Torture 18ème

(17ème péripétie) ; Winston se fait transporter au Ministère de l’Amour, dans une cellule commune où il parle avec une prolétaire et rencontre Ampleforth, Parsons -qui on tous deux commis le crime par la pensée- , ainsi que plusieurs autre personnes (18ème péripétie) ; O’Brien apparaît dans la cellule mais comme membre du Parti, lui et un garde emmènent Smith dans une cellule à part où il se fait battre régulièrement (19ème péripétie) ; Puis passe Smith aux confessions, ils y raconte des crimes fantaisistes

sur son enfance. Enfin, ici comme dans les deux autres textes, l’auteur insiste sur la mise en cause, l’accusation de ceux qui par leurs comportement ou leurs paroles on contribués à la formation d’une personnalité. Cette analyse psychologique du 18ème siècle est tout à fait moderne. Axes de lecture : I> Le récit de l’événement. II> L’analyse de l’évènement. I> Le récit de l’événement. 1. La rapidité d’enchaînement des faits. 2. La dramatisation des faits : a)

sa prévision et son mode d'exécution. II – L'évolution du droit pénal : A – L'époque classique : 18ème – fin 19ème/début 20ème : Les lumières : Montesquieu s'élève contre l'arbitraire et la cruauté du droit pénal, il réclame plus d'égalité et d'humanité dans la répression. Baccara Traitement des délits et des peines 1764, retentissement énorme en Europe en droit : critique de la torture, de la peine de mort, de la rigueur des peines et de l'arbitraire. Il faut que la loi prévoie toutes les

déclarée anticonstitutionnelle dans l'État de New York en 2004 et celui de Massachusetts en 1984. Ces deux États sont ceux ou le rétablissement de la peine de mort est souvent débattu. Le 2 mai le Maryland a aboli la peine capitale, devenant alors le 18ème État des États-Unis qui ne prévoit pas la peine de mort dans la législation comme par exemple l'État Dakota du Nord en 1973, Hawaï en 1959, l'Iowa en 1965, la Virginie-occidentale en 1965 ou encore le Wisconsin en 1853. En revanche deux États ont aboli

déchaîner les passions… Oui, c’est clair, ce n’est pas un sujet facile. On sait que les jeunes comme le grand public ont tendance à réagir avec émotion au détriment de la réflexion, dès qu’on aborde la question de la peine de mort, ou même de la torture. Et le procès de Dutroux qui devrait débuter en mars 2004 ne calmera sans doute pas les esprits, quand on sait combien cette affaire continue à susciter des débats et des passions au sein de la société belge. Pourtant, il est important de remettre

gravité des infractions et de la personnalité des délinquants. Autre idée reçue, la croyance que la torture judiciaire était administrée à tort et à travers en matière pénale avant la révolution et faisait office de procédure pénale. En fait, à partir du XIVème siècle, des conditions strictes sont prévues pour que le juge puisse l’utiliser et au XVIIIème siècle, les juges n’utilisent presque plus la torture judiciaire dans la procédure. INTRODUCTION : L’HERITAGE DU DROIT PENAL ROMAIN L’intérêt d’envisager

radicalisation postérieure : les colons blancs autonomistes, fauteurs des « troubles de Saint Domingue » (c'est ce que j'appelle « le moment Alexandre des Rouaudières », meneur principal de la fameuse sédition de Saint Domingue dans la seconde moitié du 18ème siècle, précédent historique de l'affaire de l'Assemblée coloniale de Saint Marc en 1790 quand les colons rédigèrent le document appelé les « Bases Constitutionnelles », qui furent une véritable proclamation de l'indépendance « virtuelle » de la colonie

France. Débat de conscience en France. Première en Europe a abolir la torture. 9 octobre 1981 loi qui aboli la peine de mort. A l'origine le droit pénal est celui qui fait mal, et qui a vocation à punir dans son corps et dans sa dignité. Le droit pénal a besoin de trouver la juste mesure entre la nécessité de protéger ceux qui sont victimes et punir celui qui a «mal fait». C'est un droit aujourd'hui plus humanisme, car la torture est contraire aux lois aujourd’hui. Le droit pénal est le véritable

Cf. interdiction des œuvres d’Aristote qui affirme l’héliocentrisme. Immédiatement, après les découvertes de Galilée et Copernic, arrive la torture : le cadre est celui de la très Sainte Inquisition. Les sciences, la médecine, l’exercice libre de la philosophie a été un « sport de combat très violent » - Bourdieu. Quand Bruno revient à Rome, il est torturé, après avoir remis la conception d’Aristote. Dans le Traité d’Inquisition, on trouve la question de savoir s’il faut pratiquer l’inquisition

on plus rien dire. L’Ancien Régime c’est la démesure dans l’intensité des peines et dans les pouvoir du juge. C’est dans ce contexte que l’on va émerger différentes pensées. 1/ L’apparition de la pensée pénales classique. Elle apparait au 18ème siècle, en 1748 avec la publication de l’œuvre de Montesquieu, « De l’esprit des lois ». Siècle des Lumières. Montesquieu va faire l’éloge de la procédure anglaise accusatoire (on laisse aux parties le soin de se défendre), elle est orale et publique