheureux, inflige ses tortures à l’être aimé. La débauche permet l’oubli temporaire, mais avilit, comme dans Lorenzaccio, et rend incapable d’un sentiment sincère. Brigitte offre l’espoir d’un redressement moral, engendrant l’écriture d’un hymne à l’amour. Promesse de salut

dénonciation de la torture Citée directement à plusieurs reprises (« infligèrent la torture », « la grande et la petite torture », « la question »), la torture est surtout évoquée dans ce passage à travers ses manifestations physiques ; volontairement, Voltaire n'épargne aucun détail atroce au lecteur : « hâve », « pâle », « défait », « coupât », « brûlât », « arrachât »). L'inhumanité de cette pratique ne peut alors que sauter aux yeux. Outre le fait qu'elle soit inhumaine, la torture, dit Voltaire

Tesis La terrifiante, envoutante et troublante entreprise ! Cette oeuvre classée comme thriller horrifique est deveue culte en Espagne où l'on parle désormais d'avant et d'après Tesis. Tesis est le premier gros succès d'Alejandro Amenabar, réalisateur espagnol peu connu à l'époque devune célèbre par la suite avec Ouvre les yeux et recemment le célèbre peplum Agora. Produit durant l'année 1996, il finit par sortir en salles le 4 décembre 1996. C'est l'histoire d'Angela (Ana Torrent), une étudiante